Déclencher la peur dans une population, c’est s’assurer de sa soumission. Nous en savons quelque chose, en ces temps de pandémie où, pour la première
Donc, pas de tombeau, et ce n’est guère étonnant s’agissant d’un personnage qui baigne plus qu’à moitié dans les brumes de la mythologie.
Vingt siècles d’imposture et de mystification. On n’en sort pas aisément.
Tous les 21 septembre, nous sommes encore quelques-uns à travers le monde à commémorer la mort du « divin Maro ».
Déclencher la peur dans une population, c’est s’assurer de sa soumission. Nous en savons quelque chose, en ces temps de pandémie où, pour la première
Donc, pas de tombeau, et ce n’est guère étonnant s’agissant d’un personnage qui baigne plus qu’à moitié dans les brumes de la mythologie.
Vingt siècles d’imposture et de mystification. On n’en sort pas aisément.
Tous les 21 septembre, nous sommes encore quelques-uns à travers le monde à commémorer la mort du « divin Maro ».