Le Président Macron a bouleversé la donne. Aussi, la droite d’opposition est condamnée à s’inventer. Le neuf est obligatoire.
Le Président – c’est un constat, non une idolâtrie – ouvre la porte à une République des mots justes, la ferme à la démagogie des mots doux.
Se libérer à tout coup et à tout instant, c’est tout se permettre sur la gamme qui va de l’anodin au tragique. Hors de soi, point de salut !
En réalité je suis moins réservé qu’amusé.
Si son discours sur le plan de sa conception de l’autorité est irréprochable, j’émets une double réserve sur ses propositions.
Cela devient effarant.
On me pardonnera d’avoir écouté avec attention cet entretien et de m’être senti fier.
Vilipender un adversaire qui n’a pas les mêmes opinions que vous est indigne.
Qu’on n’occulte pas l’immense responsabilité d’un monde au sein duquel il avait toute latitude pour parader.
Je mesure les émotions intimes. Mais j’ose dire, aussi, qu’il est temps d’achever l’affaire Cantat !
Quel magnifique programme et comme ces sigles sont bien choisis pour donner l’illusion que le nom correspond à la substance !
Le président de la République fait preuve, à l’égard du monde de la Justice, d’une respectueuse indifférence…
Cinq subjectivités dominicales enrichies et limitées par la liberté solitaire.
Je m’interroge sur le risque d’impasse de la volonté présidentielle de dépasser la droite et la gauche.
Qui, de bonne foi, pourrait ne pas approuver cette vulgarité dans la forme mais cette justesse dans le fond ?
Un monde médiatique qui facilite de telles dévastations et s’en repaît devrait être jugé avant de juger.
Je suis devenu marxiste.
Ceux qui ont persuadé les parents au comble de l’angoisse de parler ainsi ont créé sans doute chez eux un traumatisme supplémentaire.
Pour que l’enfermement ne soit plus « un horizon indépassable », on décide de faire, contre toute lucidité, comme s’il n’était pas une contrainte impérieuse.
Une excellente nouvelle : Michel Lussault, président du Conseil supérieur des programmes, démissionne.
Ce serait bien si l’univers dans toutes ses facettes obéissait à nos désirs et correspondait à notre vision paresseuse.
Il combat dorénavant vigoureusement le système médiatique lui-même.
J’espère qu’on ne laissera pas dans l’ombre le scandale de ces inerties sans lesquelles Alizée serait probablement encore vivante…
On comprendra pourquoi à force j’ai eu envie de défendre Stéphane Bern.
La force d’un État de droit ne réside pas dans les compliments que lui adressent juristes et intellectuels mais dans son aptitude à protéger les citoyens
Sarah Halimi a été défenestrée en pleine nuit après avoir été frappée très violemment par Kobili Traoré, un voisin de 27 ans, qui criait « Allahou Akbar ».
La France est très en retard. Elle n’a toujours pas compris que la force du rapport était plus décisive que le rapport de force.
On a le droit d’avoir des héros de tous âges dans son panthéon.
Le Président Macron a bouleversé la donne. Aussi, la droite d’opposition est condamnée à s’inventer. Le neuf est obligatoire.
Le Président – c’est un constat, non une idolâtrie – ouvre la porte à une République des mots justes, la ferme à la démagogie des mots doux.
Se libérer à tout coup et à tout instant, c’est tout se permettre sur la gamme qui va de l’anodin au tragique. Hors de soi, point de salut !
En réalité je suis moins réservé qu’amusé.
Si son discours sur le plan de sa conception de l’autorité est irréprochable, j’émets une double réserve sur ses propositions.
Cela devient effarant.
On me pardonnera d’avoir écouté avec attention cet entretien et de m’être senti fier.
Vilipender un adversaire qui n’a pas les mêmes opinions que vous est indigne.
Qu’on n’occulte pas l’immense responsabilité d’un monde au sein duquel il avait toute latitude pour parader.
Je mesure les émotions intimes. Mais j’ose dire, aussi, qu’il est temps d’achever l’affaire Cantat !
Quel magnifique programme et comme ces sigles sont bien choisis pour donner l’illusion que le nom correspond à la substance !
Le président de la République fait preuve, à l’égard du monde de la Justice, d’une respectueuse indifférence…
Cinq subjectivités dominicales enrichies et limitées par la liberté solitaire.
Je m’interroge sur le risque d’impasse de la volonté présidentielle de dépasser la droite et la gauche.
Qui, de bonne foi, pourrait ne pas approuver cette vulgarité dans la forme mais cette justesse dans le fond ?
Un monde médiatique qui facilite de telles dévastations et s’en repaît devrait être jugé avant de juger.
Je suis devenu marxiste.
Ceux qui ont persuadé les parents au comble de l’angoisse de parler ainsi ont créé sans doute chez eux un traumatisme supplémentaire.
Pour que l’enfermement ne soit plus « un horizon indépassable », on décide de faire, contre toute lucidité, comme s’il n’était pas une contrainte impérieuse.
Une excellente nouvelle : Michel Lussault, président du Conseil supérieur des programmes, démissionne.
Ce serait bien si l’univers dans toutes ses facettes obéissait à nos désirs et correspondait à notre vision paresseuse.
Il combat dorénavant vigoureusement le système médiatique lui-même.
J’espère qu’on ne laissera pas dans l’ombre le scandale de ces inerties sans lesquelles Alizée serait probablement encore vivante…
On comprendra pourquoi à force j’ai eu envie de défendre Stéphane Bern.
La force d’un État de droit ne réside pas dans les compliments que lui adressent juristes et intellectuels mais dans son aptitude à protéger les citoyens
Sarah Halimi a été défenestrée en pleine nuit après avoir été frappée très violemment par Kobili Traoré, un voisin de 27 ans, qui criait « Allahou Akbar ».
La France est très en retard. Elle n’a toujours pas compris que la force du rapport était plus décisive que le rapport de force.
On a le droit d’avoir des héros de tous âges dans son panthéon.
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