On n’en finit pas d’avancer dans les méandres que l’être humain a inventés, entre les deux infinis, le ciel et l’enfer.
Le vide politique incarné…
On reste pantois devant tant de circonvolutions destinées à ne pas respecter la volonté du peuple.
Ce Président n’est pas un homme d’État, il n’est qu’une absurdité constitutionnelle…
Verra-t-on, bientôt, un viol collectif scénique, une émasculation théâtrale ou une scène de cannibalisme militant ?
Peut-être même que l’ancien Président deviendra le Premier ministre de son ancien ministre !
Défigurée par des mœurs qui ne sont pas les siennes, administrée par un caste de technocrates, la France disparaît
Elle est descendue sur Terre pour nous émerveiller, nous montrer le prélude à ce que doit être le paradis.
Cheffe de cabinet, ministresse ou docteure, et pourquoi pas aussi plombière ou médecine, pompière ou clampine ?
Un sérieux mortel, un vide, un ennui à couper au couteau, pire que du BHL…
Déjà on entrevoit le discours du Président et tous les hommages officiels à la grande figure du bien qui s’est éteinte
Alors vinrent les pédagogues novateurs. Porteurs d’un dogme d’inspiration maoïste, ils décrétèrent l’égalité absolue…
Le problème des mots, c’est qu’à force de les rabâcher à tout propos, ils perdent leur sens et toute leur force.
L’on ne sait plus si l’imagination est sans borne ou avec Borne, on attend avec impatience le prochain discours.
La mouvante tolérance a laissé la place au sectarisme le plus rigide.
N’est-ce pas dans les vieux pots républicains qu’on fait les meilleures soupes électorales ?
Le temps n’est-il pas venu d’inverser enfin la tendance et de parler uniquement de ce qui est beau, juste et vrai ?
Pauvre France ! Fallait-il que ces résistants, ces martyrs, assistent depuis le ciel à ces mascarades officielles ?
Cette semaine se sont déroulés, à Paris et Washington, deux événements majeurs pour l’avenir du monde
De Braun à Dussopt ou de Borne à Macron, ils passent tous à la casserole, chacun à son tour et à tour de rôle…
Un festival qui n’est plus un festival de théâtre mais de mise en scène d’engagement militant rabâché.
La logique Martinez consiste à soutenir un candidat aux élections portant une mesure qui va contre l’intérêt des travailleurs puis, une fois ce candidat élu, à combattre de toutes ses forces la mesure honnie…
Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !
Et pourquoi donc le peuple, le populus, devrait-il par essence être le vulgus du bobo ?
La France peut s’enorgueillir d’avoir un mathématicien des plus talentueux, une sorte de génie du raisonnement, en la personne du leader de la CGT. Dans la logique Martinez, on peut arriver à deux conclusions totalement opposées d’un engagement.
Pour cette pré-rentrée, les professeurs et les différents personnels de l’établissement ont reçu du principal un courrier leur demandant de venir tous au collège en tenues de sport…
Ce cultureux démocrate de Py passa son temps à favoriser l‘inculture démocratique…
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.
On n’en finit pas d’avancer dans les méandres que l’être humain a inventés, entre les deux infinis, le ciel et l’enfer.
Le vide politique incarné…
On reste pantois devant tant de circonvolutions destinées à ne pas respecter la volonté du peuple.
Ce Président n’est pas un homme d’État, il n’est qu’une absurdité constitutionnelle…
Verra-t-on, bientôt, un viol collectif scénique, une émasculation théâtrale ou une scène de cannibalisme militant ?
Peut-être même que l’ancien Président deviendra le Premier ministre de son ancien ministre !
Défigurée par des mœurs qui ne sont pas les siennes, administrée par un caste de technocrates, la France disparaît
Elle est descendue sur Terre pour nous émerveiller, nous montrer le prélude à ce que doit être le paradis.
Cheffe de cabinet, ministresse ou docteure, et pourquoi pas aussi plombière ou médecine, pompière ou clampine ?
Un sérieux mortel, un vide, un ennui à couper au couteau, pire que du BHL…
Déjà on entrevoit le discours du Président et tous les hommages officiels à la grande figure du bien qui s’est éteinte
Alors vinrent les pédagogues novateurs. Porteurs d’un dogme d’inspiration maoïste, ils décrétèrent l’égalité absolue…
Le problème des mots, c’est qu’à force de les rabâcher à tout propos, ils perdent leur sens et toute leur force.
L’on ne sait plus si l’imagination est sans borne ou avec Borne, on attend avec impatience le prochain discours.
La mouvante tolérance a laissé la place au sectarisme le plus rigide.
N’est-ce pas dans les vieux pots républicains qu’on fait les meilleures soupes électorales ?
Le temps n’est-il pas venu d’inverser enfin la tendance et de parler uniquement de ce qui est beau, juste et vrai ?
Pauvre France ! Fallait-il que ces résistants, ces martyrs, assistent depuis le ciel à ces mascarades officielles ?
Cette semaine se sont déroulés, à Paris et Washington, deux événements majeurs pour l’avenir du monde
De Braun à Dussopt ou de Borne à Macron, ils passent tous à la casserole, chacun à son tour et à tour de rôle…
Un festival qui n’est plus un festival de théâtre mais de mise en scène d’engagement militant rabâché.
La logique Martinez consiste à soutenir un candidat aux élections portant une mesure qui va contre l’intérêt des travailleurs puis, une fois ce candidat élu, à combattre de toutes ses forces la mesure honnie…
Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !
Et pourquoi donc le peuple, le populus, devrait-il par essence être le vulgus du bobo ?
La France peut s’enorgueillir d’avoir un mathématicien des plus talentueux, une sorte de génie du raisonnement, en la personne du leader de la CGT. Dans la logique Martinez, on peut arriver à deux conclusions totalement opposées d’un engagement.
Pour cette pré-rentrée, les professeurs et les différents personnels de l’établissement ont reçu du principal un courrier leur demandant de venir tous au collège en tenues de sport…
Ce cultureux démocrate de Py passa son temps à favoriser l‘inculture démocratique…
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.
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