Le Président Macron a donné aux Français et à l’Europe, en ce 27 juillet, un visage inattendu.
Loin des pleurnicheries Charlie de Hollande, il a reconnu le « martyre » du père Hamel.
Évidemment, chez les marcheurs, ça commence à râler, à douter et même, paraît-il, à fronder.
Une chute de 10 points, ce n’est pas rien. Surtout après deux mois de communication régalienne non-stop.
Il est plus que jamais souhaitable que nos élus locaux envoient au palais du Luxembourg une majorité d’élus de droite.
En faisant fi des mises en garde du CEMA, M. Macron a pensé asseoir une autorité absolue.
Le maire du Puy a lancé sa campagne pour l’élection à la présidence du parti en donnant une interview au Monde.
Thierry Solère a révélé avoir reçu sa « convocation » au conseil de discipline…
La prochaine fois, dites à votre think tank de bien éplucher les programmes pour vous…
Autre chiffre : 62 % des Français pensent qu’il faudra accueillir moins d’immigrés qu’aujourd’hui.
Valeurs actuelles vient de publier la carte, à actualiser en permanence, des fichés S.
Nos parents et nos grands-parents ont chargé ce brillant jeune homme d’être leur exécuteur testamentaire. Et il s’acquitte de son rôle à merveille.
M. Macron a tort d’abuser du symbole versaillais. Et M. Mélenchon était dans son rôle en refusant d’y conduire ses partisans. Symbole contre symbole.
En voyant Emmanuelle Ménard siéger à côté de M. Mélenchon, on observait qu’un remplacement générationnel et idéologique avait commencé à l’Assemblée.
Il faut rendre justice à Macron et à sa prodigieuse entreprise de ringardisation…
Les peuples d’Europe n’ont pas dit leur dernier mot.
Si Macron est Jupiter, il n’en a pas pour autant le pouvoir d’arrêter la dérive des continents. Ni celle des peuples.
La question pour les hommes de droite vest désormais celle-ci : voulez-vous vous épuiser à soutenir les murs de maisons qui se vident et qui s’effondrent ?
Le scrutin majoritaire à deux tours a été un facteur déterminant de la stabilité des institutions de la Ve République.
M. Macron n’a pas d’autre choix que d’aller vers une transgression majeure, historique : la récupération des valeurs identitaires.
Il y a une certaine mauvaise foi, à droite et au Front national, à déplorer la vague Macron, son torpillage des partis traditionnels, sa majorité écrasante.
Cette abstention record est un nouveau signe de la recomposition politique en cours, qui n’est certainement pas achevée.
S’il faut reconnaître la justesse des mots choisis pour cet hommage, il faut aussi en dénoncer les regrettables oublis.
Ces jours-ci, des langues se délient, des documents arrivent…
Cce professionnalisme censé accoucher d’élus d’un nouveau genre, transparents, intègres, désintéressés et compétents, a connu quelques ratés.
La maigre lucidité que nos dirigeants et nos élites avaient acquise depuis 2015 semble lui avoir complètement échappé.
Nos amis britanniques ont montré dans l’Histoire que, face à la terreur totalitaire, ils savaient être pragmatiques et pionniers.
Macron est vraiment devenu Jean Dujardin dans OSS 117, riant de ses propres blagues racistes !
Le Président Macron a donné aux Français et à l’Europe, en ce 27 juillet, un visage inattendu.
Loin des pleurnicheries Charlie de Hollande, il a reconnu le « martyre » du père Hamel.
Évidemment, chez les marcheurs, ça commence à râler, à douter et même, paraît-il, à fronder.
Une chute de 10 points, ce n’est pas rien. Surtout après deux mois de communication régalienne non-stop.
Il est plus que jamais souhaitable que nos élus locaux envoient au palais du Luxembourg une majorité d’élus de droite.
En faisant fi des mises en garde du CEMA, M. Macron a pensé asseoir une autorité absolue.
Le maire du Puy a lancé sa campagne pour l’élection à la présidence du parti en donnant une interview au Monde.
Thierry Solère a révélé avoir reçu sa « convocation » au conseil de discipline…
La prochaine fois, dites à votre think tank de bien éplucher les programmes pour vous…
Autre chiffre : 62 % des Français pensent qu’il faudra accueillir moins d’immigrés qu’aujourd’hui.
Valeurs actuelles vient de publier la carte, à actualiser en permanence, des fichés S.
Nos parents et nos grands-parents ont chargé ce brillant jeune homme d’être leur exécuteur testamentaire. Et il s’acquitte de son rôle à merveille.
M. Macron a tort d’abuser du symbole versaillais. Et M. Mélenchon était dans son rôle en refusant d’y conduire ses partisans. Symbole contre symbole.
En voyant Emmanuelle Ménard siéger à côté de M. Mélenchon, on observait qu’un remplacement générationnel et idéologique avait commencé à l’Assemblée.
Il faut rendre justice à Macron et à sa prodigieuse entreprise de ringardisation…
Les peuples d’Europe n’ont pas dit leur dernier mot.
Si Macron est Jupiter, il n’en a pas pour autant le pouvoir d’arrêter la dérive des continents. Ni celle des peuples.
La question pour les hommes de droite vest désormais celle-ci : voulez-vous vous épuiser à soutenir les murs de maisons qui se vident et qui s’effondrent ?
Le scrutin majoritaire à deux tours a été un facteur déterminant de la stabilité des institutions de la Ve République.
M. Macron n’a pas d’autre choix que d’aller vers une transgression majeure, historique : la récupération des valeurs identitaires.
Il y a une certaine mauvaise foi, à droite et au Front national, à déplorer la vague Macron, son torpillage des partis traditionnels, sa majorité écrasante.
Cette abstention record est un nouveau signe de la recomposition politique en cours, qui n’est certainement pas achevée.
S’il faut reconnaître la justesse des mots choisis pour cet hommage, il faut aussi en dénoncer les regrettables oublis.
Ces jours-ci, des langues se délient, des documents arrivent…
Cce professionnalisme censé accoucher d’élus d’un nouveau genre, transparents, intègres, désintéressés et compétents, a connu quelques ratés.
La maigre lucidité que nos dirigeants et nos élites avaient acquise depuis 2015 semble lui avoir complètement échappé.
Nos amis britanniques ont montré dans l’Histoire que, face à la terreur totalitaire, ils savaient être pragmatiques et pionniers.
Macron est vraiment devenu Jean Dujardin dans OSS 117, riant de ses propres blagues racistes !
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