Les dégradations n’ont plus aucune limite…
Je déplore que le grand rabbin de France, avec l’autorité qu’il a et le prestige de son statut, se soit engagé dans ce combat non pas douteux mais inopportun…
Quand j’entends des petits qui se gonflent se permettre de critiquer aigrement des Onfray, des Finkielkraut ou des Zemmour qui les dépassent de cent coudées, j’y décèle la marque d’une société qui a perdu le sens des choses et la lucidité des jugements.
Saurez-vous dorénavant faire des exemples avec ceux qui n’auraient pas compris votre injonction ?
Il faut surtout ne jamais guérir de son enfance.
Il ne faut pas croire que Gérald Darmanin ait fixé des limites à son ascension.
L’ancienne présidente du Syndicat de la magistrature a été condamnée en appel, jeudi 19 décembre, pour injure publique envers le maire de Béziers Robert Ménard
Quoi de commun entre le courage des mots et celui des gestes, de la résistance à la violence et des activités militaires ?
Il n’est pas besoin d’être un journaliste ou un analyste confirmé pour affirmer que, depuis longtemps, le climat civique français n’a jamais été aussi pourri et désespéré.
Pauvres de nous, donc, avec notre pluriel médiocre et nos combinaisons d’épiciers…
Mais qui pouvait imaginer que Jean-Paul Delevoye, avec un tel parcours et une telle intelligence, avait si peu de mémoire ?
Michèle Bernard-Requin, actuellement en soins palliatifs, a, dans un mouvement inouï du cœur et de l’esprit, écrit un splendide adieu où elle célèbre l’hôpital et réclame qu’on lui donne des moyens…
Élie Semoun offre le triste exemple d’aujourd’hui : il faut insulter la personne avec laquelle on n’est pas d’accord.
Le terrorisme est une catégorie criminelle à part et les juges s’abusent quand ils lui appliquent les grilles judiciaires ordinaires.
Il y a un orgueil funèbre dans la désolation qui nous a saisis : ces militaires ont été des nôtres.
Il y a une France tristement usuelle, aux travaux et aux jours sans éclat, qui a peur, qui craint pour ses biens, son intégrité, sa vie, qui tente le moins mal possible d’assumer sa condition…
Décidément, ces Français sont incorrigibles…
Ne pas vouloir chasser Zemmour de l’univers médiatique, ce n’est pas possible, c’est d’extrême droite !
Quatre ans après les tragiques attentats islamistes du 13 novembre, Boulevard Voltaire a rencontré Philippe Bilger. Il fait un point sur l’état actuel de la
Comment ne pas s’inquiéter de cette propension législative à ne pas laisser le moindre champ humain en dehors d’un soupçon inquisiteur ?
Un Hanouna bien au chaud dans son succès et dans son émission, dont la seule audace est de pousser loin l’inélégance, venant donner des leçons à une Zineb et jeter sa pincée odieuse dans le risque qu’elle court !
L’ignorance abyssale du courant dans lequel elle s’inscrit a été révélée tristement encore bien davantage quand Adèle Haenel a énoncé que les agresseurs sexuels étaient « peu » condamnés et qu’un viol sur cent était sanctionné.
Le Président, en tout cas, ne vend pas la peau de Marine Le Pen avant l’heure.
Le livre dérangeant, donc stimulant, de Jean-Louis Harouel met aussi l’accent sur une faillite capitale de notre exécution des sanctions criminelles.
On entend assez souvent, dans les débats politiques et médiatiques, des intervenants proposer, comme solution à tous les problèmes brûlants de notre société et de
Giovanni Falcone, Italien, n’aurait pas pu être un magistrat français.
Ce serait une erreur d’oublier, dans cet arbre, les incidents, troubles et crimes liés directement ou indirectement à la politique et à l’islamisme.
Le peuple attend avec impatience que le pouvoir cesse de tourner autour de ce problème crucial mais l’aborde, l’affronte et communique les moyens de gagner ce combat.
Les dégradations n’ont plus aucune limite…
Je déplore que le grand rabbin de France, avec l’autorité qu’il a et le prestige de son statut, se soit engagé dans ce combat non pas douteux mais inopportun…
Quand j’entends des petits qui se gonflent se permettre de critiquer aigrement des Onfray, des Finkielkraut ou des Zemmour qui les dépassent de cent coudées, j’y décèle la marque d’une société qui a perdu le sens des choses et la lucidité des jugements.
Saurez-vous dorénavant faire des exemples avec ceux qui n’auraient pas compris votre injonction ?
Il faut surtout ne jamais guérir de son enfance.
Il ne faut pas croire que Gérald Darmanin ait fixé des limites à son ascension.
L’ancienne présidente du Syndicat de la magistrature a été condamnée en appel, jeudi 19 décembre, pour injure publique envers le maire de Béziers Robert Ménard
Quoi de commun entre le courage des mots et celui des gestes, de la résistance à la violence et des activités militaires ?
Il n’est pas besoin d’être un journaliste ou un analyste confirmé pour affirmer que, depuis longtemps, le climat civique français n’a jamais été aussi pourri et désespéré.
Pauvres de nous, donc, avec notre pluriel médiocre et nos combinaisons d’épiciers…
Mais qui pouvait imaginer que Jean-Paul Delevoye, avec un tel parcours et une telle intelligence, avait si peu de mémoire ?
Michèle Bernard-Requin, actuellement en soins palliatifs, a, dans un mouvement inouï du cœur et de l’esprit, écrit un splendide adieu où elle célèbre l’hôpital et réclame qu’on lui donne des moyens…
Élie Semoun offre le triste exemple d’aujourd’hui : il faut insulter la personne avec laquelle on n’est pas d’accord.
Le terrorisme est une catégorie criminelle à part et les juges s’abusent quand ils lui appliquent les grilles judiciaires ordinaires.
Il y a un orgueil funèbre dans la désolation qui nous a saisis : ces militaires ont été des nôtres.
Il y a une France tristement usuelle, aux travaux et aux jours sans éclat, qui a peur, qui craint pour ses biens, son intégrité, sa vie, qui tente le moins mal possible d’assumer sa condition…
Décidément, ces Français sont incorrigibles…
Ne pas vouloir chasser Zemmour de l’univers médiatique, ce n’est pas possible, c’est d’extrême droite !
Quatre ans après les tragiques attentats islamistes du 13 novembre, Boulevard Voltaire a rencontré Philippe Bilger. Il fait un point sur l’état actuel de la
Comment ne pas s’inquiéter de cette propension législative à ne pas laisser le moindre champ humain en dehors d’un soupçon inquisiteur ?
Un Hanouna bien au chaud dans son succès et dans son émission, dont la seule audace est de pousser loin l’inélégance, venant donner des leçons à une Zineb et jeter sa pincée odieuse dans le risque qu’elle court !
L’ignorance abyssale du courant dans lequel elle s’inscrit a été révélée tristement encore bien davantage quand Adèle Haenel a énoncé que les agresseurs sexuels étaient « peu » condamnés et qu’un viol sur cent était sanctionné.
Le Président, en tout cas, ne vend pas la peau de Marine Le Pen avant l’heure.
Le livre dérangeant, donc stimulant, de Jean-Louis Harouel met aussi l’accent sur une faillite capitale de notre exécution des sanctions criminelles.
On entend assez souvent, dans les débats politiques et médiatiques, des intervenants proposer, comme solution à tous les problèmes brûlants de notre société et de
Giovanni Falcone, Italien, n’aurait pas pu être un magistrat français.
Ce serait une erreur d’oublier, dans cet arbre, les incidents, troubles et crimes liés directement ou indirectement à la politique et à l’islamisme.
Le peuple attend avec impatience que le pouvoir cesse de tourner autour de ce problème crucial mais l’aborde, l’affronte et communique les moyens de gagner ce combat.
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