La première séance devrait avoir lieu dans un lieu parisien discret dès ce 17 octobre. « Il faut que les élus sachent les conséquences de ce qu’ils votent sur les entreprises », explique à Boulevard Voltaire Sophie de Menthon.
Cette sujette de Sa Gracieuse Majesté s’est fendue d’une sortie assez franche sous les cameras du Daily Telegraph : « J’aimerais avoir une pleine page du Télégraph avec un avion qui décolle pour le Rwanda : c’est mon rêve. C’est mon obsession. »
Affaibli à l’Assemblée, affaibli dans l’opinion, contesté jusqu’au sein de ses troupes, désormais entouré de deux personnalités inquiétées par la Justice, Macron apparaît ballotté par la bourrasque alors que s’ouvre la session parlementaire.
Au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, les communistes disaient qu’il fallait mener la bataille de la production main dans la main avec les gaullistes. Il régnait un grand climat d’unité en France. Aujourd’hui, sur le moindre sujet, c’est la fracturation à tous les étages.
Questions taboues : quel est le taux d’étrangers parmi les interpellés partout en France et ville par ville ? Quel était ce chiffre, voilà vingt ans ?…
Encore plus explosif que les fuites de gaz en mer Baltique, le bilan des responsabilités, lorsqu’elles seront connues, risque de peser dans un contexte international tendu comme une corde.
« Le PLF (Plan de loi de finances) pour 2023 prévoit la création de 900 nouvelles places d’hébergement d’urgence pour les demandeurs d’asile en outre-mer, 1.500 places en centres d’accueil et d’examen des situations et 2.500 places en centre d’accueil pour demandeurs d’asile », explique le dossier officiel.
Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.
La joie du président de la République devant les mâts qui défigureront le paysage marin durant des décennies est tout de même troublée.
Tandis que des femmes afghanes se battent contre ce voile symbole de soumission, l’UE le promeut activement. Et n’en est pas à son coup d’essai.
Depuis l’origine, même avant la gifle de 2005, l’Europe déploie ainsi avec la démocratie les rapports charmants d’un violeur avec sa victime.
Le Royaume-Uni montre au monde à quel point l’union d’un peuple et son identité font sa force. Les images se passent de mots.
Il y a pourtant quelques motifs de satisfaction dans cette décision ahurissante de la CEDH.
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
Mélenchon parle à ceux pour qui la France n’est plus qu’une vache à lait : mondialistes, wokistes ou de culture étrangère. Roussel tente de récupérer les autres, ceux qui ont le culot de vouloir vivre en Français en France…
Tout y est, toutes les caractéristiques, toutes les ficelles, les petites et les grandes arnaques du régime.
Qui a dit que le nouveau ministre manquait d’efficacité ?
La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.
Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.
L’affaire de l’Observatoire s’est jouée sans morts, sans effusion de sang, sans procès et sans véritable enquête. Elle s’est noyée dans la politique.
Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…
Le 18 novembre 1959, au terme d’une intense préparation d’artillerie de la presse amie, Mitterrand joue son avenir face à ses pairs du Sénat.
Le 27 octobre, lors des questions au gouvernement, Pascal Arrighi, député gaulliste de Corse (et futur député du Front national), tonne dans son accent chantant : « La semaine dernière, un personnage aujourd’hui discrédité a affirmé que j’étais un assassin ! ».
Mitterrand raconte lui-même la dimension psychologique du piège, la mise en condition de la future victime par Pesquet. Il y a dans ce texte une musique, une plainte, une rage, une intelligence déployée.
Là aussi, l’écriture est belle, mais les faits manquent. Trop intelligent, trop ambitieux, François Mitterrand, pour se laisser prendre ? Françoise Giroud remonte elle aussi le rocher de Sisyphe. L’image de Mitterrand est au plus bas.
Jean Cau, qui couvre l’affaire, retourne voir le sénateur. Il trouve l’homme terré rue Guynemer, « dans un petit bureau aux fenêtres fermées ». « Voulez-vous que je vous explique ? », demande Mitterrand.
Pourquoi diable Mitterrand n’a-t-il rien dit ? Pourquoi n’a-t-il pas prévenu la police des risques d’attentat qui pesaient sur lui ?
« Vous avez devant vous, Messieurs, un homme las des attaques dont il fait une fois de plus l’objet »
La première séance devrait avoir lieu dans un lieu parisien discret dès ce 17 octobre. « Il faut que les élus sachent les conséquences de ce qu’ils votent sur les entreprises », explique à Boulevard Voltaire Sophie de Menthon.
Cette sujette de Sa Gracieuse Majesté s’est fendue d’une sortie assez franche sous les cameras du Daily Telegraph : « J’aimerais avoir une pleine page du Télégraph avec un avion qui décolle pour le Rwanda : c’est mon rêve. C’est mon obsession. »
Affaibli à l’Assemblée, affaibli dans l’opinion, contesté jusqu’au sein de ses troupes, désormais entouré de deux personnalités inquiétées par la Justice, Macron apparaît ballotté par la bourrasque alors que s’ouvre la session parlementaire.
Au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, les communistes disaient qu’il fallait mener la bataille de la production main dans la main avec les gaullistes. Il régnait un grand climat d’unité en France. Aujourd’hui, sur le moindre sujet, c’est la fracturation à tous les étages.
Questions taboues : quel est le taux d’étrangers parmi les interpellés partout en France et ville par ville ? Quel était ce chiffre, voilà vingt ans ?…
Encore plus explosif que les fuites de gaz en mer Baltique, le bilan des responsabilités, lorsqu’elles seront connues, risque de peser dans un contexte international tendu comme une corde.
« Le PLF (Plan de loi de finances) pour 2023 prévoit la création de 900 nouvelles places d’hébergement d’urgence pour les demandeurs d’asile en outre-mer, 1.500 places en centres d’accueil et d’examen des situations et 2.500 places en centre d’accueil pour demandeurs d’asile », explique le dossier officiel.
Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.
La joie du président de la République devant les mâts qui défigureront le paysage marin durant des décennies est tout de même troublée.
Tandis que des femmes afghanes se battent contre ce voile symbole de soumission, l’UE le promeut activement. Et n’en est pas à son coup d’essai.
Depuis l’origine, même avant la gifle de 2005, l’Europe déploie ainsi avec la démocratie les rapports charmants d’un violeur avec sa victime.
Le Royaume-Uni montre au monde à quel point l’union d’un peuple et son identité font sa force. Les images se passent de mots.
Il y a pourtant quelques motifs de satisfaction dans cette décision ahurissante de la CEDH.
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
Mélenchon parle à ceux pour qui la France n’est plus qu’une vache à lait : mondialistes, wokistes ou de culture étrangère. Roussel tente de récupérer les autres, ceux qui ont le culot de vouloir vivre en Français en France…
Tout y est, toutes les caractéristiques, toutes les ficelles, les petites et les grandes arnaques du régime.
Qui a dit que le nouveau ministre manquait d’efficacité ?
La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.
Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.
L’affaire de l’Observatoire s’est jouée sans morts, sans effusion de sang, sans procès et sans véritable enquête. Elle s’est noyée dans la politique.
Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…
Le 18 novembre 1959, au terme d’une intense préparation d’artillerie de la presse amie, Mitterrand joue son avenir face à ses pairs du Sénat.
Le 27 octobre, lors des questions au gouvernement, Pascal Arrighi, député gaulliste de Corse (et futur député du Front national), tonne dans son accent chantant : « La semaine dernière, un personnage aujourd’hui discrédité a affirmé que j’étais un assassin ! ».
Mitterrand raconte lui-même la dimension psychologique du piège, la mise en condition de la future victime par Pesquet. Il y a dans ce texte une musique, une plainte, une rage, une intelligence déployée.
Là aussi, l’écriture est belle, mais les faits manquent. Trop intelligent, trop ambitieux, François Mitterrand, pour se laisser prendre ? Françoise Giroud remonte elle aussi le rocher de Sisyphe. L’image de Mitterrand est au plus bas.
Jean Cau, qui couvre l’affaire, retourne voir le sénateur. Il trouve l’homme terré rue Guynemer, « dans un petit bureau aux fenêtres fermées ». « Voulez-vous que je vous explique ? », demande Mitterrand.
Pourquoi diable Mitterrand n’a-t-il rien dit ? Pourquoi n’a-t-il pas prévenu la police des risques d’attentat qui pesaient sur lui ?
« Vous avez devant vous, Messieurs, un homme las des attaques dont il fait une fois de plus l’objet »
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