Les petits Lyonnais n’auront plus qu’à regarder des documentaires pour se sensibiliser à la cause animale…
Le sanctuaire a beaucoup fait parler de lui, ces dernières années, tant pour la pratique religieuse radicale qui s’y se tenait que pour le traitement de faveur dont il bénéficiait grâce aux largesses de la mairie.
Ce nouveau pas vers le « tout numérique » intervient comme le triste symbole d’une société numérisée, incapable de prendre du temps pour les autres.
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
Car au-delà d’être un « vendu », une « putain de passoire », le « pire gardien de l’histoire du tir au but » ou encore un « fils de pute », Hugo Lloris a un impardonnable défaut : c’est un « sale Blanc ».
Une étoile en chassant une autre, le glissement s’est fait tout naturellement et le drapeau marocain prend désormais ses quartiers jusque sur nos mairies.
Drapées dans leurs drapeaux algériens et marocains, les trois « splendides » laissent là le spectateur, abasourdi par tous ces qualificatifs, après lui avoir largement fait comprendre qu’il n’était chez lui que par sursis.
Le nouveau PDG préconise un retour aux sources, tentative ultime pour retrouver un public qui a déserté, sans doute lassé par les doses de moraline injectées dans des dessins animés à qui l’on demandait seulement de faire rêver les enfants.
Alors que, le 10 novembre dernier, Gérald Darmanin annonçait l’accueil, « à titre exceptionnel », du navire Ocean Viking et de ses 234 migrants dans le port de Toulon – ou, plus précisément, dans l’arsenal -, à peine quelques jours plus tard, une autre famille a vu, quant à elle, sa demande d’asile rejetée pour la quatrième fois en cinq ans.
Le Qatar, d’ailleurs, ne paraît pas complexé de grand-chose, et le prosélytisme dont il compte faire profiter ses hôtes dans les semaines à venir est tout à fait officiel.
Il faut avouer que, cette fois-ci, l’heure est grave.
Les habitants ont pu admirer, ce week-end, un Victor Hugo flambant neuf, mais surtout insolemment bronzé pour la météo ambiante.
Un nouveau chantre de l’assimilation s’est éclos, cette semaine, en la personne d’Hugo Lloris, capitaine de l’équipe de France de football.
L’imagination de ces militants ne semble pas connaître de limites, et la violence qui s’ensuit non plus.
Les grands discours ne fonctionnent plus, les promesses ne sont pas tenues, et pourtant des choses se font. Ou, plutôt, se défont.
Carton plein, en tout cas, pour Sandrine Rousseau, qui a de nouveau réussi à enflammer la Toile en à peine quelques heures.
Via, la voie du peuple rappelle qu’il se lève pour « défendre les libertés fondamentales des Français malmenées par le gouvernement ».
Qui osera dire que nos ancêtres sont Gaulois, quand ceux d’un grand nombre de nos concitoyens n’ont pas grand-chose à voir avec Clovis et Vercingétorix ?
On est loin de la pagaille qui s’était emparée, en juillet dernier, du centre de détention val-de-marnais, orchestrée par des membres mêmes du personnel.
Violées, dégradées, effacées par les transgenres, les féministes, autrefois à la pointe du progressisme, sont désormais cantonnées à devenir des TERF, des femmes qui ne reconnaissent pas les femmes transsexuelles comme des femmes, autrement dit des fachos…
Strasbourg complète ainsi cette liste de bonnets de nuit à qui le terme « festif » semble donner de l’urticaire en frappant d’interdit un patrimoine chrétien et français pour le remplacer par des spécialités venues d’ailleurs…
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Celle qui, il y a encore quelques semaines, faisait les délices de ses opposants par ses sorties systématiquement inappropriées semble, cette fois-ci, être allée trop loin.
Une surprise que les Cuersois n’ont pas forcément appréciée, déplorant notamment le manque de transparence du maire sur ce sujet qui les touche très directement.
Le passeur est un être généreux, certes, mais il aime être payé à temps. Sans quoi, il réagira à sa manière, c’est-à-dire par « les coups, les viols, les menaces sur leur vie et celle de leur famille »…
Le propriétaire se retrouve donc seul contre tous et se voit contraint d’être le Bon Samaritain qui paye sans rechigner, rénove son logement, se rend aux convocations consécutives aux nuisances créées par les squatteurs…
Il ne nous reste plus qu’à souhaiter au ministre de l’Intérieur que ses déclaration soient rapidement suivies d’effet, sous peine d’enterrer définitivement sa crédibilité plus que vacillante auprès des Français.
La guerre des mots est déclarée, et cet apanage qu’avait la gauche de noyer le poisson dans des mots vides à l’intérieurs, percutants à l’extérieur, semble lui échapper.
Les petits Lyonnais n’auront plus qu’à regarder des documentaires pour se sensibiliser à la cause animale…
Le sanctuaire a beaucoup fait parler de lui, ces dernières années, tant pour la pratique religieuse radicale qui s’y se tenait que pour le traitement de faveur dont il bénéficiait grâce aux largesses de la mairie.
Ce nouveau pas vers le « tout numérique » intervient comme le triste symbole d’une société numérisée, incapable de prendre du temps pour les autres.
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
Car au-delà d’être un « vendu », une « putain de passoire », le « pire gardien de l’histoire du tir au but » ou encore un « fils de pute », Hugo Lloris a un impardonnable défaut : c’est un « sale Blanc ».
Une étoile en chassant une autre, le glissement s’est fait tout naturellement et le drapeau marocain prend désormais ses quartiers jusque sur nos mairies.
Drapées dans leurs drapeaux algériens et marocains, les trois « splendides » laissent là le spectateur, abasourdi par tous ces qualificatifs, après lui avoir largement fait comprendre qu’il n’était chez lui que par sursis.
Le nouveau PDG préconise un retour aux sources, tentative ultime pour retrouver un public qui a déserté, sans doute lassé par les doses de moraline injectées dans des dessins animés à qui l’on demandait seulement de faire rêver les enfants.
Alors que, le 10 novembre dernier, Gérald Darmanin annonçait l’accueil, « à titre exceptionnel », du navire Ocean Viking et de ses 234 migrants dans le port de Toulon – ou, plus précisément, dans l’arsenal -, à peine quelques jours plus tard, une autre famille a vu, quant à elle, sa demande d’asile rejetée pour la quatrième fois en cinq ans.
Le Qatar, d’ailleurs, ne paraît pas complexé de grand-chose, et le prosélytisme dont il compte faire profiter ses hôtes dans les semaines à venir est tout à fait officiel.
Il faut avouer que, cette fois-ci, l’heure est grave.
Les habitants ont pu admirer, ce week-end, un Victor Hugo flambant neuf, mais surtout insolemment bronzé pour la météo ambiante.
Un nouveau chantre de l’assimilation s’est éclos, cette semaine, en la personne d’Hugo Lloris, capitaine de l’équipe de France de football.
L’imagination de ces militants ne semble pas connaître de limites, et la violence qui s’ensuit non plus.
Les grands discours ne fonctionnent plus, les promesses ne sont pas tenues, et pourtant des choses se font. Ou, plutôt, se défont.
Carton plein, en tout cas, pour Sandrine Rousseau, qui a de nouveau réussi à enflammer la Toile en à peine quelques heures.
Via, la voie du peuple rappelle qu’il se lève pour « défendre les libertés fondamentales des Français malmenées par le gouvernement ».
Qui osera dire que nos ancêtres sont Gaulois, quand ceux d’un grand nombre de nos concitoyens n’ont pas grand-chose à voir avec Clovis et Vercingétorix ?
On est loin de la pagaille qui s’était emparée, en juillet dernier, du centre de détention val-de-marnais, orchestrée par des membres mêmes du personnel.
Violées, dégradées, effacées par les transgenres, les féministes, autrefois à la pointe du progressisme, sont désormais cantonnées à devenir des TERF, des femmes qui ne reconnaissent pas les femmes transsexuelles comme des femmes, autrement dit des fachos…
Strasbourg complète ainsi cette liste de bonnets de nuit à qui le terme « festif » semble donner de l’urticaire en frappant d’interdit un patrimoine chrétien et français pour le remplacer par des spécialités venues d’ailleurs…
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Celle qui, il y a encore quelques semaines, faisait les délices de ses opposants par ses sorties systématiquement inappropriées semble, cette fois-ci, être allée trop loin.
Une surprise que les Cuersois n’ont pas forcément appréciée, déplorant notamment le manque de transparence du maire sur ce sujet qui les touche très directement.
Le passeur est un être généreux, certes, mais il aime être payé à temps. Sans quoi, il réagira à sa manière, c’est-à-dire par « les coups, les viols, les menaces sur leur vie et celle de leur famille »…
Le propriétaire se retrouve donc seul contre tous et se voit contraint d’être le Bon Samaritain qui paye sans rechigner, rénove son logement, se rend aux convocations consécutives aux nuisances créées par les squatteurs…
Il ne nous reste plus qu’à souhaiter au ministre de l’Intérieur que ses déclaration soient rapidement suivies d’effet, sous peine d’enterrer définitivement sa crédibilité plus que vacillante auprès des Français.
La guerre des mots est déclarée, et cet apanage qu’avait la gauche de noyer le poisson dans des mots vides à l’intérieurs, percutants à l’extérieur, semble lui échapper.
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