Au milieu de tant d’émotion superficielle, un rapide examen du meilleur et du pire de la droite et de la gauche est-il p
Fillon pourrait nommer dans son gouvernement des membres de… Sens commun !
Le meeting de Montpellier, vendredi soir, est venu apporter une nouvelle pierre à l’édification de la stature présidentielle de Fillon.
On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.
Cette campagne est décidément bien étrange.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Incontestablement, Fillon est bien le meilleur d’entre eux. C’était vrai à la primaire, face à Sarkozy et Juppé. Et c’est vrai, aussi, dans cette campagne.
Macron et Marine Le Pen perdent environ deux points pour se retrouver à 23 %, et Fillon et Mélenchon montent pour se retrouver à 18 %
Les petits candidats, lors des débats, sont là pour entretenir la flamme de l’indignation face à la « corruption » supposée de Fillon.
Tapie avait fait beaucoup de bruit, traitant les électeurs frontistes de « salauds ». Samedi, à Marseille, M. Macron a repris cette antienne guerrière, à peine plus policée.
Dans trois semaines, sereinement, les Français vont devoir rappeler à leurs élites qu’ils ne sont pas, comme M. Macron, les « héritiers de rien ».
Au milieu de tant d’émotion superficielle, un rapide examen du meilleur et du pire de la droite et de la gauche est-il p
Fillon pourrait nommer dans son gouvernement des membres de… Sens commun !
Le meeting de Montpellier, vendredi soir, est venu apporter une nouvelle pierre à l’édification de la stature présidentielle de Fillon.
On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.
Cette campagne est décidément bien étrange.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Incontestablement, Fillon est bien le meilleur d’entre eux. C’était vrai à la primaire, face à Sarkozy et Juppé. Et c’est vrai, aussi, dans cette campagne.
Macron et Marine Le Pen perdent environ deux points pour se retrouver à 23 %, et Fillon et Mélenchon montent pour se retrouver à 18 %
Les petits candidats, lors des débats, sont là pour entretenir la flamme de l’indignation face à la « corruption » supposée de Fillon.
Tapie avait fait beaucoup de bruit, traitant les électeurs frontistes de « salauds ». Samedi, à Marseille, M. Macron a repris cette antienne guerrière, à peine plus policée.
Dans trois semaines, sereinement, les Français vont devoir rappeler à leurs élites qu’ils ne sont pas, comme M. Macron, les « héritiers de rien ».
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées