Macron a raison de renouveler le service de grand-mère et l’argenterie de papa !
Il est loin, le temps où les adolescents mâles s’enfermaient dans leur chambre pour y feuilleter les pages lingerie du catalogue des 3 Suisses…
Voilà, chers amis, où passent nos impôts.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Je dirais bien que les voies du Seigneur sont impénétrables mais ce serait de mauvais goût.
Ces cris d’orfraie sont ceux du président de la FCPE, sur RTL, face au port prochain de l’uniforme dans les écoles de Provins.
La presse de gauche est muette, tout comme les féministes habituellement si promptes à dénoncer.
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
On la comprend, Madame Hidalgo. Elle ne veut pas se brouiller avec les quelques électeurs qui lui restent.
Les badauds qui poussaient des oh ! et des ah ! ont songé à filmer l’ascension fulgurante de Mamoudou Gassama sur leur portable. Mais pas un n’a songé à utiliser son smartphone pour appeler les pompiers !
Une éducation hors système est parfaitement légale. C’est l’enseignement qui est obligatoire, pas l’école.
Jusqu’à quand va-t-on marcher sur la tête ?
Paris ne compte plus désormais que des gens « très riches » ; face à eux, des logements sociaux.
La vérité est qu’Emmanuel Macron est sans doute le seul Président de droite que l’on ait eu depuis François Mitterrand.
Dans la longue histoire des animaux – dont nous sommes –, c’est bien souvent le mâle qui plastronne pour séduire la femelle.
Toulouse n’est pas rouge que de ses briques. Elle l’est au cœur depuis toujours et le Mirail est, depuis sa création, la marmite où mitonne la potion magique des lendemains qui déchantent.
L’absence à ces deux cérémonies est un affront, non pas à son ennemi Emmanuel Macron, mais plus simplement aux Français.
Depuis le début des années 80, une pression sociale, lourde de sous-entendus, a rendu la présence des hommes en salle de naissance presque obligatoire et en a culpabilisé plus d’un.
Les gauchistes sont devenus droitiers, et la droite n’a eu de cesse de piocher ses idées dans le camp d’en face.
Il paraît que la chanson a séduit l’Europe élargie et qu’au soir de la finale tous les mouchoirs seront de sortie.
Sont donc montrés du doigt ces égoïstes qui « ont tendance à conserver leur logement après le départ des enfants du domicile familial ou le décès du conjoint »
Les casernes ont été fermées, l’armée n’a pas un sou, la dette est abyssale et les jeunes en question ont moins d’amour pour la nation que pour Beyoncé ou Kanye West.
Ce sont simplement des ados formatées par le porno et la course à l’argent facile.
Et là je m’insurge : c’est quoi, ce racolage ? Je ne me sens pas migrante du tout (même si l’envie me taraude parfois de quitter le dernier pays vraiment communiste de la planète).
Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !
Dans ce domaine comme en tant d’autres, on se trouve ici dans une guerre qui voit s’affronter le pragmatisme et l’utopie.
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Vouloir interdire toute critique d’Israël, c’est justement faire le terreau de l’antisémitisme.
Macron a raison de renouveler le service de grand-mère et l’argenterie de papa !
Il est loin, le temps où les adolescents mâles s’enfermaient dans leur chambre pour y feuilleter les pages lingerie du catalogue des 3 Suisses…
Voilà, chers amis, où passent nos impôts.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Je dirais bien que les voies du Seigneur sont impénétrables mais ce serait de mauvais goût.
Ces cris d’orfraie sont ceux du président de la FCPE, sur RTL, face au port prochain de l’uniforme dans les écoles de Provins.
La presse de gauche est muette, tout comme les féministes habituellement si promptes à dénoncer.
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
On la comprend, Madame Hidalgo. Elle ne veut pas se brouiller avec les quelques électeurs qui lui restent.
Les badauds qui poussaient des oh ! et des ah ! ont songé à filmer l’ascension fulgurante de Mamoudou Gassama sur leur portable. Mais pas un n’a songé à utiliser son smartphone pour appeler les pompiers !
Une éducation hors système est parfaitement légale. C’est l’enseignement qui est obligatoire, pas l’école.
Jusqu’à quand va-t-on marcher sur la tête ?
Paris ne compte plus désormais que des gens « très riches » ; face à eux, des logements sociaux.
La vérité est qu’Emmanuel Macron est sans doute le seul Président de droite que l’on ait eu depuis François Mitterrand.
Dans la longue histoire des animaux – dont nous sommes –, c’est bien souvent le mâle qui plastronne pour séduire la femelle.
Toulouse n’est pas rouge que de ses briques. Elle l’est au cœur depuis toujours et le Mirail est, depuis sa création, la marmite où mitonne la potion magique des lendemains qui déchantent.
L’absence à ces deux cérémonies est un affront, non pas à son ennemi Emmanuel Macron, mais plus simplement aux Français.
Depuis le début des années 80, une pression sociale, lourde de sous-entendus, a rendu la présence des hommes en salle de naissance presque obligatoire et en a culpabilisé plus d’un.
Les gauchistes sont devenus droitiers, et la droite n’a eu de cesse de piocher ses idées dans le camp d’en face.
Il paraît que la chanson a séduit l’Europe élargie et qu’au soir de la finale tous les mouchoirs seront de sortie.
Sont donc montrés du doigt ces égoïstes qui « ont tendance à conserver leur logement après le départ des enfants du domicile familial ou le décès du conjoint »
Les casernes ont été fermées, l’armée n’a pas un sou, la dette est abyssale et les jeunes en question ont moins d’amour pour la nation que pour Beyoncé ou Kanye West.
Ce sont simplement des ados formatées par le porno et la course à l’argent facile.
Et là je m’insurge : c’est quoi, ce racolage ? Je ne me sens pas migrante du tout (même si l’envie me taraude parfois de quitter le dernier pays vraiment communiste de la planète).
Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !
Dans ce domaine comme en tant d’autres, on se trouve ici dans une guerre qui voit s’affronter le pragmatisme et l’utopie.
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Vouloir interdire toute critique d’Israël, c’est justement faire le terreau de l’antisémitisme.
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