Philippe Bilger
Magistrat honoraire - Magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole
Philippe Bilger réagit à la nouvelle du suicide du Juge Lambert.
L’ADN de la droite, aujourd’hui, consiste dans une grande incertitude sur elle-même.
Tout récemment, nous sont annoncées des « pistes pour renforcer l’indépendance de la Justice ».
La société, notre monde ont besoin d’icônes incontestables autour desquelles s’unir, se rassembler.
Le président de la République devrait accepter d’ajouter l’institution judiciaire et son exemplarité au rang de ses priorités les plus urgentes.
Les journalistes sont vexés parce que l’entretien traditionnel du 14 juillet n’aura pas lieu…
Le parcours politique et l’expérience, sexe mis à part, pour l’observateur profiteraient surtout à François de Rugy. Ce qui s’est passé.
Rien n’est anodin.
L’intégration dans le droit pénal ordinaire de mesures exceptionnelles vouées à combattre et à poursuivre le terrorisme est une excellente initiative.
Comme un diable sortant de sa boîte, le 13 juin, l’affaire Villemin est venue troubler le paysage.
Pour succéder à François Bayrou, Emmanuel Macron a désigné un nouveau garde des Sceaux : Nicole Belloubet. Philippe Bilger réagit.
Les démagogues sont ceux qui interdisent à la démocratie de se défendre sans se renier.
Le président de la République lui a adressé un message et le Premier ministre est allé la voir à Cochin.
Qu’on l’aime ou qu’on la déteste, NKM est nécessaire. Le climat d’aujourd’hui est profondément le sien.
Sont-ce les ossements de jeunes filles tuées par Emile Louis ou s’agit-il – autre hypothèse – d’une sépulture médiévale ?
La CJUE se moque du monde qui n’est pas le sien, éthéré et tranquille dans la ouate du droit.
Sur-le-champ, j’avais tweeté en m’étonnant de cette dérision verbale du Président, habituellement si précautionneux sur ces sujets sensibles…
Jean-Luc Mélenchon n’aime pas Bernard Cazeneuve
Il est dommage que le président de la République se soit senti tenu, lors du Conseil des ministres, de renouveler sa confiance à Richard Ferrand.
Philippe Bilger déplore la gestion des affaires par le Premier ministre et le gouvernement.
Emmanuel Macron nous offre aujourd’hui une illustration de sa pensée d’hier.
Les citoyens ont perdu toute confiance dans les instances chargées de dire le Bien ou le Mal.
Philippe Bilger apporte son éclairage sur les ennuis judiciaires de François Bayrou et continue à faire l’éloge des « débuts éblouissants » du Président.
Les politiques n’ont pas que le devoir et les journalistes les droits.
Il y a quelque chose d’étrange et de nouveau sous le ciel démocratique français.
Je ne peux pas passer sous silence les quatre années catastrophiques de Christiane Taubira, pire exemple d’une idéologie déconnectée et méprisante.
Ce n’est pas un choix qu’on fait à la va-vite. Il a été mûrement réfléchi, pesé.
Non, la France, c’est nous tous.
Philippe Bilger réagit à la nouvelle du suicide du Juge Lambert.
L’ADN de la droite, aujourd’hui, consiste dans une grande incertitude sur elle-même.
Tout récemment, nous sont annoncées des « pistes pour renforcer l’indépendance de la Justice ».
La société, notre monde ont besoin d’icônes incontestables autour desquelles s’unir, se rassembler.
Le président de la République devrait accepter d’ajouter l’institution judiciaire et son exemplarité au rang de ses priorités les plus urgentes.
Les journalistes sont vexés parce que l’entretien traditionnel du 14 juillet n’aura pas lieu…
Le parcours politique et l’expérience, sexe mis à part, pour l’observateur profiteraient surtout à François de Rugy. Ce qui s’est passé.
Rien n’est anodin.
L’intégration dans le droit pénal ordinaire de mesures exceptionnelles vouées à combattre et à poursuivre le terrorisme est une excellente initiative.
Comme un diable sortant de sa boîte, le 13 juin, l’affaire Villemin est venue troubler le paysage.
Pour succéder à François Bayrou, Emmanuel Macron a désigné un nouveau garde des Sceaux : Nicole Belloubet. Philippe Bilger réagit.
Les démagogues sont ceux qui interdisent à la démocratie de se défendre sans se renier.
Le président de la République lui a adressé un message et le Premier ministre est allé la voir à Cochin.
Qu’on l’aime ou qu’on la déteste, NKM est nécessaire. Le climat d’aujourd’hui est profondément le sien.
Sont-ce les ossements de jeunes filles tuées par Emile Louis ou s’agit-il – autre hypothèse – d’une sépulture médiévale ?
La CJUE se moque du monde qui n’est pas le sien, éthéré et tranquille dans la ouate du droit.
Sur-le-champ, j’avais tweeté en m’étonnant de cette dérision verbale du Président, habituellement si précautionneux sur ces sujets sensibles…
Jean-Luc Mélenchon n’aime pas Bernard Cazeneuve
Il est dommage que le président de la République se soit senti tenu, lors du Conseil des ministres, de renouveler sa confiance à Richard Ferrand.
Philippe Bilger déplore la gestion des affaires par le Premier ministre et le gouvernement.
Emmanuel Macron nous offre aujourd’hui une illustration de sa pensée d’hier.
Les citoyens ont perdu toute confiance dans les instances chargées de dire le Bien ou le Mal.
Philippe Bilger apporte son éclairage sur les ennuis judiciaires de François Bayrou et continue à faire l’éloge des « débuts éblouissants » du Président.
Les politiques n’ont pas que le devoir et les journalistes les droits.
Il y a quelque chose d’étrange et de nouveau sous le ciel démocratique français.
Je ne peux pas passer sous silence les quatre années catastrophiques de Christiane Taubira, pire exemple d’une idéologie déconnectée et méprisante.
Ce n’est pas un choix qu’on fait à la va-vite. Il a été mûrement réfléchi, pesé.
Non, la France, c’est nous tous.
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