Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Il faut donc rappeler à Sandrine Rousseau et aux NUPES qui l’applaudissent à tout rompre sur les bancs de l’Assemblée nationale que la France taxe déjà les riches.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Sa fille dit à Boulevard Voltaire ce qu’elle perçoit comme une grave injustice.
Derrière les rodomontades de Darmanin, la politique politicienne n’est jamais très loin. Pourquoi cette déclaration et f
C’est parti pour un « en même temps » géant, une forme de voyage dans la gigantesque bulle où évoluent nos macronistes.
Le remaniement illustre une fois de plus la déchirure qui détruit l’ancien parti de Sarkozy.
La vie et la jeunesse reviennent. Dès la rentrée de septembre, une quinzaine d’élèves en blouses grises empliront de leurs cris et de leurs jeux la cour de récréation aujourd’hui silencieuse.
Ce sondage montre une envolée des personnalités de la droite nationale, à commencer par la première d’entre elles : Marine Le Pen gagne 6 points, à 39 % d’avis favorables.
Il y a des moments et des douleurs que l’on respecte lorsqu’on est un être humain, quelles que soient ses opinions. Cette loi ne vaut pas pour la NUPES.
La bataille du pouvoir d’achat donnera le ton de tout le mandat. Elle servira de baptême du feu pour les nouveaux élus à l’Assemblée.
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
Les enjeux sont pourtant majeurs pour le parti de Marine Le Pen qui en a besoin pour faire la démonstration de son sérieux et de sa crédibilité.
On peut penser ce que l’on veut de Marine Le Pen, de ses choix, de ses positions, de sa ligne politique, de son management interne au RN. Les patriotes lui doivent un coup de chapeau.
« Dès midi, des faits de délinquance sont constatés : 300 à 400 délinquants ont perturbé la gestion des flux. L’organisation des forces de l’ordre n’était pas adaptée pour y faire face »
Et si le RN créait la surprise ? L’euphorie s’empare du parti de Marine Le Pen si souvent enterré.
Les élections législatives de ce dimanche 12 juin débouchent sur un paysage parlementaire inacceptable pour l’ensemble des électeurs de droite de ce pays et lourd de menaces pour la suite.
La Direction générale de l’offre de soins (DGOS), une entité du ministère de la Santé, s’apprête à faire la fête, le 23 juin prochain. Une petite sauterie gentiment arrosée, la cérémonie des « DGOScars ».
Ce silence a de quoi surprendre. Il tient à au moins trois (mauvaises) raisons.
La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.
Les images de sang et de chaos dans l’église Saint Francis d’Owo, au Nigeria, sortent sur les réseaux sociaux. Elles sont insoutenables.
Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.
Devant la Commission des lois au Sénat, ce 1er juin, Gérald Darmanin s’est surpassé dans la mauvaise foi et le déni de réalité.
Hou hou ! Où est donc passé Emmanuel Macron ? Boulevard Voltaire se désespère, vous pensez bien ! Le président de la République a disparu. Seul l’écho répond aux appels des Français.
Le ministre de l’Intérieur a donc délibérément choisi une ligne politique suicidaire, celle du mensonge. Tant pis si cette version provoque des éclats de rire sur les réseaux sociaux : les internautes ironisent sur ces Anglais bilingues qui imitent si parfaitement, dans leurs vidéos, le phrasé de nos banlieues.
« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Il faut donc rappeler à Sandrine Rousseau et aux NUPES qui l’applaudissent à tout rompre sur les bancs de l’Assemblée nationale que la France taxe déjà les riches.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Sa fille dit à Boulevard Voltaire ce qu’elle perçoit comme une grave injustice.
Derrière les rodomontades de Darmanin, la politique politicienne n’est jamais très loin. Pourquoi cette déclaration et f
C’est parti pour un « en même temps » géant, une forme de voyage dans la gigantesque bulle où évoluent nos macronistes.
Le remaniement illustre une fois de plus la déchirure qui détruit l’ancien parti de Sarkozy.
La vie et la jeunesse reviennent. Dès la rentrée de septembre, une quinzaine d’élèves en blouses grises empliront de leurs cris et de leurs jeux la cour de récréation aujourd’hui silencieuse.
Ce sondage montre une envolée des personnalités de la droite nationale, à commencer par la première d’entre elles : Marine Le Pen gagne 6 points, à 39 % d’avis favorables.
Il y a des moments et des douleurs que l’on respecte lorsqu’on est un être humain, quelles que soient ses opinions. Cette loi ne vaut pas pour la NUPES.
La bataille du pouvoir d’achat donnera le ton de tout le mandat. Elle servira de baptême du feu pour les nouveaux élus à l’Assemblée.
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
Les enjeux sont pourtant majeurs pour le parti de Marine Le Pen qui en a besoin pour faire la démonstration de son sérieux et de sa crédibilité.
On peut penser ce que l’on veut de Marine Le Pen, de ses choix, de ses positions, de sa ligne politique, de son management interne au RN. Les patriotes lui doivent un coup de chapeau.
« Dès midi, des faits de délinquance sont constatés : 300 à 400 délinquants ont perturbé la gestion des flux. L’organisation des forces de l’ordre n’était pas adaptée pour y faire face »
Et si le RN créait la surprise ? L’euphorie s’empare du parti de Marine Le Pen si souvent enterré.
Les élections législatives de ce dimanche 12 juin débouchent sur un paysage parlementaire inacceptable pour l’ensemble des électeurs de droite de ce pays et lourd de menaces pour la suite.
La Direction générale de l’offre de soins (DGOS), une entité du ministère de la Santé, s’apprête à faire la fête, le 23 juin prochain. Une petite sauterie gentiment arrosée, la cérémonie des « DGOScars ».
Ce silence a de quoi surprendre. Il tient à au moins trois (mauvaises) raisons.
La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.
Les images de sang et de chaos dans l’église Saint Francis d’Owo, au Nigeria, sortent sur les réseaux sociaux. Elles sont insoutenables.
Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.
Devant la Commission des lois au Sénat, ce 1er juin, Gérald Darmanin s’est surpassé dans la mauvaise foi et le déni de réalité.
Hou hou ! Où est donc passé Emmanuel Macron ? Boulevard Voltaire se désespère, vous pensez bien ! Le président de la République a disparu. Seul l’écho répond aux appels des Français.
Le ministre de l’Intérieur a donc délibérément choisi une ligne politique suicidaire, celle du mensonge. Tant pis si cette version provoque des éclats de rire sur les réseaux sociaux : les internautes ironisent sur ces Anglais bilingues qui imitent si parfaitement, dans leurs vidéos, le phrasé de nos banlieues.
« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…
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