Dans le contexte d’attentats terroristes que connaît les États-Unis, il ne faut pas s’attendre à ce que les choses changent rapidement…
Même si la mort au combat fait partie des risques acceptés par nos militaires, elle ne doit pas occulter les graves difficultés que traversent actuellement nos Armées.
Nos forces de sécurité intérieure et nos armées sont au bord de la rupture.
Nos policiers (nationaux et municipaux), nos gendarmes et nos pompiers sont au bord de la rupture. Ils n’ont plus confiance. Ils portent encore les stigmates de « l’affaire Théo ».
La Cour des Comptes a rendu au Premier ministre le mercredi 7 février dernier, un excellent rapport sur la sécurité privée. Et il est sans appel.
Cette nouvelle police de sécurité du quotidien, qui doit démarrer dans trente quartiers prioritaires, s’annonce à l’évidence comme une nouvelle grande et vaste fumisterie.
Ces deux faits divers remettent au goût du jour les propos de La Fontaine…
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.

Le débat sur la légalisation, la dépénalisation ou le contrôle de l’usage du cannabis n’est pas nouveau en France.
La violence sévit aujourd’hui à tous les niveaux de notre société.
Des pans entiers de notre sécurité du quotidien ne sont plus assurés.
Face à ce déferlement de violence et d’actes criminels que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent, mais n’agissent pas.
Qu’il faille prendre des mesures pour rendre nos routes plus sûres, c’est incontestable.
Après la chasse aux véhicules dans les centres-villes, c’est maintenant au noyau dur de ce qui fait la conduite automobile que le gouvernement s’en prend.
La Police Nationale est malade, et cette maladie touche tous les niveaux hiérarchiques.
En désignant les politiques de la ville comme source de tous nos maux, le ministre de l’Intérieur signifie clairement que rien ne changera.
Trois facteurs peuvent avoir contribué à la baisse du nombre des exactions habituellement observées en cette période de fêtes.
Le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs…
La presse nationale n’a évidemment pas relayé ces informations, préférant les selfies de notre Président au ski !
Dans les mois qui arrivent, c’est à un nouveau et grave péril que nous allons être confrontés.
Aucun qualificatif n’était trop beau pour évoquer ce projet jupitérien : moderne, nouveau, partenarial, en rupture avec le passé…
L’archétype d’une famille de délinquants qui pourrit la vie de ses semblables et rend certains de nos quartiers infréquentables et invivables.
L’équilibre indispensable à une bonne administration de la justice doit être préservé. Il en va de l’avenir de notre démocratie.
Qu’on le veuille ou pas, ce sont deux figures emblématiques de la France qui viennent, à quelques heures d’intervalle, de nous quitter.
Dans ce contexte essentiellement répressif, la place réservée à la prévention est infime.
Il ne faut donc pas s’étonner que des pans entiers de nos territoires soient devenus inaccessibles aux lois de la République.

Le trafic illicite des stupéfiants constitue à ce jour le 2ème marché économique mondial, juste derrière les armes, mais devant le pétrole.
L’exécutif, aussi ignorant de la chose policière qu’il l’est de la chose militaire, s’apprête à mettre en place une énième réforme de la police.
Dans le contexte d’attentats terroristes que connaît les États-Unis, il ne faut pas s’attendre à ce que les choses changent rapidement…
Même si la mort au combat fait partie des risques acceptés par nos militaires, elle ne doit pas occulter les graves difficultés que traversent actuellement nos Armées.
Nos forces de sécurité intérieure et nos armées sont au bord de la rupture.
Nos policiers (nationaux et municipaux), nos gendarmes et nos pompiers sont au bord de la rupture. Ils n’ont plus confiance. Ils portent encore les stigmates de « l’affaire Théo ».
La Cour des Comptes a rendu au Premier ministre le mercredi 7 février dernier, un excellent rapport sur la sécurité privée. Et il est sans appel.
Cette nouvelle police de sécurité du quotidien, qui doit démarrer dans trente quartiers prioritaires, s’annonce à l’évidence comme une nouvelle grande et vaste fumisterie.
Ces deux faits divers remettent au goût du jour les propos de La Fontaine…
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.

Le débat sur la légalisation, la dépénalisation ou le contrôle de l’usage du cannabis n’est pas nouveau en France.
La violence sévit aujourd’hui à tous les niveaux de notre société.
Des pans entiers de notre sécurité du quotidien ne sont plus assurés.
Face à ce déferlement de violence et d’actes criminels que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent, mais n’agissent pas.
Qu’il faille prendre des mesures pour rendre nos routes plus sûres, c’est incontestable.
Après la chasse aux véhicules dans les centres-villes, c’est maintenant au noyau dur de ce qui fait la conduite automobile que le gouvernement s’en prend.
La Police Nationale est malade, et cette maladie touche tous les niveaux hiérarchiques.
En désignant les politiques de la ville comme source de tous nos maux, le ministre de l’Intérieur signifie clairement que rien ne changera.
Trois facteurs peuvent avoir contribué à la baisse du nombre des exactions habituellement observées en cette période de fêtes.
Le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs…
La presse nationale n’a évidemment pas relayé ces informations, préférant les selfies de notre Président au ski !
Dans les mois qui arrivent, c’est à un nouveau et grave péril que nous allons être confrontés.
Aucun qualificatif n’était trop beau pour évoquer ce projet jupitérien : moderne, nouveau, partenarial, en rupture avec le passé…
L’archétype d’une famille de délinquants qui pourrit la vie de ses semblables et rend certains de nos quartiers infréquentables et invivables.
L’équilibre indispensable à une bonne administration de la justice doit être préservé. Il en va de l’avenir de notre démocratie.
Qu’on le veuille ou pas, ce sont deux figures emblématiques de la France qui viennent, à quelques heures d’intervalle, de nous quitter.
Dans ce contexte essentiellement répressif, la place réservée à la prévention est infime.
Il ne faut donc pas s’étonner que des pans entiers de nos territoires soient devenus inaccessibles aux lois de la République.

Le trafic illicite des stupéfiants constitue à ce jour le 2ème marché économique mondial, juste derrière les armes, mais devant le pétrole.
L’exécutif, aussi ignorant de la chose policière qu’il l’est de la chose militaire, s’apprête à mettre en place une énième réforme de la police.
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