Nos grenouillages politiques portent gravement atteinte à l’image du pays à l’étranger et accentuent son déclassement.
Dans sa récente adresse à l’Assemblée de Corse, le chef de l’État a enclenché la procédure d’une autonomie de l’île.
La question corse a connu dans la nuit du 5 au 6 juillet dernier à Ajaccio un rebondissement spectaculaire.
La dissolution de l’Assemblée nationale n’est pas une mesure de rétorsion à l’encontre des députés récalcitrants mais une opération de sauvetage de la République.
Lorsque l’on achète la paix, on se met en position de la payer de plus en plus cher, comme à Munich.
En bref, comme nous l’avons appris de Clemenceau, pour gagner une guerre, il ne faut pas la faire à moitié !
Rouennais d’aujourd’hui, on envisage de vous consulter à ce sujet. Je suis certain que vous ne serez pas les renégats de vos pères !
Napoléon fut paradoxalement contraint de rétablir l’esclavage en Guadeloupe parce qu’il ne put l’abolir en Martinique.
La légitimité démocratique ne se juge pas à des envolées lyriques d’estrade mais au décompte précis des voix dans les urnes électorales, indécrottablement têtues.
Le patriotisme par la séparation, il fallait y penser !
La Nouvelle-Calédonie est entrée dans une nouvelle et âpre campagne électorale de quatre années, avec ses risques de débordements violents, et stérilisante sur le plan du développement.
Ainsi, triomphant de la subversion, la démocratie revient, tel un boomerang, en plein visage de la sectaire intelligentsia politique qui l’a méprisée dans cette affaire.
L’exploitation de la misère du monde à des fins politiciennes ne grandit personne.
L’autonomie de la Corse dans la Constitution pourrait se révéler un cancer à métastases inoculé à la République.
Le discours du président de la République à Bastia, le 7 février dernier, a soufflé le chaud et le froid dans le microcosme insulaire.
Il y avait fort longtemps que les Corses n’avaient entendu résonner d’authentiques paroles de chef d’état.
Comme à l’accoutumée, les évaluations varient du simple au quadruple, de 5600 à 6000 de la police, à 20.000 des organisateurs.
Il reprend à son compte des slogans ressassés, tels la sclérose du pouvoir central, l’existence d’un peuple corse et la détention de prisonniers politiques insulaires.
Encouragés par quarante-cinq années de laxisme d’État, les séparatistes spéculent à présent sur la « modernité » du gouvernement actuel pour arracher enfin la Corse à la France.
L’élection territoriale corse a provoqué un emballement médiatique débridé occultant l’essentiel.
Nos grenouillages politiques portent gravement atteinte à l’image du pays à l’étranger et accentuent son déclassement.
Dans sa récente adresse à l’Assemblée de Corse, le chef de l’État a enclenché la procédure d’une autonomie de l’île.
La question corse a connu dans la nuit du 5 au 6 juillet dernier à Ajaccio un rebondissement spectaculaire.
La dissolution de l’Assemblée nationale n’est pas une mesure de rétorsion à l’encontre des députés récalcitrants mais une opération de sauvetage de la République.
Lorsque l’on achète la paix, on se met en position de la payer de plus en plus cher, comme à Munich.
En bref, comme nous l’avons appris de Clemenceau, pour gagner une guerre, il ne faut pas la faire à moitié !
Rouennais d’aujourd’hui, on envisage de vous consulter à ce sujet. Je suis certain que vous ne serez pas les renégats de vos pères !
Napoléon fut paradoxalement contraint de rétablir l’esclavage en Guadeloupe parce qu’il ne put l’abolir en Martinique.
La légitimité démocratique ne se juge pas à des envolées lyriques d’estrade mais au décompte précis des voix dans les urnes électorales, indécrottablement têtues.
Le patriotisme par la séparation, il fallait y penser !
La Nouvelle-Calédonie est entrée dans une nouvelle et âpre campagne électorale de quatre années, avec ses risques de débordements violents, et stérilisante sur le plan du développement.
Ainsi, triomphant de la subversion, la démocratie revient, tel un boomerang, en plein visage de la sectaire intelligentsia politique qui l’a méprisée dans cette affaire.
L’exploitation de la misère du monde à des fins politiciennes ne grandit personne.
L’autonomie de la Corse dans la Constitution pourrait se révéler un cancer à métastases inoculé à la République.
Le discours du président de la République à Bastia, le 7 février dernier, a soufflé le chaud et le froid dans le microcosme insulaire.
Il y avait fort longtemps que les Corses n’avaient entendu résonner d’authentiques paroles de chef d’état.
Comme à l’accoutumée, les évaluations varient du simple au quadruple, de 5600 à 6000 de la police, à 20.000 des organisateurs.
Il reprend à son compte des slogans ressassés, tels la sclérose du pouvoir central, l’existence d’un peuple corse et la détention de prisonniers politiques insulaires.
Encouragés par quarante-cinq années de laxisme d’État, les séparatistes spéculent à présent sur la « modernité » du gouvernement actuel pour arracher enfin la Corse à la France.
L’élection territoriale corse a provoqué un emballement médiatique débridé occultant l’essentiel.
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