Sur le site d’une association de pompiers volontaires, on peut lire : « La gravité des feux n’a rien à voir avec le changement climatique mais avec de nouvelles règles environnementales qui ont rendu l’entretien du bush impossible au nom de la biodiversité. »
Ce très sérieux rapport a l’imprudence de faire des prévisions à court terme…
Alors que la COP25 bat son plein et que le GIEC vient de sortir un nouveau rapport à l’intention des décideurs, il est intéressant de rappeler qu’en novembre 2009, la presse anglophone et des sites Internet se déchaînaient sur ce qui sera appelé le « Climategate ».
Trump l’avait dit avant son élection ; il l’a fait.
Un parti qui voudrait redonner à l’écologisme la place qui lui revient se devrait de remettre la science des observations et des études au centre des décisions.
La presse est évidemment restée assez silencieuse
Le taux de mortalité dans le monde agricole, toutes causes confondues, est inférieur de 29 % chez les hommes et 28 % chez les femmes…
Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.
Paris suffoque, la France suffoque, donc l’Europe doit aussi suffoquer, et pourquoi pas le monde entier ? C’est le pas allègrement franchi par les journaux télévisés du 25 juillet.
Si l’engagement de Greta est probablement sincère, il semble être plus le fruit d’une manipulation que d’une prise de conscience spontanée, comme on veut nous le faire croire.
Le débat scientifique sur le changement climatique est donc loin d’être clos, contrairement à ce que beaucoup voudraient nous faire croire.
Toutes ces mesures sont-elles donc nécessaires compte tenu de l’impact absolument négligeable qu’elles auront sur le climat, et de l’impact absolument conséquent qu’elles auront sur notre économie ?
Le but est-il donc de donner aux élèves les bases scientifiques nécessaires pour poursuivre des études supérieures ou d’aller grossir les rangs des lycéens qui font grève pour le climat ?
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Nous avons donc largement de quoi nous inquiéter… mais pas du climat.
Une leçon de militantisme journalistique.
Ces derniers jours, sans doute avez-vous entendu répéter régulièrement, dans les médias, un message du type : « Il y a, en ce moment, une pétition
…mais, visiblement, nous vivons un temps où il est préférable de rassurer les croyants de l’apocalypse climatique…
Il y a quelques années, on aurait parlé d’un bel été ensoleillé avec de fortes températures.
Face à des agriculteurs désemparés, car le glyphosate n’a pas de concurrent et ne pourra pas être remplacé dans l’immédiat, Nicolas Hulot a tranché.
Pourquoi Trump a-t-il déclenché une telle hystérie ?
Ce mouvement est né en janvier aux États-Unis, après l’investiture du président Donald Trump.
Sur le site d’une association de pompiers volontaires, on peut lire : « La gravité des feux n’a rien à voir avec le changement climatique mais avec de nouvelles règles environnementales qui ont rendu l’entretien du bush impossible au nom de la biodiversité. »
Ce très sérieux rapport a l’imprudence de faire des prévisions à court terme…
Alors que la COP25 bat son plein et que le GIEC vient de sortir un nouveau rapport à l’intention des décideurs, il est intéressant de rappeler qu’en novembre 2009, la presse anglophone et des sites Internet se déchaînaient sur ce qui sera appelé le « Climategate ».
Trump l’avait dit avant son élection ; il l’a fait.
Un parti qui voudrait redonner à l’écologisme la place qui lui revient se devrait de remettre la science des observations et des études au centre des décisions.
La presse est évidemment restée assez silencieuse
Le taux de mortalité dans le monde agricole, toutes causes confondues, est inférieur de 29 % chez les hommes et 28 % chez les femmes…
Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.
Paris suffoque, la France suffoque, donc l’Europe doit aussi suffoquer, et pourquoi pas le monde entier ? C’est le pas allègrement franchi par les journaux télévisés du 25 juillet.
Si l’engagement de Greta est probablement sincère, il semble être plus le fruit d’une manipulation que d’une prise de conscience spontanée, comme on veut nous le faire croire.
Le débat scientifique sur le changement climatique est donc loin d’être clos, contrairement à ce que beaucoup voudraient nous faire croire.
Toutes ces mesures sont-elles donc nécessaires compte tenu de l’impact absolument négligeable qu’elles auront sur le climat, et de l’impact absolument conséquent qu’elles auront sur notre économie ?
Le but est-il donc de donner aux élèves les bases scientifiques nécessaires pour poursuivre des études supérieures ou d’aller grossir les rangs des lycéens qui font grève pour le climat ?
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Nous avons donc largement de quoi nous inquiéter… mais pas du climat.
Une leçon de militantisme journalistique.
Ces derniers jours, sans doute avez-vous entendu répéter régulièrement, dans les médias, un message du type : « Il y a, en ce moment, une pétition
…mais, visiblement, nous vivons un temps où il est préférable de rassurer les croyants de l’apocalypse climatique…
Il y a quelques années, on aurait parlé d’un bel été ensoleillé avec de fortes températures.
Face à des agriculteurs désemparés, car le glyphosate n’a pas de concurrent et ne pourra pas être remplacé dans l’immédiat, Nicolas Hulot a tranché.
Pourquoi Trump a-t-il déclenché une telle hystérie ?
Ce mouvement est né en janvier aux États-Unis, après l’investiture du président Donald Trump.
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