
La réalité, c’est que le droit est pris au piège de la loi naturelle.

Deux pas en avant, un pas en arrière.
C’est le moment ou jamais de dire la vérité.

Tout est fin prêt pour l’OPA sur le marché de la procréation… L’opinion est fin prête pour tout gober.

Un vrai poncif !

Le discours gagne en puissance performative.

Il faudra toujours du mâle et de la femelle pour faire de l’homme. En revanche, nous risquons de vivre incohérence et discorde dans la société.

Alors, rappelons l’article 7 de la Convention internationale des droits de l’enfant, signée par la France en 1990 : « Un enfant a le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux. »

Le français ne retrouvera sa vocation diplomatique que s’il est appris à l’école avec amour…

Il vient, le jour où des orphelins demanderont justice du déni de droit qui leur aura été fait.

Ce micmac procréatif engendre un pognon de dingue.

En voyant les dames du plateau de « La Grande Librairie » autour de leur grande prêtresse, je me disais qu’on était loin de la culture, fût-elle en bouillon.

À l’école, il faudrait imposer le stylo à plume et la méthode syllabique – la vraie – sans triche aucune : or, mon petit doigt me dit que ce n’est pas le cas.

Il faut que les catholiques renoncent à leurs intérêts immédiats et à leur confort illusoire.
La réponse vint donc naturellement de la bouche de Monseigneur d’Ornellas, archevêque de Rennes : « Dans ce cas comme dans les autres, les mères porteuses bibliques sont des esclaves. »

Nous avons usé de patience et de pédagogie avec le gouvernement pour ne pas le brusquer. À bientôt, le 6 octobre, dans la rue !

Après Carmen, les femmes revisitent le tango, qu’elles jugent machiste et féminicide. Au concours du Mondial du tango, à Buenos Aires, du 8 au 21

Marteler, dans la langue d’Orwell, c’est communiquer, affirmer, insister, soutenir, proclamer, répéter. Avec « le signal fort », c’est un des mots clés du novlangue.

Cette loi, non seulement officialise l’orphelinat, mais ouvre à l’eugénisme.

La présentation cavalière de cette loi était sidérante. Était-ce un ballon d’essai ?

On se demande, devant ce micmac législatif, si on n’assiste pas à un mauvais rêve.

En aménageant le concept, il convient parfaitement à l’idéologie de nos nouvelles familles.

On vient de découvrir l’Amérique : les enfants existent. Ils ont même des droits.

Le gouvernement poursuit sa politique des petits pas.

Dans quelle France vivons-nous ? Et dire qu’elle s’illustra longtemps par la courtoisie des relations entre les hommes et les femmes.

…aussi le Sénat a-t-il créé, en 2018, un bureau aussi génial que son acronyme : le BALAI (Bureau d’abrogation des lois anciennes et inutiles).

Mon petit doigt me dit que, si le gouvernement veut passer en force, il y aura du populo dans la rue. On saura de quel bois se chauffent les Gaulois réfractaires.

Personne à part entière, quoi qu’on fasse, même né dans une lessiveuse, il vient de deux personnes mâle et femelle. Car, au bout de la chaîne humaine, il y a toujours quelqu’un.

La réalité, c’est que le droit est pris au piège de la loi naturelle.

Deux pas en avant, un pas en arrière.
C’est le moment ou jamais de dire la vérité.

Tout est fin prêt pour l’OPA sur le marché de la procréation… L’opinion est fin prête pour tout gober.

Un vrai poncif !

Le discours gagne en puissance performative.

Il faudra toujours du mâle et de la femelle pour faire de l’homme. En revanche, nous risquons de vivre incohérence et discorde dans la société.

Alors, rappelons l’article 7 de la Convention internationale des droits de l’enfant, signée par la France en 1990 : « Un enfant a le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux. »

Le français ne retrouvera sa vocation diplomatique que s’il est appris à l’école avec amour…

Il vient, le jour où des orphelins demanderont justice du déni de droit qui leur aura été fait.

Ce micmac procréatif engendre un pognon de dingue.

En voyant les dames du plateau de « La Grande Librairie » autour de leur grande prêtresse, je me disais qu’on était loin de la culture, fût-elle en bouillon.

À l’école, il faudrait imposer le stylo à plume et la méthode syllabique – la vraie – sans triche aucune : or, mon petit doigt me dit que ce n’est pas le cas.

Il faut que les catholiques renoncent à leurs intérêts immédiats et à leur confort illusoire.
La réponse vint donc naturellement de la bouche de Monseigneur d’Ornellas, archevêque de Rennes : « Dans ce cas comme dans les autres, les mères porteuses bibliques sont des esclaves. »

Nous avons usé de patience et de pédagogie avec le gouvernement pour ne pas le brusquer. À bientôt, le 6 octobre, dans la rue !

Après Carmen, les femmes revisitent le tango, qu’elles jugent machiste et féminicide. Au concours du Mondial du tango, à Buenos Aires, du 8 au 21

Marteler, dans la langue d’Orwell, c’est communiquer, affirmer, insister, soutenir, proclamer, répéter. Avec « le signal fort », c’est un des mots clés du novlangue.

Cette loi, non seulement officialise l’orphelinat, mais ouvre à l’eugénisme.

La présentation cavalière de cette loi était sidérante. Était-ce un ballon d’essai ?

On se demande, devant ce micmac législatif, si on n’assiste pas à un mauvais rêve.

En aménageant le concept, il convient parfaitement à l’idéologie de nos nouvelles familles.

On vient de découvrir l’Amérique : les enfants existent. Ils ont même des droits.

Le gouvernement poursuit sa politique des petits pas.

Dans quelle France vivons-nous ? Et dire qu’elle s’illustra longtemps par la courtoisie des relations entre les hommes et les femmes.

…aussi le Sénat a-t-il créé, en 2018, un bureau aussi génial que son acronyme : le BALAI (Bureau d’abrogation des lois anciennes et inutiles).

Mon petit doigt me dit que, si le gouvernement veut passer en force, il y aura du populo dans la rue. On saura de quel bois se chauffent les Gaulois réfractaires.

Personne à part entière, quoi qu’on fasse, même né dans une lessiveuse, il vient de deux personnes mâle et femelle. Car, au bout de la chaîne humaine, il y a toujours quelqu’un.
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