En fait, M. Macron se trouve bien embarrassé pour gérer ce qui est maintenant devenu un boulet pour lui.
En votant pour la droite UDI-LR, vous votez pour Macron. Il n’y a même plus de doute. Ils le disent avant.
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
Dimanche, le président Trump ne parlait pas seulement au monde musulman mais à nous, Occidentaux.
Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.
On l’a dit et répété depuis son élection: Macron a dynamité le paysage politique français.
Ce n’est en fait qu’un petit général qui ne connaissait même pas ses capitaines ni ses hommes.
La recomposition Macron, en lui enlevant ses maillons faibles, lui a donné une cohérence sans pareille. Il suffirait simplement qu’elle s’en rende compte.
M. Philippe est fâché avec la transparence pour ce qui concerne ses revenus.
En validant et en pérennisant la situation du second tour Macron-Le Pen, il prend le risque de voir et de faire grandir cette opposition-là.
Désormais, l’enjeu, ce n’est plus l’école, la crèche, la salle des fêtes du village. L’enjeu, c’est la France qu’ils vont laisser à leurs enfants.
Macron, c’est Charlie Ier. Premier monarque d’une nouvelle dynastie, dans une démocratie post-moderne qui efface les fro
Macron a su jouer auprès d’une France seniorisée sur ces nostalgies de jeunesse vivaces mais sous-estimées.
On savait que M. Baroin n’aimait pas les crèches de nos villages et de nos mairies, mais de là à précipiter aussi la chute de la maison LR…
Comment expliquer qu’un candidat aussi jeune et aux prétentions réformistes ait à ce point été plébiscité par une France plutôt conservatrice par nature ?
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
Est-ce une déroute, une défaite, un échec relatif ? Ou un nouveau pas vers une victoire future ?
La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
Ami filloniste, peux-tu être celui qui va remettre l’arrogance socialiste en selle ?
Est-ce d’un Président au soutien populaire si étroit, si peu convaincu que la France a besoin ?
On vous le disait : que du beau monde autour du chef d’En Marche !
La décision de M. Dupont-Aignan, dont il faut saluer le courage, est la matérialisation historique de plusieurs mouvements de fond à droite.
Nous ne sommes plus en 2002. Et le « coup » de Chirac, on ne le fait aux Français qu’une fois.
Il n’y a pas besoin d’être grand clerc marxiste pour dire que ce vote Macron était nettement un vote de classe.
C’est donc le scénario annoncé, et programmé, que les électeurs ont décidé de valider.
Attention : dimanche soir à 20h, on ne vous donnera pas les noms des deux qualifiés, mais trois voire quatre noms !
Dimanche, en votant Fillon ou Le Pen, les Français montreront qu’ils refusent le parti de la résignation.
En fait, M. Macron se trouve bien embarrassé pour gérer ce qui est maintenant devenu un boulet pour lui.
En votant pour la droite UDI-LR, vous votez pour Macron. Il n’y a même plus de doute. Ils le disent avant.
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
Dimanche, le président Trump ne parlait pas seulement au monde musulman mais à nous, Occidentaux.
Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.
On l’a dit et répété depuis son élection: Macron a dynamité le paysage politique français.
Ce n’est en fait qu’un petit général qui ne connaissait même pas ses capitaines ni ses hommes.
La recomposition Macron, en lui enlevant ses maillons faibles, lui a donné une cohérence sans pareille. Il suffirait simplement qu’elle s’en rende compte.
M. Philippe est fâché avec la transparence pour ce qui concerne ses revenus.
En validant et en pérennisant la situation du second tour Macron-Le Pen, il prend le risque de voir et de faire grandir cette opposition-là.
Désormais, l’enjeu, ce n’est plus l’école, la crèche, la salle des fêtes du village. L’enjeu, c’est la France qu’ils vont laisser à leurs enfants.
Macron, c’est Charlie Ier. Premier monarque d’une nouvelle dynastie, dans une démocratie post-moderne qui efface les fro
Macron a su jouer auprès d’une France seniorisée sur ces nostalgies de jeunesse vivaces mais sous-estimées.
On savait que M. Baroin n’aimait pas les crèches de nos villages et de nos mairies, mais de là à précipiter aussi la chute de la maison LR…
Comment expliquer qu’un candidat aussi jeune et aux prétentions réformistes ait à ce point été plébiscité par une France plutôt conservatrice par nature ?
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
Est-ce une déroute, une défaite, un échec relatif ? Ou un nouveau pas vers une victoire future ?
La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
Ami filloniste, peux-tu être celui qui va remettre l’arrogance socialiste en selle ?
Est-ce d’un Président au soutien populaire si étroit, si peu convaincu que la France a besoin ?
On vous le disait : que du beau monde autour du chef d’En Marche !
La décision de M. Dupont-Aignan, dont il faut saluer le courage, est la matérialisation historique de plusieurs mouvements de fond à droite.
Nous ne sommes plus en 2002. Et le « coup » de Chirac, on ne le fait aux Français qu’une fois.
Il n’y a pas besoin d’être grand clerc marxiste pour dire que ce vote Macron était nettement un vote de classe.
C’est donc le scénario annoncé, et programmé, que les électeurs ont décidé de valider.
Attention : dimanche soir à 20h, on ne vous donnera pas les noms des deux qualifiés, mais trois voire quatre noms !
Dimanche, en votant Fillon ou Le Pen, les Français montreront qu’ils refusent le parti de la résignation.
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