…on peut soutenir, sans risque de se tromper, que l’antisémitisme islamiste, parfois meurtrier, dévastateur dans nos banlieues, l’emporte largement sur l’antisémitisme identitaire d’extrême droite.
Emmanuel Macron, s’il a promis de tirer des enseignements décisifs du grand débat, le fera-t-il vraiment ?
Dix morts et quatre-vingt-seize blessés à la suite de l’incendie criminel de la rue Erlanger.
Pour résumer, est-il plus important de protéger Benalla que de lui appliquer le sort judiciaire qu’il mérite ?
Près d’un tiers des avocats quittent la robe avant dix ans de carrière.
La France croit toujours que c’est gagné avant l’heure.
Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il pu ignorer que cette exigence d’exemplarité formulée à l’égard de la police va être retournée de plein fouet vers le Président, le Premier ministre, le gouvernement et lui-même ?
J’ai toujours refusé le parallélisme choquant entre la violence illégitime de certains gilets jaunes et la riposte légitime de la police.
Je ne voudrais pas qu’on oublie un jour ces deux victimes de leur devoir et tous ceux qui, ailleurs, sont empêchés de l’accomplir.
Le cauchemar d’un bateau sans gouvernail.
Cela ne m’interdit pas, sans minimiser le traumatisme lourd des victimes, de songer aujourd’hui au cardinal Barbarin.
Il est déplorable que son secrétariat d’État ait été forcé et lui évacué dans l’après midi du 5 : ce n’était ni l’ancien ni le nouveau, mais de l’anti-République !
J’ai assez tenté d’instiller de la nuance pour ne pas être suspect d’une trouble complaisance à l’égard de ce mouvement…
On est resté sur notre faim, tant l’exercice de contrition a été à peine allusif, voire inexistant.
Fierté à l’idée de savoir que Michel Houellebecq est français et qu’il appartient à notre communauté avec son intelligence provocatrice…
Le bon sens a déserté le pays.
On ne cesse de nous rebattre les oreilles avec une crise de la masculinité, qui fragiliserait les hommes et les rendrait incertains de leur identité.
Ce n’est pas être vulgaire que d’écouter passionnément les citoyens.
Ce que Pierre de Villiers met en lumière est le désir profond de la France.
Insinuer que le pouvoir a inspiré le terroriste, qu’il a voulu les morts et qu’il est coupable à sa place est affligeant. Heureusement, tous les gilets jaunes ne sont pas impliqués dans cette aberration complotiste !
On a le droit de ne pas aimer ce Président, mais se glorifier de prétendre le chasser en dehors des chemins démocratiques est une honte.
La saillie sur les restaurants à 200 euros est pour le moins maladroite, inadaptée…
« Honte » peut-être, mais le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur, pour ce qui les concerne, peuvent-ils se féliciter de l’image qu’ils ont donnée et de la posture qu’ils ont adoptée ?
Le gouvernement, par la voix de Christophe Castaner, a tenu un discours d’une grande fermeté face aux gilets jaunes. Au micro de Boulevard Voltaire, Philippe
Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.
Aujourd’hui, il m’apparaît si loin – cent ans – mais si près.
Le nouveau sport national est de frapper, blesser et tuer les gardiens de notre paix.
…on peut soutenir, sans risque de se tromper, que l’antisémitisme islamiste, parfois meurtrier, dévastateur dans nos banlieues, l’emporte largement sur l’antisémitisme identitaire d’extrême droite.
Emmanuel Macron, s’il a promis de tirer des enseignements décisifs du grand débat, le fera-t-il vraiment ?
Dix morts et quatre-vingt-seize blessés à la suite de l’incendie criminel de la rue Erlanger.
Pour résumer, est-il plus important de protéger Benalla que de lui appliquer le sort judiciaire qu’il mérite ?
Près d’un tiers des avocats quittent la robe avant dix ans de carrière.
La France croit toujours que c’est gagné avant l’heure.
Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il pu ignorer que cette exigence d’exemplarité formulée à l’égard de la police va être retournée de plein fouet vers le Président, le Premier ministre, le gouvernement et lui-même ?
J’ai toujours refusé le parallélisme choquant entre la violence illégitime de certains gilets jaunes et la riposte légitime de la police.
Je ne voudrais pas qu’on oublie un jour ces deux victimes de leur devoir et tous ceux qui, ailleurs, sont empêchés de l’accomplir.
Le cauchemar d’un bateau sans gouvernail.
Cela ne m’interdit pas, sans minimiser le traumatisme lourd des victimes, de songer aujourd’hui au cardinal Barbarin.
Il est déplorable que son secrétariat d’État ait été forcé et lui évacué dans l’après midi du 5 : ce n’était ni l’ancien ni le nouveau, mais de l’anti-République !
J’ai assez tenté d’instiller de la nuance pour ne pas être suspect d’une trouble complaisance à l’égard de ce mouvement…
On est resté sur notre faim, tant l’exercice de contrition a été à peine allusif, voire inexistant.
Fierté à l’idée de savoir que Michel Houellebecq est français et qu’il appartient à notre communauté avec son intelligence provocatrice…
Le bon sens a déserté le pays.
On ne cesse de nous rebattre les oreilles avec une crise de la masculinité, qui fragiliserait les hommes et les rendrait incertains de leur identité.
Ce n’est pas être vulgaire que d’écouter passionnément les citoyens.
Ce que Pierre de Villiers met en lumière est le désir profond de la France.
Insinuer que le pouvoir a inspiré le terroriste, qu’il a voulu les morts et qu’il est coupable à sa place est affligeant. Heureusement, tous les gilets jaunes ne sont pas impliqués dans cette aberration complotiste !
On a le droit de ne pas aimer ce Président, mais se glorifier de prétendre le chasser en dehors des chemins démocratiques est une honte.
La saillie sur les restaurants à 200 euros est pour le moins maladroite, inadaptée…
« Honte » peut-être, mais le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur, pour ce qui les concerne, peuvent-ils se féliciter de l’image qu’ils ont donnée et de la posture qu’ils ont adoptée ?
Le gouvernement, par la voix de Christophe Castaner, a tenu un discours d’une grande fermeté face aux gilets jaunes. Au micro de Boulevard Voltaire, Philippe
Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.
Aujourd’hui, il m’apparaît si loin – cent ans – mais si près.
Le nouveau sport national est de frapper, blesser et tuer les gardiens de notre paix.
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