

Faire croire qu’on est un véritable Président et semblant d’exercer un pouvoir qu’on n’a pas est, décidément, un art en soi et un travail à plein temps.

Notre monde est empreint d’une infinie délicatesse, dans lequel la course à la souffrance cathodique se taille la part du lion.
La dimension féministe de Hugh Hefner ne saute pas exactement aux yeux.
Il aura donc fallu qu’une éternelle jeune fille énervée soit assez bravache pour convoquer le bon sens le plus élémentaire en cette assemblée.
« Un porc, moi, je le caresse, je lui parle deux heures avant de le tuer, ensuite je l’assomme, je le saigne, il n’y a aucun cri. »

Sa carrière d’actrice a de quoi donner le tournis.

Manifestement, en politique, il y a morale et morale.

L’antigaullisme systématique, viscéral, pour ne pas dire rabique, que certains médias prêtent au Front national peut, lui aussi, prêter à rire.

La démission de Florian Philippot du Front national n’a pas fini de faire causer dans les chaumières et sur les plateaux de télévision.

Comme si l’homme, si soucieux de son image – image de synthèse ? –, était aussi celui d’une sorte de synthèse politique.

Tout juste disparu des suites d’une longue maladie, Paul Wermus nous manque déjà.
Ne reste plus qu’à célébrer celle du slip, mais on ne voudrait pas non plus manger le pain de fesses de Dominique Strauss-Kahn.
Le nombre de ces offices traditionnels a quasiment doublé depuis 2007.

Dans l’imaginaire médiatique, Aung San Suu Kyi était une sorte de madone de la démocratie.
S’il n’était pas là, il ne faudrait surtout pas oublier de l’inventer. Ne serait-ce que pour amuser nos enfants.

C’est un peu le général Mac Mahon qui, visitant les victimes d’une inondation, ne trouva rien de mieux que de s’exclamer : « Que d’eau, que d’eau ! » .

Ça y est. Valérie Pécresse descend enfin dans l’arène.
Patrick Eudeline ne donne pas dans le jeunisme.

Progressisme oblige, on a désormais le droit de dire tout ce que l’on veut des homosexuels à condition toutefois que ce soit du bien.

Un tel terrorisme est autrement plus inquiétant que celui du siècle dernier…

C’est peu dire que le ton monte entre Washington et Pyongyang.

Il est des faits divers qui en disent long sur l’état de notre société.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.

Bruno Roger-Petit est journaliste. Un vrai, blanchi sous le harnais. Qui a roulé sa bosse et à qui on ne la fait pas.

Indubitablement, il y a eu, à défaut d’un ouragan, au moins un effet Macron dans les esprits et les urnes.

La douceur de vivre n’y est pas un vain mot…
Continue de bien tenir la rampe, Jerry !
La Chine raisonne sur le temps long, alors que ce qui demeure de l’Occident ne parvient qu’à raisonner sur le temps court.

Faire croire qu’on est un véritable Président et semblant d’exercer un pouvoir qu’on n’a pas est, décidément, un art en soi et un travail à plein temps.

Notre monde est empreint d’une infinie délicatesse, dans lequel la course à la souffrance cathodique se taille la part du lion.
La dimension féministe de Hugh Hefner ne saute pas exactement aux yeux.
Il aura donc fallu qu’une éternelle jeune fille énervée soit assez bravache pour convoquer le bon sens le plus élémentaire en cette assemblée.
« Un porc, moi, je le caresse, je lui parle deux heures avant de le tuer, ensuite je l’assomme, je le saigne, il n’y a aucun cri. »

Sa carrière d’actrice a de quoi donner le tournis.

Manifestement, en politique, il y a morale et morale.

L’antigaullisme systématique, viscéral, pour ne pas dire rabique, que certains médias prêtent au Front national peut, lui aussi, prêter à rire.

La démission de Florian Philippot du Front national n’a pas fini de faire causer dans les chaumières et sur les plateaux de télévision.

Comme si l’homme, si soucieux de son image – image de synthèse ? –, était aussi celui d’une sorte de synthèse politique.

Tout juste disparu des suites d’une longue maladie, Paul Wermus nous manque déjà.
Ne reste plus qu’à célébrer celle du slip, mais on ne voudrait pas non plus manger le pain de fesses de Dominique Strauss-Kahn.
Le nombre de ces offices traditionnels a quasiment doublé depuis 2007.

Dans l’imaginaire médiatique, Aung San Suu Kyi était une sorte de madone de la démocratie.
S’il n’était pas là, il ne faudrait surtout pas oublier de l’inventer. Ne serait-ce que pour amuser nos enfants.

C’est un peu le général Mac Mahon qui, visitant les victimes d’une inondation, ne trouva rien de mieux que de s’exclamer : « Que d’eau, que d’eau ! » .

Ça y est. Valérie Pécresse descend enfin dans l’arène.
Patrick Eudeline ne donne pas dans le jeunisme.

Progressisme oblige, on a désormais le droit de dire tout ce que l’on veut des homosexuels à condition toutefois que ce soit du bien.

Un tel terrorisme est autrement plus inquiétant que celui du siècle dernier…

C’est peu dire que le ton monte entre Washington et Pyongyang.

Il est des faits divers qui en disent long sur l’état de notre société.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.

Bruno Roger-Petit est journaliste. Un vrai, blanchi sous le harnais. Qui a roulé sa bosse et à qui on ne la fait pas.

Indubitablement, il y a eu, à défaut d’un ouragan, au moins un effet Macron dans les esprits et les urnes.

La douceur de vivre n’y est pas un vain mot…
Continue de bien tenir la rampe, Jerry !
La Chine raisonne sur le temps long, alors que ce qui demeure de l’Occident ne parvient qu’à raisonner sur le temps court.
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