On attend avec impatience la réaction de la Commission européenne et de la CEDH…
L’opposition de gauche crie son désaccord. Même si la coalition gouvernementale est solide, la partie n’est pas gagnée.
Le corps humain s’efface et disparaît tandis que le culte rendu à Gaïa explique toutes les déviances inimaginables.
« Avoir un enfant, c’est un choix politique »… Pourquoi ces femmes choisissent-elles la stérilisation éthique ?
Pour Nicolas Dupont-Aignan, la fin du liquide ouvre une « société abominable de traçabilité et de fin de l’anonymat ».
Et que dire de l’instauration d’un système de contrôle à la chinoise ?
Une défaite sèche pour les conservateurs polonais, même s’ils restent le premier parti de Pologne.
La sauvegarde de la Maison commune peine ici à quitter une horizontalité dérangeante.
Quand l’Europe, la France comprendront-elles que la guerre est prête à se déclencher sur leur sol ?
La magistrature, aussi politisée en France qu’en Italie, peut défaire la politique migratoire d’un gouvernement.
Les injonctions à la générosité obligatoire et inconditionnelle ne passent plus.
L’Allemagne annonce un financement supplémentaire de 400 à 800 millions d’euros à deux ONG qui œuvrent en Italie.
Y a-t-il des bisbilles sérieuses entre les deux leaders, comme le répètent à l’envi nombre de médias italiens ?
Ces fonds devaient, notamment, servir à payer les salaires des forces de l’ordre tunisiennes.
Sur ce dossier, Giorgia Meloni joue clairement une partie de sa crédibilité en Italie.
Le bilan migratoire de ces dix premiers mois de gouvernement Meloni est contrasté, si l’on s’en tient aux chiffres.
On ne peut que s’incliner devant la force terrible, la pudeur et la dignité d’une telle intervention.
Sophie Binet n’est jamais avare d’incohérence nourrie d’idéologie
La patronne de Fratelli emprunte une voie bien étroite, quelques mois avant les élections européennes
Mayotte est, sur ce sujet comme tant d’autres, la version paroxystique d’un mal systémique français.
On peut espérer qu’enfin, en Europe, le vent se lève et vire à droite.
Beaucoup attendaient, espéraient des actions spectaculaires, à la Salvini : fermetures de ports, blocus navals…
Faut-il vraiment que l’université soit devenue, en toute impunité, le temple du sectarisme gauchiste ?
Pourquoi ne pas dénoncer avec au moins autant de virulence, par exemple, la pratique de l’excision sur 125.000 femmes qui vivent en France ?
Ce n’est malheureusement qu’un triste instantané de ce qu’est devenue la société française, en voie (rapide) de barbarisation.
Jusque sur leur fauteuil au cinéma, les Français sont sommés d’adopter un comportement vertueux.
Les casseurs, Black Blocs, zadistes en tout genre ou « syndicats étudiants » peuvent dormir tranquilles…
Tout le gouvernement allemand est mobilisé dans cette entreprise de suicide identitaire à l’échelle d’un pays.
On attend avec impatience la réaction de la Commission européenne et de la CEDH…
L’opposition de gauche crie son désaccord. Même si la coalition gouvernementale est solide, la partie n’est pas gagnée.
Le corps humain s’efface et disparaît tandis que le culte rendu à Gaïa explique toutes les déviances inimaginables.
« Avoir un enfant, c’est un choix politique »… Pourquoi ces femmes choisissent-elles la stérilisation éthique ?
Pour Nicolas Dupont-Aignan, la fin du liquide ouvre une « société abominable de traçabilité et de fin de l’anonymat ».
Et que dire de l’instauration d’un système de contrôle à la chinoise ?
Une défaite sèche pour les conservateurs polonais, même s’ils restent le premier parti de Pologne.
La sauvegarde de la Maison commune peine ici à quitter une horizontalité dérangeante.
Quand l’Europe, la France comprendront-elles que la guerre est prête à se déclencher sur leur sol ?
La magistrature, aussi politisée en France qu’en Italie, peut défaire la politique migratoire d’un gouvernement.
Les injonctions à la générosité obligatoire et inconditionnelle ne passent plus.
L’Allemagne annonce un financement supplémentaire de 400 à 800 millions d’euros à deux ONG qui œuvrent en Italie.
Y a-t-il des bisbilles sérieuses entre les deux leaders, comme le répètent à l’envi nombre de médias italiens ?
Ces fonds devaient, notamment, servir à payer les salaires des forces de l’ordre tunisiennes.
Sur ce dossier, Giorgia Meloni joue clairement une partie de sa crédibilité en Italie.
Le bilan migratoire de ces dix premiers mois de gouvernement Meloni est contrasté, si l’on s’en tient aux chiffres.
On ne peut que s’incliner devant la force terrible, la pudeur et la dignité d’une telle intervention.
Sophie Binet n’est jamais avare d’incohérence nourrie d’idéologie
La patronne de Fratelli emprunte une voie bien étroite, quelques mois avant les élections européennes
Mayotte est, sur ce sujet comme tant d’autres, la version paroxystique d’un mal systémique français.
On peut espérer qu’enfin, en Europe, le vent se lève et vire à droite.
Beaucoup attendaient, espéraient des actions spectaculaires, à la Salvini : fermetures de ports, blocus navals…
Faut-il vraiment que l’université soit devenue, en toute impunité, le temple du sectarisme gauchiste ?
Pourquoi ne pas dénoncer avec au moins autant de virulence, par exemple, la pratique de l’excision sur 125.000 femmes qui vivent en France ?
Ce n’est malheureusement qu’un triste instantané de ce qu’est devenue la société française, en voie (rapide) de barbarisation.
Jusque sur leur fauteuil au cinéma, les Français sont sommés d’adopter un comportement vertueux.
Les casseurs, Black Blocs, zadistes en tout genre ou « syndicats étudiants » peuvent dormir tranquilles…
Tout le gouvernement allemand est mobilisé dans cette entreprise de suicide identitaire à l’échelle d’un pays.
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