Tout comme « la guerre contre le Covid » a justifié l’abrogation de nos droits élémentaires, les sanctions contre Poutine vont justifier l’essence à prix d’or, le rationnement de l’énergie, l’inflation galopante et la réélection d’Emmanuel Macron par acclamation.
La Russie et l’Ukraine sont pour nous des fournisseurs vitaux. Sans eux c’est la disette. Le vice-président de la Commission européenne l’a dit : ce qu’il nous faut, c’est du « courage » et de la « ténacité ».
Aujourd’hui l’électorat des boomers est bien mûr : manque plus qu’un bombardement ciblé combiné d’un retour du trouillomètre vaccinal et Macron passera au premier tour.
Hélas, la réalité revient parfois avec violence. On apprend ainsi que l’exil des Ukrainien.nes n’est pas si idyllique qu’on voudrait le croire. Imaginez-vous, en effet, que se posent aux frontières des questions de genre.
Il y a Mélenchon, bien sûr, donné autour de 12 % et dont une certaine gauche rêve de le voir rafler la mise
Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?
Nous pouvons accueillir les Ukrainiens. Ils partagent la culture de la vieille Europe, partagent aussi nos mœurs…
Ce qu’on croit comprendre, c’est que le Président, jusqu’au dernier quart d’heure, n’aura pas de temps à perdre à dérouler et discuter son programme. Pas la peine, la situation à l’international fait le job pour lui mieux encore que la crise du Covid.
Côté LR, la candidate Valérie Pécresse dénonce, bien sûr, « des accusations grotesques » et le parti annonce vouloir saisir la Justice. Avec quels chefs d’accusation ?
La requête des footballeuses américaines va, bien sûr, gagner le Vieux Continent et les fédérations nationales devront sans doute trouver des financements pour pouvoir s’aligner sur leur homologue américain.
Alors, après le Penelopegate, le Rousselgate ?
On a ainsi appris qu’il soutenait « le combat des hijabeuses », ces joueuses de foot qui réclament de pouvoir porter le voile pendant leurs compétitions, chose que refuse la FFF.
Le Président préside et c’est aux Français de se hisser à sa hauteur. Pour les aider à le rejoindre, phare de la pensée, il publie ce 17 février un essai intitulé La France vue par Emmanuel Macron.
Aujourd’hui, Thomas Legrand s’étouffe devant les sondages. La cote de Zemmour l’affole. Alors, ce mardi, l’aboyeur de la gauche morale décortique l’expression « Ben voyons ! »
Les antennes publiques sont depuis longtemps devenues des boîtes militantes qui servent des causes plus qu’elles n’informent.
On ne peut à la fois emmerder les bons citoyens et régler le problème des toxicos.
Au train d’enfer où la bêtise woke se répand, il va devenir très dangereux de s’avouer satisfait de son propre sort : cela risque de blesser les insatisfaits chroniques qui pourraient en demander raison.
Les six furieuses qui l’ont agoni d’injures viennent d’être renvoyées devant le tribunal correctionnel pour « diffamation et injures publiques ».
N’étant pas en campagne, il a donc des ministres qui la font à sa place et sont, pour cela, prêts à raconter n’importe quoi.
Lorsqu’il quitte Bercy, le ministre de l’économie Emmanuel Macron a presque totalement siphonné les frais de représentation, cette enveloppe attribuée aux ministres et destinée aux « invitations professionnelles ».
C’est en participant à cet exercice périlleux que la nouvelle candidate estampillée par la Primaire populaire, Mme Taubira, s’est lamentablement vautrée.
C’est l’histoire d’un chassé-croisé où des Français valeureux vont donner leur vie pour sauver des Maliens qui, eux, n’ont qu’une idée : fuir leur pays.
Anne Hidalgo conteste et reporte la faute sur l’État.
Des émeutes, quand on donne des leçons à l’Europe entière, ça fait mauvais genre.
Et gare à celui qui n’ira pas se faire sonder en temps et en heure. Sauf s’il souffre d’addiction, car là, on ne peut pas le blâmer…
Non seulement cette pandémie a révélé l’inhumanité et l’absence de réflexion sur ce qui est un problème majeur de nos sociétés, mais elle a, par la gestion calamiteuse qui en est faite, dressé les générations les unes contre les autres…
Il veut créer le désir : « Je vais prendre la parole bientôt ».
Cerise sur le clafoutis : dans sa grande mansuétude, le gouvernement offrira le sésame aux antivax venant à résipiscence.
Tout comme « la guerre contre le Covid » a justifié l’abrogation de nos droits élémentaires, les sanctions contre Poutine vont justifier l’essence à prix d’or, le rationnement de l’énergie, l’inflation galopante et la réélection d’Emmanuel Macron par acclamation.
La Russie et l’Ukraine sont pour nous des fournisseurs vitaux. Sans eux c’est la disette. Le vice-président de la Commission européenne l’a dit : ce qu’il nous faut, c’est du « courage » et de la « ténacité ».
Aujourd’hui l’électorat des boomers est bien mûr : manque plus qu’un bombardement ciblé combiné d’un retour du trouillomètre vaccinal et Macron passera au premier tour.
Hélas, la réalité revient parfois avec violence. On apprend ainsi que l’exil des Ukrainien.nes n’est pas si idyllique qu’on voudrait le croire. Imaginez-vous, en effet, que se posent aux frontières des questions de genre.
Il y a Mélenchon, bien sûr, donné autour de 12 % et dont une certaine gauche rêve de le voir rafler la mise
Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?
Nous pouvons accueillir les Ukrainiens. Ils partagent la culture de la vieille Europe, partagent aussi nos mœurs…
Ce qu’on croit comprendre, c’est que le Président, jusqu’au dernier quart d’heure, n’aura pas de temps à perdre à dérouler et discuter son programme. Pas la peine, la situation à l’international fait le job pour lui mieux encore que la crise du Covid.
Côté LR, la candidate Valérie Pécresse dénonce, bien sûr, « des accusations grotesques » et le parti annonce vouloir saisir la Justice. Avec quels chefs d’accusation ?
La requête des footballeuses américaines va, bien sûr, gagner le Vieux Continent et les fédérations nationales devront sans doute trouver des financements pour pouvoir s’aligner sur leur homologue américain.
Alors, après le Penelopegate, le Rousselgate ?
On a ainsi appris qu’il soutenait « le combat des hijabeuses », ces joueuses de foot qui réclament de pouvoir porter le voile pendant leurs compétitions, chose que refuse la FFF.
Le Président préside et c’est aux Français de se hisser à sa hauteur. Pour les aider à le rejoindre, phare de la pensée, il publie ce 17 février un essai intitulé La France vue par Emmanuel Macron.
Aujourd’hui, Thomas Legrand s’étouffe devant les sondages. La cote de Zemmour l’affole. Alors, ce mardi, l’aboyeur de la gauche morale décortique l’expression « Ben voyons ! »
Les antennes publiques sont depuis longtemps devenues des boîtes militantes qui servent des causes plus qu’elles n’informent.
On ne peut à la fois emmerder les bons citoyens et régler le problème des toxicos.
Au train d’enfer où la bêtise woke se répand, il va devenir très dangereux de s’avouer satisfait de son propre sort : cela risque de blesser les insatisfaits chroniques qui pourraient en demander raison.
Les six furieuses qui l’ont agoni d’injures viennent d’être renvoyées devant le tribunal correctionnel pour « diffamation et injures publiques ».
N’étant pas en campagne, il a donc des ministres qui la font à sa place et sont, pour cela, prêts à raconter n’importe quoi.
Lorsqu’il quitte Bercy, le ministre de l’économie Emmanuel Macron a presque totalement siphonné les frais de représentation, cette enveloppe attribuée aux ministres et destinée aux « invitations professionnelles ».
C’est en participant à cet exercice périlleux que la nouvelle candidate estampillée par la Primaire populaire, Mme Taubira, s’est lamentablement vautrée.
C’est l’histoire d’un chassé-croisé où des Français valeureux vont donner leur vie pour sauver des Maliens qui, eux, n’ont qu’une idée : fuir leur pays.
Anne Hidalgo conteste et reporte la faute sur l’État.
Des émeutes, quand on donne des leçons à l’Europe entière, ça fait mauvais genre.
Et gare à celui qui n’ira pas se faire sonder en temps et en heure. Sauf s’il souffre d’addiction, car là, on ne peut pas le blâmer…
Non seulement cette pandémie a révélé l’inhumanité et l’absence de réflexion sur ce qui est un problème majeur de nos sociétés, mais elle a, par la gestion calamiteuse qui en est faite, dressé les générations les unes contre les autres…
Il veut créer le désir : « Je vais prendre la parole bientôt ».
Cerise sur le clafoutis : dans sa grande mansuétude, le gouvernement offrira le sésame aux antivax venant à résipiscence.
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