La nouvelle purge administrée à l’institution par Dupond-Moretti a toutes les chance d’achever une institution qui n’en demandait pas tant.
Si les décisions prises sous l’ère Sarkozy de réduire de façon drastique les effectifs de la police et de la gendarmerie ont accéléré le processus, celui-ci était, en réalité, engagé bien avant.
Attaché aux valeurs portées par le général de Gaulle, L’Avenir français, aux côtés de ses alliés, se battra pour que l’idée d’une France libre ne reste pas qu’une simple référence historique.
70 % des individus entrant sur le territoire national en se déclarant mineurs non accompagnés ne le seraient pas…
Il apparaît que les discriminations rapportées toucheraient pour l’essentiel à l’emploi, au logement et au handicap. Mais à aucun moment au racisme.
La question qui actuellement s’impose est celle de savoir si, en cas d’embrasement général, l’ordre public pourrait encore être préservé dans notre pays.
Et si, au lieu de construire une nouvelle usine à gaz, le garde des Sceaux avait tout simplement fait en sorte que les lois pénales soient enfin appliquées dans notre pays ?
Dans ce contexte, il apparaît que la nouvelle loi portant réforme de la justice pénale des mineurs passe largement à côté de son sujet.
Il y a quelques jours, le Conseil d’État censurait une décision de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) visant à priver de
Soyons objectif, c’est une excellente initiative. De telles unités auraient même dû être mises en place depuis longtemps.
Tout est fait pour que le fossé entre les Français et leur police se creuse chaque jour davantage.
La raison évoquée pour ce déni de justice : la fameuse trêve hivernale, laquelle aurait été accordée aux squatteurs par une autre décision de justice ! Un comble.
Une fois de plus, l’exemple est donné d’un système qui non seulement méprise les victimes mais, en plus, s’assoit sur des mois de travail des services de police.
Aujourd’hui, plusieurs questions de fond empêchent les policiers de sortir des centres de formation parfaitement préparés à leur futur métier.
Revaloriser le métier de gardien de la paix est donc devenu une nécessité absolue.
Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que six associations, dont Amnesty International, décident d’une action de groupe contre l’État français…
À la fois racoleur et fortement médiatique, le spectacle aura au moins l’intérêt de distraire un peu le peuple et de le sortir de sa torpeur « covidesque ».
Malheureusement, passées les déclarations ministérielles toutes plus grandiloquentes les unes que les autres, que se passera-t-il ? Rien.
La reconquête sécuritaire de notre territoire national nécessite, par conséquent, aujourd’hui, un traitement de choc.
La France a donc la police qu’elle mérite.
La faute du président de la République est incommensurable et historique.
Les marges de manœuvres présidentielles à l’occasion de son « Beauvau de la sécurité » seront étroites.
Il est vrai que pour qui veut déstabiliser la police nationale, et donc le pouvoir en place, l’IGPN, à qui il est fait le reproche de protéger les policiers sur lesquels elle est amenée à enquêter, constitue une cible de choix.
Nos gouvernants sont, aujourd’hui, complètement dépassés par les événements et ,donc, à la merci du premier « couac » sécuritaire qui surgit.
Chaque fonctionnaire, policier ou militaire doit prendre désormais conscience que le danger islamiste n’est plus exclusivement extérieur.
Que s’est-il donc passé, au cours de ces dernières années, pour que le droit de manifester se transforme peu à peu en droit de détruire et de casser ?
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
La « nouvelle » police de sécurité du quotidien voulue par Macron est un échec retentissant. Elle était morte avant même d’avoir été mise en place, car complètement déconnectée de la réalité du terrain.
La nouvelle purge administrée à l’institution par Dupond-Moretti a toutes les chance d’achever une institution qui n’en demandait pas tant.
Si les décisions prises sous l’ère Sarkozy de réduire de façon drastique les effectifs de la police et de la gendarmerie ont accéléré le processus, celui-ci était, en réalité, engagé bien avant.
Attaché aux valeurs portées par le général de Gaulle, L’Avenir français, aux côtés de ses alliés, se battra pour que l’idée d’une France libre ne reste pas qu’une simple référence historique.
70 % des individus entrant sur le territoire national en se déclarant mineurs non accompagnés ne le seraient pas…
Il apparaît que les discriminations rapportées toucheraient pour l’essentiel à l’emploi, au logement et au handicap. Mais à aucun moment au racisme.
La question qui actuellement s’impose est celle de savoir si, en cas d’embrasement général, l’ordre public pourrait encore être préservé dans notre pays.
Et si, au lieu de construire une nouvelle usine à gaz, le garde des Sceaux avait tout simplement fait en sorte que les lois pénales soient enfin appliquées dans notre pays ?
Dans ce contexte, il apparaît que la nouvelle loi portant réforme de la justice pénale des mineurs passe largement à côté de son sujet.
Il y a quelques jours, le Conseil d’État censurait une décision de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) visant à priver de
Soyons objectif, c’est une excellente initiative. De telles unités auraient même dû être mises en place depuis longtemps.
Tout est fait pour que le fossé entre les Français et leur police se creuse chaque jour davantage.
La raison évoquée pour ce déni de justice : la fameuse trêve hivernale, laquelle aurait été accordée aux squatteurs par une autre décision de justice ! Un comble.
Une fois de plus, l’exemple est donné d’un système qui non seulement méprise les victimes mais, en plus, s’assoit sur des mois de travail des services de police.
Aujourd’hui, plusieurs questions de fond empêchent les policiers de sortir des centres de formation parfaitement préparés à leur futur métier.
Revaloriser le métier de gardien de la paix est donc devenu une nécessité absolue.
Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que six associations, dont Amnesty International, décident d’une action de groupe contre l’État français…
À la fois racoleur et fortement médiatique, le spectacle aura au moins l’intérêt de distraire un peu le peuple et de le sortir de sa torpeur « covidesque ».
Malheureusement, passées les déclarations ministérielles toutes plus grandiloquentes les unes que les autres, que se passera-t-il ? Rien.
La reconquête sécuritaire de notre territoire national nécessite, par conséquent, aujourd’hui, un traitement de choc.
La France a donc la police qu’elle mérite.
La faute du président de la République est incommensurable et historique.
Les marges de manœuvres présidentielles à l’occasion de son « Beauvau de la sécurité » seront étroites.
Il est vrai que pour qui veut déstabiliser la police nationale, et donc le pouvoir en place, l’IGPN, à qui il est fait le reproche de protéger les policiers sur lesquels elle est amenée à enquêter, constitue une cible de choix.
Nos gouvernants sont, aujourd’hui, complètement dépassés par les événements et ,donc, à la merci du premier « couac » sécuritaire qui surgit.
Chaque fonctionnaire, policier ou militaire doit prendre désormais conscience que le danger islamiste n’est plus exclusivement extérieur.
Que s’est-il donc passé, au cours de ces dernières années, pour que le droit de manifester se transforme peu à peu en droit de détruire et de casser ?
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
La « nouvelle » police de sécurité du quotidien voulue par Macron est un échec retentissant. Elle était morte avant même d’avoir été mise en place, car complètement déconnectée de la réalité du terrain.
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