Olivier Piacentini
Ecrivain, politologue
Ils ne sont pas payés en retour de leurs bons et loyaux services et, à la moindre incartade, se retrouvent cloués au pilori, livrés à la vindicte de médias qui se délectent de la situation.
l’immigration va très probablement exploser dans les mois à venir, à un niveau que l’on n’aura probablement jamais vu dans l’Histoire, crise migratoire de 2015 incluse.
Le pouvoir navigue à vue, ne sait plus trop ce qu’il doit faire : entre deux maux, le virus et le krach, lequel choisir…
Relocaliser, c’est bien, c’est même incontournable. Mais cela implique de tout remettre à plat : système social, fiscal, bureaucratie, étatisme, réglementations sociales, sanitaires, environnementales au niveau de nos pays européens.
C’est la Chine qui a contaminé le monde, personne d’autre.
Le gouvernement userait donc des mêmes expédients de communication avec la chloroquine que pour les masques…
Face au sauvetage des grandes banques et de l’économie, épargne populaire et propriété foncière risquent fort de servir de roue de secours, dans l’urgence…
La dépendance allemande est totale, dans un secteur qui est à la fois la locomotive et l’emblème du pays.
En URSS, la dépense publique atteignait 73 % du PIB. Nous nous en approchons de plus en plus.
Aujourd’hui, nous sommes contraints de nous endetter massivement, il ne peut en être autrement, sinon, nous mettrons dix ans à repartir. Mais demain, la dette passera à 120 % du PIB, impôts et taxes grimperont à des niveaux vertigineux…
En un mois, le coronavirus aura réussi à catalyser les grandes tendances de la géopolitique mondiale. Et à confirmer avec éclat les carences de la mondialisation et de l’Union européenne…
Les politiques qui nous gouvernent, les mêmes qui ont été placés là où ils sont avec le soutien des financiers, vont nous solliciter pour que tout reprenne comme avant : il vont tout faire pour maintenir coûte que coûte le système pourri à flot.
Le gouvernement a le devoir absolu de protéger la santé, mais aussi la sécurité des Français, et, pour une fois, d’anticiper ce que beaucoup voient venir à grands pas.
En ce début d’année 2020, tout semble se coaliser pour enfoncer l’Europe, affaiblie depuis des années alors qu’elle croyait se renforcer.
Et après tout cela, on va encore nous expliquer que c’est l’Union européenne qui nous protège, qu’on est plus forts à 27…
Comme toujours, les dictateurs défaits trouvent toujours des plus faibles sur qui se rabattre pour pouvoir, à nouveau, rouler des mécaniques.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
Éric Zemmour est devenu, en quelques mois, le Cassius Clay du débat télévisé.
le gouvernement Conte a cru bon de refuser catégoriquement les propositions de mises en quarantaine des voyageurs venant d’Asie. Pourquoi donc ? Parce que ces propositions étaient formulées, à cor et à cri, par Matteo Salvini.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Un petit milliard, c’est une broutille que l’on pourrait facilement compenser sur les gaspillages, un contrôle plus strict des allocataires, une lutte plus résolue contre la fraude.
L’or vient à nouveau de battre un record, à 1.600 dollars l’once, du jamais-vu depuis 2013…
27 % des transactions mondiales sont libellées en euros, 65 % en dollars…
Si le virus se répand, nous paierons tous très cher la désinvolture d’un régime qui sacrifie tout sur l’autel de l’expansion.
Pourra-t-il se représenter ?
La Chine est devenue une bombe sanitaire et environnementale prête à exploser et à s’exporter dans le monde entier, dans l’indifférence quasi générale.
Un récent sondage IFOP pour BFM TV et le JDD annonce Hidalgo nettement en tête au premier tour, avec 25 %, devant Dati (19 %)
Quand le peuple en vient à rudoyer sans aucun égard ni respect le chef de l’État…
Ils ne sont pas payés en retour de leurs bons et loyaux services et, à la moindre incartade, se retrouvent cloués au pilori, livrés à la vindicte de médias qui se délectent de la situation.
l’immigration va très probablement exploser dans les mois à venir, à un niveau que l’on n’aura probablement jamais vu dans l’Histoire, crise migratoire de 2015 incluse.
Le pouvoir navigue à vue, ne sait plus trop ce qu’il doit faire : entre deux maux, le virus et le krach, lequel choisir…
Relocaliser, c’est bien, c’est même incontournable. Mais cela implique de tout remettre à plat : système social, fiscal, bureaucratie, étatisme, réglementations sociales, sanitaires, environnementales au niveau de nos pays européens.
C’est la Chine qui a contaminé le monde, personne d’autre.
Le gouvernement userait donc des mêmes expédients de communication avec la chloroquine que pour les masques…
Face au sauvetage des grandes banques et de l’économie, épargne populaire et propriété foncière risquent fort de servir de roue de secours, dans l’urgence…
La dépendance allemande est totale, dans un secteur qui est à la fois la locomotive et l’emblème du pays.
En URSS, la dépense publique atteignait 73 % du PIB. Nous nous en approchons de plus en plus.
Aujourd’hui, nous sommes contraints de nous endetter massivement, il ne peut en être autrement, sinon, nous mettrons dix ans à repartir. Mais demain, la dette passera à 120 % du PIB, impôts et taxes grimperont à des niveaux vertigineux…
En un mois, le coronavirus aura réussi à catalyser les grandes tendances de la géopolitique mondiale. Et à confirmer avec éclat les carences de la mondialisation et de l’Union européenne…
Les politiques qui nous gouvernent, les mêmes qui ont été placés là où ils sont avec le soutien des financiers, vont nous solliciter pour que tout reprenne comme avant : il vont tout faire pour maintenir coûte que coûte le système pourri à flot.
Le gouvernement a le devoir absolu de protéger la santé, mais aussi la sécurité des Français, et, pour une fois, d’anticiper ce que beaucoup voient venir à grands pas.
En ce début d’année 2020, tout semble se coaliser pour enfoncer l’Europe, affaiblie depuis des années alors qu’elle croyait se renforcer.
Et après tout cela, on va encore nous expliquer que c’est l’Union européenne qui nous protège, qu’on est plus forts à 27…
Comme toujours, les dictateurs défaits trouvent toujours des plus faibles sur qui se rabattre pour pouvoir, à nouveau, rouler des mécaniques.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
Éric Zemmour est devenu, en quelques mois, le Cassius Clay du débat télévisé.
le gouvernement Conte a cru bon de refuser catégoriquement les propositions de mises en quarantaine des voyageurs venant d’Asie. Pourquoi donc ? Parce que ces propositions étaient formulées, à cor et à cri, par Matteo Salvini.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Un petit milliard, c’est une broutille que l’on pourrait facilement compenser sur les gaspillages, un contrôle plus strict des allocataires, une lutte plus résolue contre la fraude.
L’or vient à nouveau de battre un record, à 1.600 dollars l’once, du jamais-vu depuis 2013…
27 % des transactions mondiales sont libellées en euros, 65 % en dollars…
Si le virus se répand, nous paierons tous très cher la désinvolture d’un régime qui sacrifie tout sur l’autel de l’expansion.
Pourra-t-il se représenter ?
La Chine est devenue une bombe sanitaire et environnementale prête à exploser et à s’exporter dans le monde entier, dans l’indifférence quasi générale.
Un récent sondage IFOP pour BFM TV et le JDD annonce Hidalgo nettement en tête au premier tour, avec 25 %, devant Dati (19 %)
Quand le peuple en vient à rudoyer sans aucun égard ni respect le chef de l’État…
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