Nicolas Gauthier
Journaliste à BV, écrivain
Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères français, est en visite en Irak.
Il faut toujours laisser sa chance au produit !
Boulevard Voltaire ? Plus de cinq ans déjà. Soit plus de vingt mille articles publiés depuis le premier jour. Ça se fête, non ? Eh bien, ça a été fêté !
Benoît Rayski n’est pas exactement le premier venu : ancienne plume du Matin de Paris et de Globe, avant de devenir l’un des premiers contributeurs de Boulevard Voltaire.
À force d’annoncer des catastrophes qui jamais ne viennent, les prophètes de malheur ne sont plus guère entendus.
Pendant ce temps, c’est le Che Guevara qu’on célèbre. En attendant de placer la prochaine journée de la femme sous le patronage de Landru ?
De modestes amoureux du cinématographe persistent et signent.
Édouard Ferrand était homme de rondeurs, au propre comme au figuré.
Sombre 31 janvier pour Tariq Ramadam, l’un des prédicateurs musulmans les plus connus de France, qui se retrouve en garde à vue et sous le coup de deux accusations de viol.
Au siècle dernier, Pierre Péchin est l’un des fantaisistes les plus populaires de France. On imagine qu’il a quitté celui-ci sans plus de regrets que ça.
Le procès de Jawad Bendaoud, « logeur » des djihadistes du 13 novembre, n’est certes pas celui du siècle ; il pourrait pourtant demeurer dans les annales.
L’Histoire n’en finit plus de se répéter.
Malgré le jeunisme ambiant, c’est souvent dans les vieilles gamelles qu’on mitonne les meilleures soupes.
Nul besoin d’un hypothétique « complot » : un concours de circonstances, un piteux système de défense et quelques bons amis peuvent suffire.
Tout est « politique ».
Recep Tayyip Erdogan, l’actuel président turc, se voit comme un néo-sultan. Manifestement, il n’a pas la sagesse et la vision de ses augustes devanciers.
Il a souvent été prétendu que les sociétés tombaient du côté vers lequel elles penchaient. C’est vers le vide que la nôtre incline.
Après l’actrice Catherine Deneuve et notre consœur Élisabeth Lévy, entre autres femmes de tête, c’est au tour de Brigitte Bardot (qu’on ne présente plus) de libérer la parole quant au retour du nouvel ordre moral.
Une stupide légende urbaine tendrait à nous faire croire que tous les rockers seraient de gauche, fatalement de gauche.
La candidature de Delphine Batho à la tête de l’ancien parti présidentiel n’a rien d’incongru, sachant qu’elle incarne mieux que personne ce que la gauche est devenue.
Depuis un an, Donald Trump veut torpiller l’accord conclu avec l’Iran par les États-Unis, l’Europe, la Chine et la Russie. Vendredi dernier, il était censé le dénoncer définitivement, avant de faire volte-face.
Le citoyen Aupetit n’est que modérément emballé par toutes ces histoires de PMA et de GPA…
2018 s’annonce funky.
Emmanuel Macron a de la chance. Beaucoup de chance. Celle de passer derrière Nicolas Sarkozy et François Hollande, surtout. Quoi qu’il fasse, la comparaison ne peut être que flatteuse.
Oprah Winfrey est noire, mais pas trop. Politiquement, elle est assez lisse pour être compatible avec les deux grands partis institutionnels.
Au revoir, petite France, partie en même temps qu’un pan de notre adolescence.
Le plus cruel ? Steve Bannon, son ancien directeur de campagne
Mais qui démêlera le vrai du faux ?
Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères français, est en visite en Irak.
Il faut toujours laisser sa chance au produit !
Boulevard Voltaire ? Plus de cinq ans déjà. Soit plus de vingt mille articles publiés depuis le premier jour. Ça se fête, non ? Eh bien, ça a été fêté !
Benoît Rayski n’est pas exactement le premier venu : ancienne plume du Matin de Paris et de Globe, avant de devenir l’un des premiers contributeurs de Boulevard Voltaire.
À force d’annoncer des catastrophes qui jamais ne viennent, les prophètes de malheur ne sont plus guère entendus.
Pendant ce temps, c’est le Che Guevara qu’on célèbre. En attendant de placer la prochaine journée de la femme sous le patronage de Landru ?
De modestes amoureux du cinématographe persistent et signent.
Édouard Ferrand était homme de rondeurs, au propre comme au figuré.
Sombre 31 janvier pour Tariq Ramadam, l’un des prédicateurs musulmans les plus connus de France, qui se retrouve en garde à vue et sous le coup de deux accusations de viol.
Au siècle dernier, Pierre Péchin est l’un des fantaisistes les plus populaires de France. On imagine qu’il a quitté celui-ci sans plus de regrets que ça.
Le procès de Jawad Bendaoud, « logeur » des djihadistes du 13 novembre, n’est certes pas celui du siècle ; il pourrait pourtant demeurer dans les annales.
L’Histoire n’en finit plus de se répéter.
Malgré le jeunisme ambiant, c’est souvent dans les vieilles gamelles qu’on mitonne les meilleures soupes.
Nul besoin d’un hypothétique « complot » : un concours de circonstances, un piteux système de défense et quelques bons amis peuvent suffire.
Tout est « politique ».
Recep Tayyip Erdogan, l’actuel président turc, se voit comme un néo-sultan. Manifestement, il n’a pas la sagesse et la vision de ses augustes devanciers.
Il a souvent été prétendu que les sociétés tombaient du côté vers lequel elles penchaient. C’est vers le vide que la nôtre incline.
Après l’actrice Catherine Deneuve et notre consœur Élisabeth Lévy, entre autres femmes de tête, c’est au tour de Brigitte Bardot (qu’on ne présente plus) de libérer la parole quant au retour du nouvel ordre moral.
Une stupide légende urbaine tendrait à nous faire croire que tous les rockers seraient de gauche, fatalement de gauche.
La candidature de Delphine Batho à la tête de l’ancien parti présidentiel n’a rien d’incongru, sachant qu’elle incarne mieux que personne ce que la gauche est devenue.
Depuis un an, Donald Trump veut torpiller l’accord conclu avec l’Iran par les États-Unis, l’Europe, la Chine et la Russie. Vendredi dernier, il était censé le dénoncer définitivement, avant de faire volte-face.
Le citoyen Aupetit n’est que modérément emballé par toutes ces histoires de PMA et de GPA…
2018 s’annonce funky.
Emmanuel Macron a de la chance. Beaucoup de chance. Celle de passer derrière Nicolas Sarkozy et François Hollande, surtout. Quoi qu’il fasse, la comparaison ne peut être que flatteuse.
Oprah Winfrey est noire, mais pas trop. Politiquement, elle est assez lisse pour être compatible avec les deux grands partis institutionnels.
Au revoir, petite France, partie en même temps qu’un pan de notre adolescence.
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