Il avait le physique prospère et le verbe rassurant.
Depuis un an, les récompenses ne cessent de pleuvoir sur cette gamine.
La maladie qui nous ronge se résume d’une phrase : on pond des lois, au nom des grands principes, qu’on refuse d’appliquer, au nom des grands sentiments.
On a ainsi appris que le quintuple assassin Jean-Claude Romand quittait la prison centrale de Saint-Maur pour aller couler des jours ô combien paisibles dans l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault…
Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Nous sommes entrés dans un tel temps de la déliquescence que la moindre parole sensée, le plus petit propos de bon sens qui osent aujourd’hui s’afficher dans les hautes sphères de l’État font l’effet de pépites rares.
Plus largement : à poil ou sous la bâche ?
Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.
Les députés de quatre groupes politiques vont, en effet, déposer prochainement une proposition de loi visant à légaliser le cannabis.
Cette année, l’élyséenne fête de la Musique sera plus sage, bien que réservée elle aussi à une catégorie discriminée : les femmes.
Autant de sujets que de filières…
Je vais faire une réflexion bête, hein, vous ne m’en voudrez pas, mais le coût du rasage, sur une vie d’homme, ça se monte à combien ?
C’est une histoire comme on ne les raconte pas. Peur de se fâcher avec nos grands amis saoudiens.
Et si la France, qui fut très jaune ces derniers mois, n’avait pas envie de payer la fabrication artificielle des enfants alors qu’elle n’a pas les moyens de se payer des dents ou des lunettes ?
C’est une grande victoire sur l’adversité, nous dit-on : pour la première fois, une « marche des fiertés » (Gay Pride, en français vernaculaire) s’est
Il faut regarder la vérité en face : les profanations de cimetières sont devenues un fait divers banal.
On retombe alors sur ce mystère épais : dans notre pays où l’on se targue d’amener 80 % d’une classe d’âge au bac, le nombre de jeunes illettrés ne cesse d’augmenter !
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Selon que vous serez puissant ou misérable… votre vie sera un long fleuve tranquille ou une galère sans fin.
Et s’il n’y a pas 50 % de femmes pour assurer les quotas, que va-t-on faire ? Les contraindre ?
C’est devenu une banalité pour certains que de promettre la mort ; et des mots aux actes…
Après les messages nous invitant à nous couvrir quand il fait froid, boire quand il fait chaud, sortir le parapluie s’il pleut…
C’est impensable et pourtant bien réel.
Combien y a-t-il de Mohamed Hichem M. sur le territoire français ?
Entre les écolos qui nous expliquent qu’il faut cesser de se reproduire pour sauver la planète et les publicitaires qui trouvent cela mauvais pour leur image, sale temps pour les futures parturientes…
Un champ de foire où volent les injures en attendant les coups qui, demain, ne manqueront pas de pleuvoir.
Difficile d’exister quand on s’appelle Benoît Hamon. Il rame, le pauvre, en galérien de la politique qu’il est devenu.
Il avait le physique prospère et le verbe rassurant.
Depuis un an, les récompenses ne cessent de pleuvoir sur cette gamine.
La maladie qui nous ronge se résume d’une phrase : on pond des lois, au nom des grands principes, qu’on refuse d’appliquer, au nom des grands sentiments.
On a ainsi appris que le quintuple assassin Jean-Claude Romand quittait la prison centrale de Saint-Maur pour aller couler des jours ô combien paisibles dans l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault…
Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Nous sommes entrés dans un tel temps de la déliquescence que la moindre parole sensée, le plus petit propos de bon sens qui osent aujourd’hui s’afficher dans les hautes sphères de l’État font l’effet de pépites rares.
Plus largement : à poil ou sous la bâche ?
Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.
Les députés de quatre groupes politiques vont, en effet, déposer prochainement une proposition de loi visant à légaliser le cannabis.
Cette année, l’élyséenne fête de la Musique sera plus sage, bien que réservée elle aussi à une catégorie discriminée : les femmes.
Autant de sujets que de filières…
Je vais faire une réflexion bête, hein, vous ne m’en voudrez pas, mais le coût du rasage, sur une vie d’homme, ça se monte à combien ?
C’est une histoire comme on ne les raconte pas. Peur de se fâcher avec nos grands amis saoudiens.
Et si la France, qui fut très jaune ces derniers mois, n’avait pas envie de payer la fabrication artificielle des enfants alors qu’elle n’a pas les moyens de se payer des dents ou des lunettes ?
C’est une grande victoire sur l’adversité, nous dit-on : pour la première fois, une « marche des fiertés » (Gay Pride, en français vernaculaire) s’est
Il faut regarder la vérité en face : les profanations de cimetières sont devenues un fait divers banal.
On retombe alors sur ce mystère épais : dans notre pays où l’on se targue d’amener 80 % d’une classe d’âge au bac, le nombre de jeunes illettrés ne cesse d’augmenter !
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Selon que vous serez puissant ou misérable… votre vie sera un long fleuve tranquille ou une galère sans fin.
Et s’il n’y a pas 50 % de femmes pour assurer les quotas, que va-t-on faire ? Les contraindre ?
C’est devenu une banalité pour certains que de promettre la mort ; et des mots aux actes…
Après les messages nous invitant à nous couvrir quand il fait froid, boire quand il fait chaud, sortir le parapluie s’il pleut…
C’est impensable et pourtant bien réel.
Combien y a-t-il de Mohamed Hichem M. sur le territoire français ?
Entre les écolos qui nous expliquent qu’il faut cesser de se reproduire pour sauver la planète et les publicitaires qui trouvent cela mauvais pour leur image, sale temps pour les futures parturientes…
Un champ de foire où volent les injures en attendant les coups qui, demain, ne manqueront pas de pleuvoir.
Difficile d’exister quand on s’appelle Benoît Hamon. Il rame, le pauvre, en galérien de la politique qu’il est devenu.
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