Philippe Kerlouan
Chroniqueur à BV, écrivain, professeur en retraite
Pour sauver les langues et les cultures régionales, il faut se garder de toute récupération politicienne et rechercher où se situe le véritable intérêt de la France.
Les diplômes ne confèrent aucune supériorité à l’égard des autres, mais plus de responsabilité.
Faut-il qu’ils soient à court d’arguments pour tomber dans ces excès grotesques qui se retournent contre eux !
À Nevers, Emmanuel Macron a dévoilé son pass culture de 300 euros pour les jeunes de 18 ans…
La compétition pour l’Élysée peut se passer d’un clown supplémentaire. Elle en a déjà un qui, en de multiples occasions, a montré tout son talent : c’est Macron lui-même.
La droite n’a pas de désaccords fondamentaux avec le Rassemblement national sur des questions comme la souveraineté de la France, l’immigration ou la sécurité. Mais elle est tombée dans le piège d’une diabolisation qu’elle est incapable de justifier.
Fabien Roussel prend le sujet à bras-le-corps…
Ce compromis, qui sent la compromission, ne rend pas service à son camp mais place chacun au pied du mur et dans l’obligation de révéler, tôt ou tard, ses véritables intentions.
Cette réforme apparaît comme une nouvelle étape dans le démantèlement de l’État, pour faciliter la mainmise de la caste au pouvoir sur les rouages de l’administration française.
Ce qui ressort le plus de son discours, c’est sa tentative de récupérer Napoléon.
Éric Ciotti, qui n’est ni jésuite ni ingénu, refuse fermement tout rapprochement avec la Macronie.
Pour les rapatriés, pour les harkis honteusement abandonnés à leurs bourreaux, pour tous les disparus, pour le peuple algérien lui-même, qui méritait mieux que la clique qui le gouverne. Tout simplement, au nom de la vérité.
Dans des collèges fréquentés par des élèves d’origine turque, l’enseignement du génocide arménien ne peut être évoqué sans susciter de vives contestations
On a rarement vu une telle insolence de la part des autorités algériennes.
Ce débat, s’il n’a rien de nouveau, est révélateur des préjugés tenaces d’une gauche qui prétend avoir le monopole du cœurmais détient plutôt le record du renoncement.
Le père d’une des victimes se dit « écœuré ».
Pourquoi se battre pour du vent ?
La victimisation alimente la haine d’une partie de la population d’origine immigrée qui y voit une bonne raison de ne pas s’intégrer et de rejeter toute assimilation.
Jusqu’où va la soumission !
On peut se demander si les Européens sauront faire front à la rouerie d’un président qui ne respecte pas les règles : Erdoğan est habile au jeu du poker menteur !
Le philosophe Michel Onfray, peu suspect d’être un intégriste, est pourtant le premier à regretter la perte du sens du sacré dans l’Église.
Cet exemple prouve qu’il n’y a pas que les gens ordinaires pour connaître des problèmes de couple dignes de romans-photos.
Par son refus de les rapatrier, la France se voit ainsi accusée de rendre les Kurdes coupables de détention illégale et d’en être les premiers responsables.
Il est vrai que, lorsqu’on n’est pas aux affaires, il est plus facile de se faire apprécier.
Cette polémique révèle, une fois de plus, que, pour une partie de la gauche, la lutte des classes a été remplacée par la lutte des races.
Il faut d’abord se rappeler que la France a joué un rôle important dans la libération de ce pays du joug ottoman.
Le slogan simplificateur a toujours été le mode d’expression privilégié des dictatures, d’autant plus insidieux qu’elles veulent passer pour des démocraties.
Pour Erdoğan, la lâcheté occidentale, c’est du pain bénit !
Pour sauver les langues et les cultures régionales, il faut se garder de toute récupération politicienne et rechercher où se situe le véritable intérêt de la France.
Les diplômes ne confèrent aucune supériorité à l’égard des autres, mais plus de responsabilité.
Faut-il qu’ils soient à court d’arguments pour tomber dans ces excès grotesques qui se retournent contre eux !
À Nevers, Emmanuel Macron a dévoilé son pass culture de 300 euros pour les jeunes de 18 ans…
La compétition pour l’Élysée peut se passer d’un clown supplémentaire. Elle en a déjà un qui, en de multiples occasions, a montré tout son talent : c’est Macron lui-même.
La droite n’a pas de désaccords fondamentaux avec le Rassemblement national sur des questions comme la souveraineté de la France, l’immigration ou la sécurité. Mais elle est tombée dans le piège d’une diabolisation qu’elle est incapable de justifier.
Fabien Roussel prend le sujet à bras-le-corps…
Ce compromis, qui sent la compromission, ne rend pas service à son camp mais place chacun au pied du mur et dans l’obligation de révéler, tôt ou tard, ses véritables intentions.
Cette réforme apparaît comme une nouvelle étape dans le démantèlement de l’État, pour faciliter la mainmise de la caste au pouvoir sur les rouages de l’administration française.
Ce qui ressort le plus de son discours, c’est sa tentative de récupérer Napoléon.
Éric Ciotti, qui n’est ni jésuite ni ingénu, refuse fermement tout rapprochement avec la Macronie.
Pour les rapatriés, pour les harkis honteusement abandonnés à leurs bourreaux, pour tous les disparus, pour le peuple algérien lui-même, qui méritait mieux que la clique qui le gouverne. Tout simplement, au nom de la vérité.
Dans des collèges fréquentés par des élèves d’origine turque, l’enseignement du génocide arménien ne peut être évoqué sans susciter de vives contestations
On a rarement vu une telle insolence de la part des autorités algériennes.
Ce débat, s’il n’a rien de nouveau, est révélateur des préjugés tenaces d’une gauche qui prétend avoir le monopole du cœurmais détient plutôt le record du renoncement.
Le père d’une des victimes se dit « écœuré ».
Pourquoi se battre pour du vent ?
La victimisation alimente la haine d’une partie de la population d’origine immigrée qui y voit une bonne raison de ne pas s’intégrer et de rejeter toute assimilation.
Jusqu’où va la soumission !
On peut se demander si les Européens sauront faire front à la rouerie d’un président qui ne respecte pas les règles : Erdoğan est habile au jeu du poker menteur !
Le philosophe Michel Onfray, peu suspect d’être un intégriste, est pourtant le premier à regretter la perte du sens du sacré dans l’Église.
Cet exemple prouve qu’il n’y a pas que les gens ordinaires pour connaître des problèmes de couple dignes de romans-photos.
Par son refus de les rapatrier, la France se voit ainsi accusée de rendre les Kurdes coupables de détention illégale et d’en être les premiers responsables.
Il est vrai que, lorsqu’on n’est pas aux affaires, il est plus facile de se faire apprécier.
Cette polémique révèle, une fois de plus, que, pour une partie de la gauche, la lutte des classes a été remplacée par la lutte des races.
Il faut d’abord se rappeler que la France a joué un rôle important dans la libération de ce pays du joug ottoman.
Le slogan simplificateur a toujours été le mode d’expression privilégié des dictatures, d’autant plus insidieux qu’elles veulent passer pour des démocraties.
Pour Erdoğan, la lâcheté occidentale, c’est du pain bénit !
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