Mais que penser de cette prise de conscience – mais en est-ce vraiment une ? – à retardement ?
Mais ce Parlement européen, qui ne sait plus ce qu’est l’Europe, n’a pas pu l’entendre.
Ils ont choisi Macron contre Orbán et ils ont eu tort.
On ne leur fera pas deux fois le coup du « en même temps ».
Désormais, les électeur LR, mais aussi ceux de Nicolas Dupont-Aignan et du Rassemblement national, attendent la suite…
Depuis l’affaire Benalla, l’autorité d’Emmanuel Macron ne rassure plus les Français mais elle les inquiète.
En effet, il y a de quoi sourire devant une pseudo-défense de l’identité catalane qui laisse prospérer sur son sol des communautés musulmanes refermées sur leur culture et leur religion…
Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.
Mais savez-vous qui a proposé d’accueillir l’Aquarius ? Le port de Sète, dans l’Hérault ! Ou, plus exactement, son président, Jean-Claude Gayssot, communiste historique…
Parlons donc de l’affaire Kohler car, comme pour l’affaire Benalla, il y a des faits, des dates, des plaintes déposées…
Nous ne parlerons pas des absents, de l’absent, de ces grands événements.
Pauvres novices exposés dans « l’arène », en manque de communication présidentielle, comme des brebis sans berger…
Le coup est parti d’un petit camarade qui adore être au premier rang lui aussi mais qui a su se faire très discret durant l’affaire Benalla.
Les étés sont décidément meurtriers pour la cote d’Emmanuel Macron à droite.
Il ne manquait plus que lui.
Pendant deux heures, les Français ont donc pu découvrir celui que le président de la République appelle « mon second cerveau ».
Il s’agit bien d’une affaire d’État. Et, cette fois-ci, il n’y a plus de doute : d’une affaire Macron. Le principal intéressé vient de le reconnaître.
La Coupe du monde est même contre-productive…
Et désormais, les Français veulent savoir : pourquoi ces privilèges ahurissants ? Pourquoi cette protection obstinée ? Pourquoi ces silences et ces mensonges ?
Alors oui, d’étranges questions assaillent légitimement les Français devant l’omniprésence d’Alexandre Benalla auprès du Président Macron.
Elle a, jeudi, inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.
1998-2018 : vingt après, nous savons que le foot ne suffit pas à faire une nation, surtout quand celle-ci est gravement fracturée.
Se mettre au niveau… Du haut de la tribune du Congrès de Versailles… On doit pouvoir trouver mieux pour éviter ce sentiment de mépris que ressent « son » peuple… à 84 % !
Sur la question de l’immigration, le Président Macron tente de faire tourner son « en même temps » à plein régime : il ne veut pas de l’Aquarius mais il crie haro sur l’Italie et, au final, accueille une bonne partie de ses migrants…
Le pape et le Président français, icônes du progressisme, ont fait un grand pas vers une vision réaliste de la question migratoire.
Toute la question est donc de savoir si le couple exécutif a, avec ces 40 %, atteint son plus bas, son plancher ou son socle.
Au moins, avec ce nouveau tango, elle met ses ambitions en accord avec ses convictions : c’est toujours mieux, pour garder l’équilibre.
On ne peut pas avoir prononcé solennellement, il y a trois mois, devant le cercueil du colonel Beltrame : « L’absolu, il est là ! » et rester « relativiste » devant Médine au Bataclan.
Mais que penser de cette prise de conscience – mais en est-ce vraiment une ? – à retardement ?
Mais ce Parlement européen, qui ne sait plus ce qu’est l’Europe, n’a pas pu l’entendre.
Ils ont choisi Macron contre Orbán et ils ont eu tort.
On ne leur fera pas deux fois le coup du « en même temps ».
Désormais, les électeur LR, mais aussi ceux de Nicolas Dupont-Aignan et du Rassemblement national, attendent la suite…
Depuis l’affaire Benalla, l’autorité d’Emmanuel Macron ne rassure plus les Français mais elle les inquiète.
En effet, il y a de quoi sourire devant une pseudo-défense de l’identité catalane qui laisse prospérer sur son sol des communautés musulmanes refermées sur leur culture et leur religion…
Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.
Mais savez-vous qui a proposé d’accueillir l’Aquarius ? Le port de Sète, dans l’Hérault ! Ou, plus exactement, son président, Jean-Claude Gayssot, communiste historique…
Parlons donc de l’affaire Kohler car, comme pour l’affaire Benalla, il y a des faits, des dates, des plaintes déposées…
Nous ne parlerons pas des absents, de l’absent, de ces grands événements.
Pauvres novices exposés dans « l’arène », en manque de communication présidentielle, comme des brebis sans berger…
Le coup est parti d’un petit camarade qui adore être au premier rang lui aussi mais qui a su se faire très discret durant l’affaire Benalla.
Les étés sont décidément meurtriers pour la cote d’Emmanuel Macron à droite.
Il ne manquait plus que lui.
Pendant deux heures, les Français ont donc pu découvrir celui que le président de la République appelle « mon second cerveau ».
Il s’agit bien d’une affaire d’État. Et, cette fois-ci, il n’y a plus de doute : d’une affaire Macron. Le principal intéressé vient de le reconnaître.
La Coupe du monde est même contre-productive…
Et désormais, les Français veulent savoir : pourquoi ces privilèges ahurissants ? Pourquoi cette protection obstinée ? Pourquoi ces silences et ces mensonges ?
Alors oui, d’étranges questions assaillent légitimement les Français devant l’omniprésence d’Alexandre Benalla auprès du Président Macron.
Elle a, jeudi, inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.
1998-2018 : vingt après, nous savons que le foot ne suffit pas à faire une nation, surtout quand celle-ci est gravement fracturée.
Se mettre au niveau… Du haut de la tribune du Congrès de Versailles… On doit pouvoir trouver mieux pour éviter ce sentiment de mépris que ressent « son » peuple… à 84 % !
Sur la question de l’immigration, le Président Macron tente de faire tourner son « en même temps » à plein régime : il ne veut pas de l’Aquarius mais il crie haro sur l’Italie et, au final, accueille une bonne partie de ses migrants…
Le pape et le Président français, icônes du progressisme, ont fait un grand pas vers une vision réaliste de la question migratoire.
Toute la question est donc de savoir si le couple exécutif a, avec ces 40 %, atteint son plus bas, son plancher ou son socle.
Au moins, avec ce nouveau tango, elle met ses ambitions en accord avec ses convictions : c’est toujours mieux, pour garder l’équilibre.
On ne peut pas avoir prononcé solennellement, il y a trois mois, devant le cercueil du colonel Beltrame : « L’absolu, il est là ! » et rester « relativiste » devant Médine au Bataclan.
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