Ainsi le voile est-il le bienvenu chez nous, mais pas chez les autres. Parce qu’on le porterait « en responsabilité », sans doute ?
Deux jeunes espoirs, donc, qui témoignent que la droite nationale n’est pas près de mourir.
Le score réalisé par Emmanuel Macron au soir de ce second tour est plus que jamais la concrétisation de la fracture béante qui divise la France en deux.
Dans notre société déconstruite par la rupture de la transmission, tout ce sur quoi nous sommes assis semble voué au mépris sinon à la mise au bûcher.
Marine Le Pen n’est pas sans savoir que la démographie d’un pays garantit sa pérennité, notamment économique.
Car il faut bien sûr prendre conscience que le vrai, l’ultime danger, c’est l’extrême droite.
Le financement de ces dépenses a été laissé en quasi-totalité aux communes françaises, qui encaissent maintenant, livrées à elles-mêmes, le contrecoup d’une politique sanitaire dont la gestion reste mitigée.
L’agressé devient agresseur, et non content d’avoir vécu une situation traumatisante il se trouve embarqué dans les méandres de la Justice, inquiété pour avoir simplement défendu son bien.
On ne peut que s’étonner que ce thème pourtant central qu’est l’insécurité engendrée par la délinquance ne se trouve pas au cœur des discours de tous nos politiciens.
De tous côtés, des voix s’élèvent, dénonçant un climat instable et des conditions impossibles pour étudier.
Enfin, la solution a germé dans cet esprit fertile en idées de génie : et si on donnait un statut fiscal aux personnes qui n’ont pas même de statut social ? Ça sonne bien, c’est oxymorique…
C’est donc en toute bonne conscience, et en pure perte, que le gouvernement s’échine une nouvelle fois à vider de son sens ce qui pourrait se rattacher de près ou de loin à une sauvegarde de la culture française.
Ce week-end, c’est au tour de Carrefour de manifester son courage, dévoilant pour ce faire ses compétences géopolitiques : modestement, à son échelle, le petit magasin a imité les sanctions qu’imposent les grands depuis quelques semaines à l’égard de la Russie.
Ce nouveau coup porté à l’artisanat culinaire français n’est que l’illustration de cette nouvelle dictature du sanitairement correct, qui entend désormais réguler chaque détail de la vie des citoyens.
Dans les camps LR, RN ou encore Reconquête, la place de la femme fait également partie des préoccupations, quoi qu’en disent leurs adversaires.
L’État paternaliste, en dévirilisant les pères, en leur volant arbitrairement leur place, ne fait que poursuivre la longue marche de déresponsabilisation enclenchée depuis une cinquantaine d’années.
Sur le papier, le projet est convaincant : des médias qui informent au moyen d’enquêtes et de reportages, voilà qui semble tout à fait correspondre à la mission des journalistes…
La déconnexion entre les hommes d’Église et leurs fidèles semble, au regard de ce sondage, irrémédiablement consommée.
Ces élus locaux semblent prendre un malin plaisir à s’en prendre à notre glorieuse civilisation, la remplaçant par le vide…
L’enfance se trouve mêlée à l’horreur, les jeux revêtent un enjeu existentiel car perdre signifie mourir, décors kitsch et couleurs attrayantes constituent le cadre dans lequel se déroulent les boucheries successives, et les hommes se font tuer sur fond de musique classique.
Entre une vaccination qui fait débat et des tests onéreux et à validité beaucoup trop éphémère, cette troisième solution a de quoi séduire la jeune génération puisqu’elle apparaît comme la plus convaincante dans la balance bénéfice-risque.
Se pourrait-il que la France soit lassée de son statut de mauvais élève à l’étranger ?
Si les Français sont nombreux à connaître ces théories, bien peu y adhèrent.
66 % des Rennais recherchent actuellement un logement hors de la capitale bretonne
« La France, tu l’aimes ou tu la quittes », comme disait l’autre. On pourrait en dire autant de la campagne.
« Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée »
La France contemporaine génère encore des héros, il est heureux qu’ils soient mis à l’honneur.
Ainsi le voile est-il le bienvenu chez nous, mais pas chez les autres. Parce qu’on le porterait « en responsabilité », sans doute ?
Deux jeunes espoirs, donc, qui témoignent que la droite nationale n’est pas près de mourir.
Le score réalisé par Emmanuel Macron au soir de ce second tour est plus que jamais la concrétisation de la fracture béante qui divise la France en deux.
Dans notre société déconstruite par la rupture de la transmission, tout ce sur quoi nous sommes assis semble voué au mépris sinon à la mise au bûcher.
Marine Le Pen n’est pas sans savoir que la démographie d’un pays garantit sa pérennité, notamment économique.
Car il faut bien sûr prendre conscience que le vrai, l’ultime danger, c’est l’extrême droite.
Le financement de ces dépenses a été laissé en quasi-totalité aux communes françaises, qui encaissent maintenant, livrées à elles-mêmes, le contrecoup d’une politique sanitaire dont la gestion reste mitigée.
L’agressé devient agresseur, et non content d’avoir vécu une situation traumatisante il se trouve embarqué dans les méandres de la Justice, inquiété pour avoir simplement défendu son bien.
On ne peut que s’étonner que ce thème pourtant central qu’est l’insécurité engendrée par la délinquance ne se trouve pas au cœur des discours de tous nos politiciens.
De tous côtés, des voix s’élèvent, dénonçant un climat instable et des conditions impossibles pour étudier.
Enfin, la solution a germé dans cet esprit fertile en idées de génie : et si on donnait un statut fiscal aux personnes qui n’ont pas même de statut social ? Ça sonne bien, c’est oxymorique…
C’est donc en toute bonne conscience, et en pure perte, que le gouvernement s’échine une nouvelle fois à vider de son sens ce qui pourrait se rattacher de près ou de loin à une sauvegarde de la culture française.
Ce week-end, c’est au tour de Carrefour de manifester son courage, dévoilant pour ce faire ses compétences géopolitiques : modestement, à son échelle, le petit magasin a imité les sanctions qu’imposent les grands depuis quelques semaines à l’égard de la Russie.
Ce nouveau coup porté à l’artisanat culinaire français n’est que l’illustration de cette nouvelle dictature du sanitairement correct, qui entend désormais réguler chaque détail de la vie des citoyens.
Dans les camps LR, RN ou encore Reconquête, la place de la femme fait également partie des préoccupations, quoi qu’en disent leurs adversaires.
L’État paternaliste, en dévirilisant les pères, en leur volant arbitrairement leur place, ne fait que poursuivre la longue marche de déresponsabilisation enclenchée depuis une cinquantaine d’années.
Sur le papier, le projet est convaincant : des médias qui informent au moyen d’enquêtes et de reportages, voilà qui semble tout à fait correspondre à la mission des journalistes…
La déconnexion entre les hommes d’Église et leurs fidèles semble, au regard de ce sondage, irrémédiablement consommée.
Ces élus locaux semblent prendre un malin plaisir à s’en prendre à notre glorieuse civilisation, la remplaçant par le vide…
L’enfance se trouve mêlée à l’horreur, les jeux revêtent un enjeu existentiel car perdre signifie mourir, décors kitsch et couleurs attrayantes constituent le cadre dans lequel se déroulent les boucheries successives, et les hommes se font tuer sur fond de musique classique.
Entre une vaccination qui fait débat et des tests onéreux et à validité beaucoup trop éphémère, cette troisième solution a de quoi séduire la jeune génération puisqu’elle apparaît comme la plus convaincante dans la balance bénéfice-risque.
Se pourrait-il que la France soit lassée de son statut de mauvais élève à l’étranger ?
Si les Français sont nombreux à connaître ces théories, bien peu y adhèrent.
66 % des Rennais recherchent actuellement un logement hors de la capitale bretonne
« La France, tu l’aimes ou tu la quittes », comme disait l’autre. On pourrait en dire autant de la campagne.
« Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée »
La France contemporaine génère encore des héros, il est heureux qu’ils soient mis à l’honneur.
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