Il s’agit de se structurer par le travail dans le cadre d’un emploi du temps que l’homme se donne à lui-même.
Pauvres politiques qui acceptent qu’on leur fasse prendre des vessies pour des lanternes et ne voient pas que l’Europe qu’ils montrent aux riverains du jardin du Luxembourg ne ressemble à rien à force d’être absente de toutes ces images.
En ayant laissé les politiques, depuis des années, mettre sous le boisseau, avec son emblème, l’âme de la France, les Français les ont laissé ouvrir la boîte de Pandore d’une tyrannie sanitaire.
La désertion des vaccinodromes sera-t-elle l’occasion pour les Français d’exprimer, comme lors des élections régionales et départementales de juin dernier, leur ras-le-bol ?
Est-ce là le symptôme d’une irréversible décadence ? Peut-être celle-ci ne commence-t-elle vraiment que lorsque les élites d’une nation ne savent plus ce qu’ils font lorsqu’ils inaugurent des pneus en or, un plug anal…
Si une large majorité de Français entendent encore ce mot que, collégiens, ils découvrirent en lisant le théâtre de Corneille, pensez-vous qu’il fasse encore partie de l’imaginaire de nos responsables politiques, notamment du premier d’entre eux ?
Lorsque les acteurs de notre démocratie représentative sont pris en défaut, ils se croient particulièrement habiles en répondant à côté de la plaque.
Ils acceptent l’impuissance de l’État et la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur l’organisation de la santé dans le pays.
Ne serait-on pas également en droit de se demander si Nicolas Sarkozy et certains juges, malgré ce qui peut les opposer politiquement, ne communieraient pas dans un même abandon de l’idée de nation devenue à leurs yeux obsolète.
Comment les élus des Yvelines font-ils pour ne pas, malgré leur impuissance, se faire remercier par leurs électeurs ?
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
Il est merveilleux, ce Jack Lang ! Il n’assume rien !
Les représentants du CCIF et de l’ex-UOIF, convoqués par la commission pour être auditionnés, ne se sont pas présentés. Que dit la loi ?
Comment pourrait-on s’apitoyer sur ce pauvre Christophe Girard ?
Avait-on besoin d’attendre qu’il envisage de s’agenouiller devant des minorités qui conchient la France pour savoir à qui nous avions affaire ?
On n’appréhende pas la réalité d’un pays et les forces destructrices qui la travaillent en se contentant de serrer des mains.
Rappelons tout d’abord le début de l’article 2 de notre Constitution : « La langue de la République est le français. »
Aujourd’hui, à quelques jours du scrutin, Bellamy semble faire l’unanimité chez les siens. Combien de temps ces gens resteront-ils les « siens » ?
Il s’agit de se structurer par le travail dans le cadre d’un emploi du temps que l’homme se donne à lui-même.
Pauvres politiques qui acceptent qu’on leur fasse prendre des vessies pour des lanternes et ne voient pas que l’Europe qu’ils montrent aux riverains du jardin du Luxembourg ne ressemble à rien à force d’être absente de toutes ces images.
En ayant laissé les politiques, depuis des années, mettre sous le boisseau, avec son emblème, l’âme de la France, les Français les ont laissé ouvrir la boîte de Pandore d’une tyrannie sanitaire.
La désertion des vaccinodromes sera-t-elle l’occasion pour les Français d’exprimer, comme lors des élections régionales et départementales de juin dernier, leur ras-le-bol ?
Est-ce là le symptôme d’une irréversible décadence ? Peut-être celle-ci ne commence-t-elle vraiment que lorsque les élites d’une nation ne savent plus ce qu’ils font lorsqu’ils inaugurent des pneus en or, un plug anal…
Si une large majorité de Français entendent encore ce mot que, collégiens, ils découvrirent en lisant le théâtre de Corneille, pensez-vous qu’il fasse encore partie de l’imaginaire de nos responsables politiques, notamment du premier d’entre eux ?
Lorsque les acteurs de notre démocratie représentative sont pris en défaut, ils se croient particulièrement habiles en répondant à côté de la plaque.
Ils acceptent l’impuissance de l’État et la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur l’organisation de la santé dans le pays.
Ne serait-on pas également en droit de se demander si Nicolas Sarkozy et certains juges, malgré ce qui peut les opposer politiquement, ne communieraient pas dans un même abandon de l’idée de nation devenue à leurs yeux obsolète.
Comment les élus des Yvelines font-ils pour ne pas, malgré leur impuissance, se faire remercier par leurs électeurs ?
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
Il est merveilleux, ce Jack Lang ! Il n’assume rien !
Les représentants du CCIF et de l’ex-UOIF, convoqués par la commission pour être auditionnés, ne se sont pas présentés. Que dit la loi ?
Comment pourrait-on s’apitoyer sur ce pauvre Christophe Girard ?
Avait-on besoin d’attendre qu’il envisage de s’agenouiller devant des minorités qui conchient la France pour savoir à qui nous avions affaire ?
On n’appréhende pas la réalité d’un pays et les forces destructrices qui la travaillent en se contentant de serrer des mains.
Rappelons tout d’abord le début de l’article 2 de notre Constitution : « La langue de la République est le français. »
Aujourd’hui, à quelques jours du scrutin, Bellamy semble faire l’unanimité chez les siens. Combien de temps ces gens resteront-ils les « siens » ?