On ne peut que s’étonner et admirer cette conversion au localisme et au patriotisme économique.
Le 30 septembre, la Commission européenne publiait un rapport sur l’État de droit dans les démocraties de l’Union européenne, épinglant notamment les pratiques de la Hongrie en matière d’indépendance de la Justice et de pluralité des médias.
Le retour des classes populaires vu comme une effraction dans l’Histoire, c’est, dit-il, le retour du temps long, de l’enracinement…
Ce n’est rien moins qu’une lettre adressée à Jill Biden dont le ton flagorneur et le style vipérin donnent à voir un concentré chimiquement pur de l’entre-soi médiatique qui règne en France depuis les années Mitterrand.
À un moment, il va falloir choisir : protéger la vie nue ou prendre le risque de construire l’avenir.
L’homme est un animal politique, c’est-à-dire social. L’isolement social, quand il est imposé, est subi et peut avoir de dramatiques conséquences
Voir le Premier ministre transformé en chef de rayon, égrenant péniblement ce que les Français sont autorisés à acheter, ou pas, n’aide pas pour asseoir sa légitimité ni sa crédibilité.
Ces trois derniers jours, presque mille quatre cents clandestins ont débarqué à Lampedusa. Le centre d’accueil d’urgence de Contrada Imbriacola est au bord de l’explosion.
On leur interdit de vivre, ils doivent se contenter de survivre.
À lire le texte complet du décret, c’est plus à la nébuleuse islamiste radicale de Barakacity et à son président Idriss Sihamedi, fiché S, que s’attaque le ministre de l’Intérieur.
Tout est réuni pour former un cocktail explosif.
Jack Lang, Lionel Jospin, Manuel Valls, Alain Bauer, Jean-Christophe Cambadélis et tant d’autres sont passés par l’UNEF, la « pouponnière du Parti socialiste », comme on disait alors. Aujourd’hui, ils considèrent avec effroi le monstre qu’ils ont contribué à enfanter.
À lire ces lignes, on ne peut s’empêcher d’éprouver une certaine nostalgie, voire une frustration : celle d’être né cinquante ans trop tard.
Le ridicule et la vanité s’ajoutent à l’arrogance et au mépris.
En Italie, on a voulu jouer le remake de La Vie des autres…
Les gilets jaunes, c’est terminé ? Oui, ils sont trop occupés à survivre.
Matteo Salvini répondra-t-il, devant la Justice italienne, de ses décisions concernant les migrants lorsqu’il était ministre de l’Intérieur ? Matteo Salvini est-il fini ? Réponses
La diversité, oui, mais surtout pas celle des opinions, encore moins des hypothèses de recherches
L’Italie connaît-elle une République des juges ? Oui, à en croire les révélations des échanges WhatsApp entre magistrats italiens au sujet de la politique antimigratoire
La gestion mal maîtrisée de la crise sanitaire comme de la communication gouvernementale a créé la panique…
Lundi et mardi avait lieu, à Rome, le congrès des conservateurs sous l’égide des Américains. Des personnalités comme Marion Maréchal, Viktor Orbán, Édouard Husson et
Dimanche, la coalition de centre droit, dans laquelle figure la Ligue de Matteo Salvini, n’a pas réussi à arracher un bastion de la gauche en
Grosse manifestation (entre 70.000 et 200.000 personnes, selon les sources), samedi, à Rome, devant la basilique Saint-Jean-de-Latran, autour de Matteo Salvini. Toute la droite italienne
Qui est Matteo Salvini, ce trublion de l’Europe ? Pour la première fois en France, une journaliste, Marie d’Armagnac, a enquêté sur « le phénomène
Celui dont le slogan de campagne était « stop à l’invasion » bouscule trop d’idées reçues
On ne peut que s’étonner et admirer cette conversion au localisme et au patriotisme économique.
Le 30 septembre, la Commission européenne publiait un rapport sur l’État de droit dans les démocraties de l’Union européenne, épinglant notamment les pratiques de la Hongrie en matière d’indépendance de la Justice et de pluralité des médias.
Le retour des classes populaires vu comme une effraction dans l’Histoire, c’est, dit-il, le retour du temps long, de l’enracinement…
Ce n’est rien moins qu’une lettre adressée à Jill Biden dont le ton flagorneur et le style vipérin donnent à voir un concentré chimiquement pur de l’entre-soi médiatique qui règne en France depuis les années Mitterrand.
À un moment, il va falloir choisir : protéger la vie nue ou prendre le risque de construire l’avenir.
L’homme est un animal politique, c’est-à-dire social. L’isolement social, quand il est imposé, est subi et peut avoir de dramatiques conséquences
Voir le Premier ministre transformé en chef de rayon, égrenant péniblement ce que les Français sont autorisés à acheter, ou pas, n’aide pas pour asseoir sa légitimité ni sa crédibilité.
Ces trois derniers jours, presque mille quatre cents clandestins ont débarqué à Lampedusa. Le centre d’accueil d’urgence de Contrada Imbriacola est au bord de l’explosion.
On leur interdit de vivre, ils doivent se contenter de survivre.
À lire le texte complet du décret, c’est plus à la nébuleuse islamiste radicale de Barakacity et à son président Idriss Sihamedi, fiché S, que s’attaque le ministre de l’Intérieur.
Tout est réuni pour former un cocktail explosif.
Jack Lang, Lionel Jospin, Manuel Valls, Alain Bauer, Jean-Christophe Cambadélis et tant d’autres sont passés par l’UNEF, la « pouponnière du Parti socialiste », comme on disait alors. Aujourd’hui, ils considèrent avec effroi le monstre qu’ils ont contribué à enfanter.
À lire ces lignes, on ne peut s’empêcher d’éprouver une certaine nostalgie, voire une frustration : celle d’être né cinquante ans trop tard.
Le ridicule et la vanité s’ajoutent à l’arrogance et au mépris.
En Italie, on a voulu jouer le remake de La Vie des autres…
Les gilets jaunes, c’est terminé ? Oui, ils sont trop occupés à survivre.
Matteo Salvini répondra-t-il, devant la Justice italienne, de ses décisions concernant les migrants lorsqu’il était ministre de l’Intérieur ? Matteo Salvini est-il fini ? Réponses
La diversité, oui, mais surtout pas celle des opinions, encore moins des hypothèses de recherches
L’Italie connaît-elle une République des juges ? Oui, à en croire les révélations des échanges WhatsApp entre magistrats italiens au sujet de la politique antimigratoire
La gestion mal maîtrisée de la crise sanitaire comme de la communication gouvernementale a créé la panique…
Lundi et mardi avait lieu, à Rome, le congrès des conservateurs sous l’égide des Américains. Des personnalités comme Marion Maréchal, Viktor Orbán, Édouard Husson et
Dimanche, la coalition de centre droit, dans laquelle figure la Ligue de Matteo Salvini, n’a pas réussi à arracher un bastion de la gauche en
Grosse manifestation (entre 70.000 et 200.000 personnes, selon les sources), samedi, à Rome, devant la basilique Saint-Jean-de-Latran, autour de Matteo Salvini. Toute la droite italienne
Qui est Matteo Salvini, ce trublion de l’Europe ? Pour la première fois en France, une journaliste, Marie d’Armagnac, a enquêté sur « le phénomène
Celui dont le slogan de campagne était « stop à l’invasion » bouscule trop d’idées reçues
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