Un couple de Saône-et-Loire a répondu au Président par un envoi – un carton rempli de vaisselle – pour lui éviter « de claquer un pognon de dingue ».
Il ne s’agit pas de protéger les filles, mais les garçons qui dans ces années sont plus indisciplinés qu’elles, étourdis, immatures en un mot.
Il faut former des enseignants au franglais : avis aux syndicats et aux huiles du ministère. Non plus la langue de Shakespeare, mais celle de Zuckerberg.
« Toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme. »
Un metteur en scène – dont on a fait des gorges chaudes – impose, à Florence, une nouvelle fin à Carmen.
Où va-t-on, si on se tient lié par ses promesses et déclarations ?
Pourquoi les femmes sont-elles en moyenne, plus petites que les hommes ?
Nouvelle, cette impression que « ça » bouge…
Quelle douce satisfaction que de prendre un donneur de leçons en flagrant délit de n’importe quoi !
De Gaulle disait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Maintenant, elle se fait à Berlin.
Le plus amusant était la première question : « À ton avis, pourquoi sont-ils armés ? »
S’attaquer à l’esclavage moderne est bien plus difficile que de jouer avec la culpabilité des anciens pays colonisateurs.
Un grand espoir est mis dans le nouveau ministre dont les déclarations tranchent avec les propos de ses prédécesseurs.
Il est temps de relire Bradbury et son Fahrenheit 451.
Essayer de comprendre l’enthousiasme d’une partie des Français pour le nouveau Président n’est pas chose facile…
Le Président a décidé qu’il choisirait au coup par coup ceux qui l’accompagneront dans ses différents déplacements et activités.
Il y était question de risque, d’un discours nationaliste dangereux dont la mise en œuvre serait désastreuse…
Dans le silence de l’isoloir, n’oubliez donc pas que voter pour 1 Macron c’est en gagner 2. À la bonne vôtre !
Les Suisses qui sont très pragmatiques attendent le futur président au pied du mur, peu enclins à le juger sur son look de gendre parfait.
Un couple de Saône-et-Loire a répondu au Président par un envoi – un carton rempli de vaisselle – pour lui éviter « de claquer un pognon de dingue ».
Il ne s’agit pas de protéger les filles, mais les garçons qui dans ces années sont plus indisciplinés qu’elles, étourdis, immatures en un mot.
Il faut former des enseignants au franglais : avis aux syndicats et aux huiles du ministère. Non plus la langue de Shakespeare, mais celle de Zuckerberg.
« Toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme. »
Un metteur en scène – dont on a fait des gorges chaudes – impose, à Florence, une nouvelle fin à Carmen.
Où va-t-on, si on se tient lié par ses promesses et déclarations ?
Pourquoi les femmes sont-elles en moyenne, plus petites que les hommes ?
Nouvelle, cette impression que « ça » bouge…
Quelle douce satisfaction que de prendre un donneur de leçons en flagrant délit de n’importe quoi !
De Gaulle disait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Maintenant, elle se fait à Berlin.
Le plus amusant était la première question : « À ton avis, pourquoi sont-ils armés ? »
S’attaquer à l’esclavage moderne est bien plus difficile que de jouer avec la culpabilité des anciens pays colonisateurs.
Un grand espoir est mis dans le nouveau ministre dont les déclarations tranchent avec les propos de ses prédécesseurs.
Il est temps de relire Bradbury et son Fahrenheit 451.
Essayer de comprendre l’enthousiasme d’une partie des Français pour le nouveau Président n’est pas chose facile…
Le Président a décidé qu’il choisirait au coup par coup ceux qui l’accompagneront dans ses différents déplacements et activités.
Il y était question de risque, d’un discours nationaliste dangereux dont la mise en œuvre serait désastreuse…
Dans le silence de l’isoloir, n’oubliez donc pas que voter pour 1 Macron c’est en gagner 2. À la bonne vôtre !
Les Suisses qui sont très pragmatiques attendent le futur président au pied du mur, peu enclins à le juger sur son look de gendre parfait.
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