Ce n’est plus de la démocratie mais du lynchage !
Permettre la présence à l’Assemblée d’un nombre conséquent de députés en rapport avec le poids électoral aurait un effet décisif.
Le succès d’un Tariq Ramadan d’autant plus porté aux nues qu’on lui prête l’auréole d’un martyr musulman me choque, mais c’est comme cela.
La Justice n’a nul besoin d’un « Grand Soir » mais d’une multitude de petits matins modestes, pragmatiques.
La famille a eu le héros qu’elle méritait et ce dernier a eu la famille qu’il devait avoir.
Les hommages ne servent à rien s’ils n’ont pas un avenir qui leur donne du sens, une suite qui les légitime.
Rien n’est plus passionnant que le débat, l’authentique échange contradictoire des idées, des humeurs et des sentiments, l’affrontement courtois des pensées et des intelligences.
Le pire sait faire surgir le meilleur, le trouble l’éclatant, les compromissions l’absolue transparence du courage et de l’altruisme totalement désintéressé.
Ce monde devient fou.
Pour la faire passer de l’ancien au nouveau monde, il y a beaucoup de pain sur la planche, d’annonces en réserve et de débats à venir. Le rythme doit être soutenu.
La France se trouve, avec Emmanuel Macron, dans un populisme singulier, de culture, d’autorité, de soie et de velours.
Ce n’est pas en insultant le FN et ses électeurs que LR parviendra à convaincre et à séduire les seconds en brisant l’attrait du premier.
Il ne faut jamais se réjouir trop vite.
On projette la création du « tribunal criminel » qui composé seulement de magistrats jugera les crimes punis jusqu’à vingt ans.
Au cours de « Ideas Weekend », un forum organisé dans la capitale des Emirats arabes unis, Nicolas Sarkozy s’est livré à une réflexion politique de grande qualité.
Le président de la République a réaffirmé sa volonté de faire construire de nouvelles places de prison.
Emmanuel Macron vient de présenter ses réformes visant à désengorger les prisons. Relèvent-elles d’un pragmatisme salutaire ou, au contraire, sentent-elles le progressisme idéologique habituel ? Philippe Bilger réagit.
Christine Angot se prend tellement au sérieux qu’il serait indélicat, presque grossier de la prendre à la légère.
Jean-Luc Mélenchon se doutait de ce qu’il allait déclencher en dénonçant « le parti médiatique » auquel il fallait s’opposer à tout prix.
Ce sexe n’est pas faible ni pitoyable.
Ce plan tentera de réparer les effets catastrophiques de la radicalisation sans offrir la moindre solution opératoire pour détruire l’intégrisme.
Michel Platini désirait un jour qu’on supprimât les tacles dans le foot. Ce ne sont pas les tacles qui sont à abolir mais leur exploitation choquante par des tricheurs.
Perdre, au fil des jours, tant le mal est inventif, le peu de confiance qu’on avait en l’humain, est douloureux.
Je n’ai pas oublié le casse-toi pauvre con de Nicolas Sarkozy et les blagues incessantes de François Hollande…
La liberté de penser, d’écrire, de parler, ce n’est pas n’importe quoi dans l’instant pour avoir à le réparer demain. C’est, au contraire, ne rien dire aujourd’hui qu’on ne puisse pas défendre, justifier demain
À force de moquer les propriétaires campés sur leurs biens et accusés d’y tenir, on a peu à peu légitimé toutes les atteintes, même les plus intolérables, au droit d’être tranquillement chez soi et de s’y croire en sûreté.
Plausibles ou non ?
Vous étiez tout sauf une icône pour moi. Mais pour beaucoup, vous l’étiez. Pour le moins votre image est altérée, troublée, devenue équivoque.
Ce n’est plus de la démocratie mais du lynchage !
Permettre la présence à l’Assemblée d’un nombre conséquent de députés en rapport avec le poids électoral aurait un effet décisif.
Le succès d’un Tariq Ramadan d’autant plus porté aux nues qu’on lui prête l’auréole d’un martyr musulman me choque, mais c’est comme cela.
La Justice n’a nul besoin d’un « Grand Soir » mais d’une multitude de petits matins modestes, pragmatiques.
La famille a eu le héros qu’elle méritait et ce dernier a eu la famille qu’il devait avoir.
Les hommages ne servent à rien s’ils n’ont pas un avenir qui leur donne du sens, une suite qui les légitime.
Rien n’est plus passionnant que le débat, l’authentique échange contradictoire des idées, des humeurs et des sentiments, l’affrontement courtois des pensées et des intelligences.
Le pire sait faire surgir le meilleur, le trouble l’éclatant, les compromissions l’absolue transparence du courage et de l’altruisme totalement désintéressé.
Ce monde devient fou.
Pour la faire passer de l’ancien au nouveau monde, il y a beaucoup de pain sur la planche, d’annonces en réserve et de débats à venir. Le rythme doit être soutenu.
La France se trouve, avec Emmanuel Macron, dans un populisme singulier, de culture, d’autorité, de soie et de velours.
Ce n’est pas en insultant le FN et ses électeurs que LR parviendra à convaincre et à séduire les seconds en brisant l’attrait du premier.
Il ne faut jamais se réjouir trop vite.
On projette la création du « tribunal criminel » qui composé seulement de magistrats jugera les crimes punis jusqu’à vingt ans.
Au cours de « Ideas Weekend », un forum organisé dans la capitale des Emirats arabes unis, Nicolas Sarkozy s’est livré à une réflexion politique de grande qualité.
Le président de la République a réaffirmé sa volonté de faire construire de nouvelles places de prison.
Emmanuel Macron vient de présenter ses réformes visant à désengorger les prisons. Relèvent-elles d’un pragmatisme salutaire ou, au contraire, sentent-elles le progressisme idéologique habituel ? Philippe Bilger réagit.
Christine Angot se prend tellement au sérieux qu’il serait indélicat, presque grossier de la prendre à la légère.
Jean-Luc Mélenchon se doutait de ce qu’il allait déclencher en dénonçant « le parti médiatique » auquel il fallait s’opposer à tout prix.
Ce sexe n’est pas faible ni pitoyable.
Ce plan tentera de réparer les effets catastrophiques de la radicalisation sans offrir la moindre solution opératoire pour détruire l’intégrisme.
Michel Platini désirait un jour qu’on supprimât les tacles dans le foot. Ce ne sont pas les tacles qui sont à abolir mais leur exploitation choquante par des tricheurs.
Perdre, au fil des jours, tant le mal est inventif, le peu de confiance qu’on avait en l’humain, est douloureux.
Je n’ai pas oublié le casse-toi pauvre con de Nicolas Sarkozy et les blagues incessantes de François Hollande…
La liberté de penser, d’écrire, de parler, ce n’est pas n’importe quoi dans l’instant pour avoir à le réparer demain. C’est, au contraire, ne rien dire aujourd’hui qu’on ne puisse pas défendre, justifier demain
À force de moquer les propriétaires campés sur leurs biens et accusés d’y tenir, on a peu à peu légitimé toutes les atteintes, même les plus intolérables, au droit d’être tranquillement chez soi et de s’y croire en sûreté.
Plausibles ou non ?
Vous étiez tout sauf une icône pour moi. Mais pour beaucoup, vous l’étiez. Pour le moins votre image est altérée, troublée, devenue équivoque.
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