Chaque ralliement marque une étape symbolique vers la victoire pour le candidat, ses équipes et ses électeurs. Mais le poids de ces ralliements n’est pas le même.
Pour Eric Revel, « le drapeau du « En même temps » a hystérisé la société française ».
En flânant sur Twitter, elle est tombée sur une vidéo tournée sous le panneau d’une petite commune française. « 2022, écrit-elle. Je découvre qu’une commune française porte le nom de Les Nègres »…
Sous le titre « Parler des pronoms en milieu de travail », United Airlines explique à ses salariés tentés de penser qu’un homme n’est pas une femme et vice versa que ce n’est pas si simple.
Lorsque ce dispositif se penche sur la pornographie, l’utilisation de mineurs dans des activités manifestement illicites ou le piratage, il est acceptable. S’il s’applique un jour aux opinions, on pourra craindre une dérive à la chinoise.
La violence et le succès populaire de cette charge en dit long sur une certaine France que le gouvernement a définitivement braquée contre lui. À cet égard, le vent qui se lève rappelle le début de la crise des gilets jaunes.
À la veille du 1er de l’An, d’un coup de baguette, Valérie Pécresse a fait surgir des entrailles de LR une hydre à sept têtes.
Le Pen et Zemmour se saisissent de ces mesures pour mettre le pouvoir face à ses promesses non tenues, ses errements et face aux résultats de sa stratégie.
Toute référence et similitude avec l’état de la France, actuel et à venir, est évidemment la bienvenue, sans quoi nos candidats auraient été se promener en Allemagne, aux États-Unis ou en Chine.
Lors des trois premières élections présidentielles du régime, en 1965, 1969 et 1974, les parrainages de 100 élus du peuple suffisaient. Ces trois scrutins ont vu concourir 6, 7 et 12 candidats, loin de la cohue qu’on nous présente comme inéluctable en cas d’abaissement de la barre des 500 signatures.
Ce mercredi 22 décembre, quarante élèves officiers de l’Académie militaire de Saint-Cyr livreront une bataille décisive… sur l’antenne de M6.
Notre gauche française jubilante est flashée accélérateur au plancher dans ce que les psychologues appellent un transfert. Elle oublie qu’elle n’est pour rien dans la victoire du jeune leader chilien.
« Je me suis retrouvé en slip pour une palpation. Puis nous avons été conduits dans des box ou je ne mettrais pas mon chien tellement l’odeur est forte ».
Cyril Hanouna est la coqueluche d’un public jeune. Or, ce public bascule crescendo vers la droite avec armes et bagages, sans le moindre complexe. Parmi tous les malheurs de la gauche, qui a tant voulu incarner la jeunesse, celui-ci est peut-être le plus cruel.
Qu’a-t-il fait du prestige de la France, de l’image de notre pays auprès des Français eux-mêmes – on les oublie si souvent ?
Le rideau est tiré : les électeurs de gauche contemplent désespérément une scène presque vide. Mais on ne vit pas sans espoir et qu’importe si l’espoir est fou. Christiane Taubira, c’est certain, sauvera le radeau de la Méduse gauchiste.
A l’origine de ces maux, l’effondrement de nos élites qui n’osent plus dire les choses et sont prêtes à pactiser avec ceux qui veulent notre mort. Ce sont des dhimmis, ils sont soumis.
En 2020, Donald Trump avait respecté une promesse de campagne en inscrivant ces mouvances parmi les organisations terroristes nationales, provoquant une vague d’articles en défense dans la presse américaine.
Les deux personnalités qui s’opposent frontalement sur France 2 font irrésistiblement songer à la fable de La Fontaine Le Loup et le Chien.
Quatre ans après son arrivée au pouvoir, le bilan des affaires appelle le Président-candidat à davantage de modestie.
Ses propres chiffres en témoignent : tous les gouvernements, y compris ceux auxquels il a appartenu, travaillent depuis des décennies contre les intérêts de la France. Avec persistance, application et efficacité.
Au cas où Pécresse manifesterait des velléités d’indépendance, elle trouverait face à elle le crâne lisse et l’œil qui frise du député des Alpes maritimes.
« La prochaine élection présidentielle devait être une formalité pour cinq années supplémentaires de macronisme, entame Zemmour, mais un petit grain de sable est venu gripper la machine ».
Valérie Pécresse a donc décroché de haute lutte, après quatre débats télévisés et un vote des militants, le droit de participer à la course présidentielle
En quelques jours, deux candidats se seront déclarés : la vraie campagne présidentielle peut commencer.
« C’est la France qui a fait ce que je suis, je suis prête, capitaine, à lui donner ma vie. Je lui garderai une reconnaissance éternelle. »
Cette mansuétude soudaine pour des idées que le gouvernement auquel il appartient ne cesse de vitupérer s’explique aisément par un calcul bassement politicien. L’essence de la Macronie.
Les Français s’inquiètent pour leur pays. Trois sur quatre (74%) considèrent que « La France est en déclin », un chiffre en hausse. Ils pensent que « l’Islam est une menace pour l’identité » du pays (68%).
Chaque ralliement marque une étape symbolique vers la victoire pour le candidat, ses équipes et ses électeurs. Mais le poids de ces ralliements n’est pas le même.
Pour Eric Revel, « le drapeau du « En même temps » a hystérisé la société française ».
En flânant sur Twitter, elle est tombée sur une vidéo tournée sous le panneau d’une petite commune française. « 2022, écrit-elle. Je découvre qu’une commune française porte le nom de Les Nègres »…
Sous le titre « Parler des pronoms en milieu de travail », United Airlines explique à ses salariés tentés de penser qu’un homme n’est pas une femme et vice versa que ce n’est pas si simple.
Lorsque ce dispositif se penche sur la pornographie, l’utilisation de mineurs dans des activités manifestement illicites ou le piratage, il est acceptable. S’il s’applique un jour aux opinions, on pourra craindre une dérive à la chinoise.
La violence et le succès populaire de cette charge en dit long sur une certaine France que le gouvernement a définitivement braquée contre lui. À cet égard, le vent qui se lève rappelle le début de la crise des gilets jaunes.
À la veille du 1er de l’An, d’un coup de baguette, Valérie Pécresse a fait surgir des entrailles de LR une hydre à sept têtes.
Le Pen et Zemmour se saisissent de ces mesures pour mettre le pouvoir face à ses promesses non tenues, ses errements et face aux résultats de sa stratégie.
Toute référence et similitude avec l’état de la France, actuel et à venir, est évidemment la bienvenue, sans quoi nos candidats auraient été se promener en Allemagne, aux États-Unis ou en Chine.
Lors des trois premières élections présidentielles du régime, en 1965, 1969 et 1974, les parrainages de 100 élus du peuple suffisaient. Ces trois scrutins ont vu concourir 6, 7 et 12 candidats, loin de la cohue qu’on nous présente comme inéluctable en cas d’abaissement de la barre des 500 signatures.
Ce mercredi 22 décembre, quarante élèves officiers de l’Académie militaire de Saint-Cyr livreront une bataille décisive… sur l’antenne de M6.
Notre gauche française jubilante est flashée accélérateur au plancher dans ce que les psychologues appellent un transfert. Elle oublie qu’elle n’est pour rien dans la victoire du jeune leader chilien.
« Je me suis retrouvé en slip pour une palpation. Puis nous avons été conduits dans des box ou je ne mettrais pas mon chien tellement l’odeur est forte ».
Cyril Hanouna est la coqueluche d’un public jeune. Or, ce public bascule crescendo vers la droite avec armes et bagages, sans le moindre complexe. Parmi tous les malheurs de la gauche, qui a tant voulu incarner la jeunesse, celui-ci est peut-être le plus cruel.
Qu’a-t-il fait du prestige de la France, de l’image de notre pays auprès des Français eux-mêmes – on les oublie si souvent ?
Le rideau est tiré : les électeurs de gauche contemplent désespérément une scène presque vide. Mais on ne vit pas sans espoir et qu’importe si l’espoir est fou. Christiane Taubira, c’est certain, sauvera le radeau de la Méduse gauchiste.
A l’origine de ces maux, l’effondrement de nos élites qui n’osent plus dire les choses et sont prêtes à pactiser avec ceux qui veulent notre mort. Ce sont des dhimmis, ils sont soumis.
En 2020, Donald Trump avait respecté une promesse de campagne en inscrivant ces mouvances parmi les organisations terroristes nationales, provoquant une vague d’articles en défense dans la presse américaine.
Les deux personnalités qui s’opposent frontalement sur France 2 font irrésistiblement songer à la fable de La Fontaine Le Loup et le Chien.
Quatre ans après son arrivée au pouvoir, le bilan des affaires appelle le Président-candidat à davantage de modestie.
Ses propres chiffres en témoignent : tous les gouvernements, y compris ceux auxquels il a appartenu, travaillent depuis des décennies contre les intérêts de la France. Avec persistance, application et efficacité.
Au cas où Pécresse manifesterait des velléités d’indépendance, elle trouverait face à elle le crâne lisse et l’œil qui frise du député des Alpes maritimes.
« La prochaine élection présidentielle devait être une formalité pour cinq années supplémentaires de macronisme, entame Zemmour, mais un petit grain de sable est venu gripper la machine ».
Valérie Pécresse a donc décroché de haute lutte, après quatre débats télévisés et un vote des militants, le droit de participer à la course présidentielle
En quelques jours, deux candidats se seront déclarés : la vraie campagne présidentielle peut commencer.
« C’est la France qui a fait ce que je suis, je suis prête, capitaine, à lui donner ma vie. Je lui garderai une reconnaissance éternelle. »
Cette mansuétude soudaine pour des idées que le gouvernement auquel il appartient ne cesse de vitupérer s’explique aisément par un calcul bassement politicien. L’essence de la Macronie.
Les Français s’inquiètent pour leur pays. Trois sur quatre (74%) considèrent que « La France est en déclin », un chiffre en hausse. Ils pensent que « l’Islam est une menace pour l’identité » du pays (68%).
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