Priver 6.000 enfants de leur Noël est le degré le plus minable de la prise d’otages.
Hélas, c’est un constat qui n’échappe non plus à personne, la radicalité se radicalise.
Il ne vous aura pas échappé, en effet, que le temps d’antenne offert aux syndicalistes les plus radicaux est inversement proportionnel à leur représentativité.
Pauvre chérie : un train bondé, quelle horreur ! Comment se fait-ce, comment se peut-ce ?
Là encore, Nike n’a fait que répondre à la demande. Une demande insistante…
L’idolâtrie du Che est entrée depuis quelques décennies dans les gènes de la gauche proprette.
Cette banane conceptuelle est une œuvre de l’Italien Maurizio Cattelan, grande gloire internationale.
Une démission du gouvernement, peut-être ?
Je déteste les trottinettes. Je déteste surtout ceux qui les chevauchent en roulant comme des boulets sur ces engins faucheurs de chevilles et briseurs de
Reste, évidemment, l’épineuse question de la poule et de l’œuf…
Secrets de polichinelle sur lesquels ces belles consciences de gauche fermaient les yeux quand Jack Lang les entraînait dans son sillage coûteux et festif…
Le problème, avec la connerie ambiante – le lecteur me pardonnera cette trivialité, mais on finit par manquer de vocabulaire –, c’est que, pour «
Il paraît que la question se pose. On la lui a posée, en tout cas, dans l’émission « Quotidien ».
Une traître à la cause, cette Zineb, assurément…
Tous en ont ras le bol de l’« agri-bashing »…
Et si l’Enfer, c’était les réseaux sociaux, tous ces faux amis qui sont de vrais voyeurs, harceleurs numériques qui vous poussent à mourir pour exister enfin ?
Elle est « gravement préoccupée » par le développement du « franglais »…
Accuser, se plaindre, réclamer, se poser une fois de plus en victime innocente du colonisateur responsable, soixante ans après l’indépendance, de tous les maux.
Les médias ont d’ailleurs, dans ce défaitisme, une grande responsabilité…
Ah, bien sûr, il y a toujours des sceptiques qui se méfient des réconciliations sur l’oreiller, mais il n’empêche…
Bref, circulez, y a rien à voir et business as usual.
Bref, à en croire la rumeur, on n’a jamais tant aimé les animaux qu’aujourd’hui ! Et pourtant…
Aujourd’hui, c’est la pression qui paye, la censure brute et brutale. Pas de temps pour la réflexion, encore moins pour la justice. Juste l’impulsion.
Comment avons-nous pu, alors, fabriquer ces enfants déjà vieux dans leur tête ?
Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.
C’est Benalla qui balance.
En premier lieu, éviter d’enfler la polémique qui fait rage sur le sujet, toute personne dénonçant les fraudes étant immédiatement accusée de faire la chasse aux pauvres en général et aux immigrés en particulier.
Surtout, ne touchons à rien. Attendons le déluge, comme nous l’avons toujours fait.
Priver 6.000 enfants de leur Noël est le degré le plus minable de la prise d’otages.
Hélas, c’est un constat qui n’échappe non plus à personne, la radicalité se radicalise.
Il ne vous aura pas échappé, en effet, que le temps d’antenne offert aux syndicalistes les plus radicaux est inversement proportionnel à leur représentativité.
Pauvre chérie : un train bondé, quelle horreur ! Comment se fait-ce, comment se peut-ce ?
Là encore, Nike n’a fait que répondre à la demande. Une demande insistante…
L’idolâtrie du Che est entrée depuis quelques décennies dans les gènes de la gauche proprette.
Cette banane conceptuelle est une œuvre de l’Italien Maurizio Cattelan, grande gloire internationale.
Une démission du gouvernement, peut-être ?
Je déteste les trottinettes. Je déteste surtout ceux qui les chevauchent en roulant comme des boulets sur ces engins faucheurs de chevilles et briseurs de
Reste, évidemment, l’épineuse question de la poule et de l’œuf…
Secrets de polichinelle sur lesquels ces belles consciences de gauche fermaient les yeux quand Jack Lang les entraînait dans son sillage coûteux et festif…
Le problème, avec la connerie ambiante – le lecteur me pardonnera cette trivialité, mais on finit par manquer de vocabulaire –, c’est que, pour «
Il paraît que la question se pose. On la lui a posée, en tout cas, dans l’émission « Quotidien ».
Une traître à la cause, cette Zineb, assurément…
Tous en ont ras le bol de l’« agri-bashing »…
Et si l’Enfer, c’était les réseaux sociaux, tous ces faux amis qui sont de vrais voyeurs, harceleurs numériques qui vous poussent à mourir pour exister enfin ?
Elle est « gravement préoccupée » par le développement du « franglais »…
Accuser, se plaindre, réclamer, se poser une fois de plus en victime innocente du colonisateur responsable, soixante ans après l’indépendance, de tous les maux.
Les médias ont d’ailleurs, dans ce défaitisme, une grande responsabilité…
Ah, bien sûr, il y a toujours des sceptiques qui se méfient des réconciliations sur l’oreiller, mais il n’empêche…
Bref, circulez, y a rien à voir et business as usual.
Bref, à en croire la rumeur, on n’a jamais tant aimé les animaux qu’aujourd’hui ! Et pourtant…
Aujourd’hui, c’est la pression qui paye, la censure brute et brutale. Pas de temps pour la réflexion, encore moins pour la justice. Juste l’impulsion.
Comment avons-nous pu, alors, fabriquer ces enfants déjà vieux dans leur tête ?
Esther Benbassa a-t-elle condamné cet ignoble détournement d’un symbole qu’elle connaît mieux que personne ? Non.
C’est Benalla qui balance.
En premier lieu, éviter d’enfler la polémique qui fait rage sur le sujet, toute personne dénonçant les fraudes étant immédiatement accusée de faire la chasse aux pauvres en général et aux immigrés en particulier.
Surtout, ne touchons à rien. Attendons le déluge, comme nous l’avons toujours fait.
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