Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années.
Une politique migratoire qui, ainsi appliquée, permet et surtout réclame une intégration réussie.
Giorgia Meloni entend transposer cette stratégie d’union des droites, gagnante en Italie, au niveau européen.
Lorsque le cercueil quitte la place Saint-Pierre, une longue salve d’applaudissements retentit, tandis que quelques voix crient « santo subito » (« saint immédiatement »).
Ce sont 60.000 à 70.000 personnes, trois fois plus que ce qu’attendaient les autorités italiennes, qui sont venues chaque jour dans la basilique Saint-Pierre se recueillir devant la dépouille de Benoît XVI.
Par ce texte, premier pas dans la limitation effective de l’immigration clandestine, le gouvernement Meloni s’engage dans la voie du bras de fer avec les ONG.
Le pape Benoît XVI vient de s’éteindre au monastère Mater Ecclesiae, dans l’enceinte de la cité du Vatican où il s’était retiré après sa renonciation à la charge pontificale, le 11 février 2013.
Le maire de Perpignan Louis Aliot a affirmé qu’il respecterait cette décision de justice, la crèche sera donc enlevée… le 2 janvier, à la date prévue initialement par la municipalité.
Le gouvernement italien, malgré la pression internationale et surtout bruxelloise, entend mettre sur pied une politique de régulation stricte de l’immigration clandestine…
Henri Proglio porte l’estocade : « Il n’y a qu’en France qu’on parle du couple franco-allemand, on n’en parle jamais en Allemagne […] on n’a rien négocié contre le sacrifice d’EDF, je n’ai pas connaissance de contreparties qu’on ait obtenues. »
Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.
La nébuleuse écolo-anarchiste, au gauchisme le plus noir, semble derrière ce genre d’actions et ne recule devant rien.
On pourrait rappeler les pressions physiques, le climat d’intimidation, pour ne pas parler des agressions, que toute la mouvance islamo-gauchiste déploie dans les universités françaises.
La parole magique, les slogans incantatoires empêcheront-ils les Français de constater l’échec du vivre-ensemble et la menace de mort sur notre art de vivre, nos lois et nos mœurs ?
C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.
Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.
Un mois après son élection, c’est un bâton de dynamite qui explose à la figure de Soumahoro et, par extension, à celle de toute la gauche immigrationniste italienne.
Une vidéo circule sur les réseaux sociaux montrant Giorgia Meloni s’attaquant violemment à la France, à Emmanuel Macron et la gestion néocoloniale de l’Afrique.
Cette commission d’enquête qui vise en réalité à entériner dans le discours institutionnel comme dans le débat public l’axiome « extrême droite égale violence » arrive à point nommé pour LFI : il s’agit, quand la violence du réel commence à secouer le peuple français, de reprendre la main sur le discours officiel.
Mardi, le Conseil d’État a rejeté le recours formé par le maire RN de Beaucaire (Gard), Julien Sanchez, après de multiples décisions de justice lui
Le gouvernement italien, dans la foulée de son refus d’accueillir l’Ocean Viking et à la suite des remontrances que lui a adressées la France, planche sur un plan de lutte contre l’immigration illégale qui redouble depuis la fin de la crise du Covid.
Étant par leur position géographique les pays d’entrée dans l’Union européenne de tous les migrants qui empruntent le couloir de la Méditerranée centrale, ils s’insurgent contre l’attitude velléitaire de l’UE.
Curieusement, alors que le bateau Ocean Viking se dirige vers la France, après le refus de l’Italie de le voir accoster chez eux, cette révélation de l’agence de presse italienne n’a rencontré aucun écho en France.
Pour cela, il ne faudra pas craindre d’affronter l’UE, la CEDH, la réprobation internationale, le camp du bien. Pour cela, il faut de la volonté politique et du temps.
Si ce gouvernement accepte de se laisser dicter sa politique migratoire, sujet éminemment régalien, par les ONG et ne peut s’opposer à cet afflux continu de clandestins alors qu’il a toutes les cartes en main pour cela, qui pourra le faire ?
Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.
La France est donc si bonne mère qu’elle récupère en son sein ceux-là mêmes qui veulent l’anéantir en tant que France, justement. Par une bien mauvaise coïncidence, le débat des OQTF presque jamais exécutées et des délinquants étrangers si peu rapatriés de l’autre côté de la Méditerranée battait son plein.
En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.
Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années.
Une politique migratoire qui, ainsi appliquée, permet et surtout réclame une intégration réussie.
Giorgia Meloni entend transposer cette stratégie d’union des droites, gagnante en Italie, au niveau européen.
Lorsque le cercueil quitte la place Saint-Pierre, une longue salve d’applaudissements retentit, tandis que quelques voix crient « santo subito » (« saint immédiatement »).
Ce sont 60.000 à 70.000 personnes, trois fois plus que ce qu’attendaient les autorités italiennes, qui sont venues chaque jour dans la basilique Saint-Pierre se recueillir devant la dépouille de Benoît XVI.
Par ce texte, premier pas dans la limitation effective de l’immigration clandestine, le gouvernement Meloni s’engage dans la voie du bras de fer avec les ONG.
Le pape Benoît XVI vient de s’éteindre au monastère Mater Ecclesiae, dans l’enceinte de la cité du Vatican où il s’était retiré après sa renonciation à la charge pontificale, le 11 février 2013.
Le maire de Perpignan Louis Aliot a affirmé qu’il respecterait cette décision de justice, la crèche sera donc enlevée… le 2 janvier, à la date prévue initialement par la municipalité.
Le gouvernement italien, malgré la pression internationale et surtout bruxelloise, entend mettre sur pied une politique de régulation stricte de l’immigration clandestine…
Henri Proglio porte l’estocade : « Il n’y a qu’en France qu’on parle du couple franco-allemand, on n’en parle jamais en Allemagne […] on n’a rien négocié contre le sacrifice d’EDF, je n’ai pas connaissance de contreparties qu’on ait obtenues. »
Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.
La nébuleuse écolo-anarchiste, au gauchisme le plus noir, semble derrière ce genre d’actions et ne recule devant rien.
On pourrait rappeler les pressions physiques, le climat d’intimidation, pour ne pas parler des agressions, que toute la mouvance islamo-gauchiste déploie dans les universités françaises.
La parole magique, les slogans incantatoires empêcheront-ils les Français de constater l’échec du vivre-ensemble et la menace de mort sur notre art de vivre, nos lois et nos mœurs ?
C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.
Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.
Un mois après son élection, c’est un bâton de dynamite qui explose à la figure de Soumahoro et, par extension, à celle de toute la gauche immigrationniste italienne.
Une vidéo circule sur les réseaux sociaux montrant Giorgia Meloni s’attaquant violemment à la France, à Emmanuel Macron et la gestion néocoloniale de l’Afrique.
Cette commission d’enquête qui vise en réalité à entériner dans le discours institutionnel comme dans le débat public l’axiome « extrême droite égale violence » arrive à point nommé pour LFI : il s’agit, quand la violence du réel commence à secouer le peuple français, de reprendre la main sur le discours officiel.
Mardi, le Conseil d’État a rejeté le recours formé par le maire RN de Beaucaire (Gard), Julien Sanchez, après de multiples décisions de justice lui
Le gouvernement italien, dans la foulée de son refus d’accueillir l’Ocean Viking et à la suite des remontrances que lui a adressées la France, planche sur un plan de lutte contre l’immigration illégale qui redouble depuis la fin de la crise du Covid.
Étant par leur position géographique les pays d’entrée dans l’Union européenne de tous les migrants qui empruntent le couloir de la Méditerranée centrale, ils s’insurgent contre l’attitude velléitaire de l’UE.
Curieusement, alors que le bateau Ocean Viking se dirige vers la France, après le refus de l’Italie de le voir accoster chez eux, cette révélation de l’agence de presse italienne n’a rencontré aucun écho en France.
Pour cela, il ne faudra pas craindre d’affronter l’UE, la CEDH, la réprobation internationale, le camp du bien. Pour cela, il faut de la volonté politique et du temps.
Si ce gouvernement accepte de se laisser dicter sa politique migratoire, sujet éminemment régalien, par les ONG et ne peut s’opposer à cet afflux continu de clandestins alors qu’il a toutes les cartes en main pour cela, qui pourra le faire ?
Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.
La France est donc si bonne mère qu’elle récupère en son sein ceux-là mêmes qui veulent l’anéantir en tant que France, justement. Par une bien mauvaise coïncidence, le débat des OQTF presque jamais exécutées et des délinquants étrangers si peu rapatriés de l’autre côté de la Méditerranée battait son plein.
En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.
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