Wall Street a fini dans le rouge, ce vendredi, la poussée alarmante du coronavirus dans de nombreux États américains faisant peser un climat d’incertitude sur
Dans les années 50, chaque dollar emprunté générait 70 centimes de croissance du PIB. Aujourd’hui, un dollar de dette génère seulement 30 centimes de PIB.
Selon un sondage récent de Fox News, 80 % des Américains pensent que la Bourse a perdu les pédales.
Le bateau ivre « BCE » continue sa folle marche en avant tout droit dans le mur avec, à la clé, la perte de confiance dans l’euro, nouvelle monnaie de singe, style Zimbabwe et Venezuela.
Il est probable que toutes ces gesticulations médiatiques autour de cet emprunt fédéraliste par l’UE nous apparaîtront, un jour, comme un élément parmi tant d’autres du rideau de fumées…
Tout cela ne peut se terminer que par une immense explosion à venir et un nouvel ordre monétaire international fondé exclusivement sur l’or, contrairement à ce qui avait été décidé en 1945 à Bretton Woods
Certains voient se profiler de nouveau, à moyen terme, l’hyperinflation de la République de Weimar.
Tout cela va se terminer par la banqueroute de l’Italie, puis de la France, avec retour à la monnaie commune et une première dévaluation du franc de 25 %, fin 2020 ou début 2021 au plus tard, à moins que les traités ne soient renégociés ?
La seule différence, c’est qu’à l’époque, il n’y avait pas de Macron, pas de « QE » infini partout dans le monde.
Le déficit de la Sécurité sociale devrait exploser à 41 milliards d’euros en 2020, soit plus que le budget de la Défense !
Les banques centrales ne peuvent pas tout faire : calmer les marchés, éviter les banqueroutes des États, les défaillances d’entreprises et des particuliers, surseoir aux défaillances des pays émergents, relancer l’économie.
Nous allons donc connaître une catastrophe économique en France seulement parce que le pays ne dispose pas de masques et d’appareils respiratoires en nombre suffisant, suite au laxisme de nos élites.
Les fondations du système financier se fissurent dangereusement. L’explosion finale, nonobstant l’Italie, ne sera probablement pas pour 2020, mais tous les pays du monde seront, d’ici la fin de l’année, le dos au mur…
Il est probable que nous assistions au début de la pire dépression économique mondiale jamais survenue en temps de paix, tant les dettes des États, des entreprises et des particuliers sont démentielles partout dans le monde…
Le coronavirus ne fait que précipiter la crise, annoncée depuis longtemps, de la bulle des actions et de l’hyperendettement
La crise de 2020 sera pire que celle de 2008 car il y aura d’abord mise à l’arrêt de l’économie réelle.
Le coronavirus a fait sortir de sa cachette le monstre caché dans ce Système de pacotille.
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Le problème est de savoir si l’épidémie aura des effets maîtrisables, temporaires et réversibles. Si ce n’est pas le cas, un hyper krach dans une économie mondiale aussi fragile, interconnectée et hyper-endettée, serait inévitable.
Lors de son discours du 4 février sur l’état de l’Union au Congrès, Donald Trump aurait mieux fait d’être un peu moins sûr de lui
En fait, personne n’est actuellement en mesure d’évaluer la gravité de l’épidémie, et encore moins ses effets à venir sur l’économie et les Bourses mondiales.
Pas étonnant, donc, si le cours de l’or se rapproche des 1.600 dollars l’once, si 26 millions d’Allemands possèdent désormais de l’or, soit 8.918 tonnes, soit 4 fois les réserves d’or de la Banque de France.
Il suffirait d’une petite bourrasque… pour que l’économie mondiale s’effondre.
Nous vivons dans le monde merveilleux de l’argent gratuit en quantité illimitée…
La moindre étincelle, telle que l’assassinat du général iranien Soleimani, peut mettre le feu aux poudres.
1 % de plus d’intérêts, si les taux remontent, c’est 24 milliards d’euros de plus à trouver, soit beaucoup plus que le montant du déficit des retraites en 2025.
Les banques centrales et l’hyper-endettement nous auront fait gagner du temps, mais la Camarde est au bout du chemin.
Wall Street a fini dans le rouge, ce vendredi, la poussée alarmante du coronavirus dans de nombreux États américains faisant peser un climat d’incertitude sur
Dans les années 50, chaque dollar emprunté générait 70 centimes de croissance du PIB. Aujourd’hui, un dollar de dette génère seulement 30 centimes de PIB.
Selon un sondage récent de Fox News, 80 % des Américains pensent que la Bourse a perdu les pédales.
Le bateau ivre « BCE » continue sa folle marche en avant tout droit dans le mur avec, à la clé, la perte de confiance dans l’euro, nouvelle monnaie de singe, style Zimbabwe et Venezuela.
Il est probable que toutes ces gesticulations médiatiques autour de cet emprunt fédéraliste par l’UE nous apparaîtront, un jour, comme un élément parmi tant d’autres du rideau de fumées…
Tout cela ne peut se terminer que par une immense explosion à venir et un nouvel ordre monétaire international fondé exclusivement sur l’or, contrairement à ce qui avait été décidé en 1945 à Bretton Woods
Certains voient se profiler de nouveau, à moyen terme, l’hyperinflation de la République de Weimar.
Tout cela va se terminer par la banqueroute de l’Italie, puis de la France, avec retour à la monnaie commune et une première dévaluation du franc de 25 %, fin 2020 ou début 2021 au plus tard, à moins que les traités ne soient renégociés ?
La seule différence, c’est qu’à l’époque, il n’y avait pas de Macron, pas de « QE » infini partout dans le monde.
Le déficit de la Sécurité sociale devrait exploser à 41 milliards d’euros en 2020, soit plus que le budget de la Défense !
Les banques centrales ne peuvent pas tout faire : calmer les marchés, éviter les banqueroutes des États, les défaillances d’entreprises et des particuliers, surseoir aux défaillances des pays émergents, relancer l’économie.
Nous allons donc connaître une catastrophe économique en France seulement parce que le pays ne dispose pas de masques et d’appareils respiratoires en nombre suffisant, suite au laxisme de nos élites.
Les fondations du système financier se fissurent dangereusement. L’explosion finale, nonobstant l’Italie, ne sera probablement pas pour 2020, mais tous les pays du monde seront, d’ici la fin de l’année, le dos au mur…
Il est probable que nous assistions au début de la pire dépression économique mondiale jamais survenue en temps de paix, tant les dettes des États, des entreprises et des particuliers sont démentielles partout dans le monde…
Le coronavirus ne fait que précipiter la crise, annoncée depuis longtemps, de la bulle des actions et de l’hyperendettement
La crise de 2020 sera pire que celle de 2008 car il y aura d’abord mise à l’arrêt de l’économie réelle.
Le coronavirus a fait sortir de sa cachette le monstre caché dans ce Système de pacotille.
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Le problème est de savoir si l’épidémie aura des effets maîtrisables, temporaires et réversibles. Si ce n’est pas le cas, un hyper krach dans une économie mondiale aussi fragile, interconnectée et hyper-endettée, serait inévitable.
Lors de son discours du 4 février sur l’état de l’Union au Congrès, Donald Trump aurait mieux fait d’être un peu moins sûr de lui
En fait, personne n’est actuellement en mesure d’évaluer la gravité de l’épidémie, et encore moins ses effets à venir sur l’économie et les Bourses mondiales.
Pas étonnant, donc, si le cours de l’or se rapproche des 1.600 dollars l’once, si 26 millions d’Allemands possèdent désormais de l’or, soit 8.918 tonnes, soit 4 fois les réserves d’or de la Banque de France.
Il suffirait d’une petite bourrasque… pour que l’économie mondiale s’effondre.
Nous vivons dans le monde merveilleux de l’argent gratuit en quantité illimitée…
La moindre étincelle, telle que l’assassinat du général iranien Soleimani, peut mettre le feu aux poudres.
1 % de plus d’intérêts, si les taux remontent, c’est 24 milliards d’euros de plus à trouver, soit beaucoup plus que le montant du déficit des retraites en 2025.
Les banques centrales et l’hyper-endettement nous auront fait gagner du temps, mais la Camarde est au bout du chemin.
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