
Nul ne peut le prédire actuellement avec certitude. Mais une chose est certaine : le gouvernement fait tout pour que cela arrive.

« Contraventionnaliser » une infraction qui était jusque-là un délit. Quelle clairvoyance de la part de ce parlementaire qui a pris conscience, en quelques heures, d’une réalité qui existe depuis des décennies !

Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.

Le plus bel hommage à lui rendre sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.

Policiers et gendarmes, victimes de violences de plus en plus fréquentes, ne prétendent pas être les représentants d’une classe dominante, mais tout simplement défendre une paix publique de plus en plus menacée…
Cette politique de dupes à l’adresse des Français est devenue un exercice de routine pour nos gouvernants.

Les voitures et les commerces continueront de brûler chaque nuit.

Pourtant, il se trouve toujours, au plus haut niveau de l’État, des « responsables » pour continuer de parler de « blague »…

Le phénomène de dissimulation ne peut absolument pas être exclu de la part d’individus qui sont convaincus, aujourd’hui, de mener un vrai combat contre nos démocraties.

Il est vrai que la Pennsylvanie se distingue pour son régime très permissif en matière de réglementation sur les armes à feu.

Non, les forces de l’ordre ne doivent pas avoir vocation à faire les bouche-trous.

…l’incroyable cacophonie qui règne toujours entre les différents acteurs de la sécurité dans notre pays.

Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.

Il aurait, en effet, été ballot de devoir remettre en question toute une politique commerciale et militaire source de centaines, voire de milliards d’euros de revenus…
Ce métier, ils l’aimaient. Ils l’avaient choisi, sinon par vocation, au moins avec l’envie d’être utiles à leur pays et à leurs concitoyens.
En choisissant de confier la paix intérieure de la France à deux « amateurs », Macron indique sans ambages que la problématique sécuritaire que connaît notre pays ne l’intéresse pas.

Les Français sont condamnés à subir, pour longtemps encore, la loi des gangs et l’indifférence de nos dirigeants.

Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Un gendarme de 53 ans a été condamné à trois mois de prison avec sursis, six mois d’interdiction d’exercer sa profession et inscription au bulletin n° 2 de son casier judiciaire pour avoir giflé un mineur qui s’en était pris son épouse.

La loi du silence qui s’était installée depuis plusieurs mois sur le sujet a donc volé en éclats.
Une nouvelle et énième initiative davantage destinée à répondre aux journalistes en vue de prochaines échéances électorales…

Faudra-t-il donc attendre d’autres suicides pour que le bon sens l’emporte enfin ?

Le verdict des urnes est le seul qui vaille pour marquer sa désapprobation d’un système.

Or, combien de rues et d’avenues portent le nom de Maurice Thorez dans notre pays ?

Seuls les peuples sont souverains, et ils risquent fort, à leur tour, de sanctionner, l’année prochaine, les donneurs de leçons.

Il est grand temps que le peuple se réapproprie le pouvoir.

Cette affaire Benalla est désormais, pour Macron, comme le sparadrap qui collait aux chaussures du capitaine Haddock.

Kamel Salhi avait été condamné, il y deux ans, pour « apologie du terrorisme ». À ce moment, la justice ne l’avait pas trouvé particulièrement dément.

Nul ne peut le prédire actuellement avec certitude. Mais une chose est certaine : le gouvernement fait tout pour que cela arrive.

« Contraventionnaliser » une infraction qui était jusque-là un délit. Quelle clairvoyance de la part de ce parlementaire qui a pris conscience, en quelques heures, d’une réalité qui existe depuis des décennies !

Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.

Le plus bel hommage à lui rendre sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.

Policiers et gendarmes, victimes de violences de plus en plus fréquentes, ne prétendent pas être les représentants d’une classe dominante, mais tout simplement défendre une paix publique de plus en plus menacée…
Cette politique de dupes à l’adresse des Français est devenue un exercice de routine pour nos gouvernants.

Les voitures et les commerces continueront de brûler chaque nuit.

Pourtant, il se trouve toujours, au plus haut niveau de l’État, des « responsables » pour continuer de parler de « blague »…

Le phénomène de dissimulation ne peut absolument pas être exclu de la part d’individus qui sont convaincus, aujourd’hui, de mener un vrai combat contre nos démocraties.

Il est vrai que la Pennsylvanie se distingue pour son régime très permissif en matière de réglementation sur les armes à feu.

Non, les forces de l’ordre ne doivent pas avoir vocation à faire les bouche-trous.

…l’incroyable cacophonie qui règne toujours entre les différents acteurs de la sécurité dans notre pays.

Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.

Il aurait, en effet, été ballot de devoir remettre en question toute une politique commerciale et militaire source de centaines, voire de milliards d’euros de revenus…
Ce métier, ils l’aimaient. Ils l’avaient choisi, sinon par vocation, au moins avec l’envie d’être utiles à leur pays et à leurs concitoyens.
En choisissant de confier la paix intérieure de la France à deux « amateurs », Macron indique sans ambages que la problématique sécuritaire que connaît notre pays ne l’intéresse pas.

Les Français sont condamnés à subir, pour longtemps encore, la loi des gangs et l’indifférence de nos dirigeants.

Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Un gendarme de 53 ans a été condamné à trois mois de prison avec sursis, six mois d’interdiction d’exercer sa profession et inscription au bulletin n° 2 de son casier judiciaire pour avoir giflé un mineur qui s’en était pris son épouse.

La loi du silence qui s’était installée depuis plusieurs mois sur le sujet a donc volé en éclats.
Une nouvelle et énième initiative davantage destinée à répondre aux journalistes en vue de prochaines échéances électorales…

Faudra-t-il donc attendre d’autres suicides pour que le bon sens l’emporte enfin ?

Le verdict des urnes est le seul qui vaille pour marquer sa désapprobation d’un système.

Or, combien de rues et d’avenues portent le nom de Maurice Thorez dans notre pays ?

Seuls les peuples sont souverains, et ils risquent fort, à leur tour, de sanctionner, l’année prochaine, les donneurs de leçons.

Il est grand temps que le peuple se réapproprie le pouvoir.

Cette affaire Benalla est désormais, pour Macron, comme le sparadrap qui collait aux chaussures du capitaine Haddock.

Kamel Salhi avait été condamné, il y deux ans, pour « apologie du terrorisme ». À ce moment, la justice ne l’avait pas trouvé particulièrement dément.
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