
Qui peut attendre de notre Président autre chose que des paroles ambiguës, où chacun pourra trouver du grain à moudre pour se donner bonne conscience ?

Au ministre le costume-cravate, le langage mesuré ; à l’avocat la tenue débraillée ou le propos transgressif.

Nos dirigeants sont confortés par des sondages.

Théoriquement marqué à droite, Christophe Kerrero est un esprit souple, qui ne s’embarrasse guère des clivages politiques, adepte du « en même temps » cher à Emmanuel Macron.

On peut se demander si Benjamin Stora est le mieux placé pour conduire cette mission de réconciliation.

Le vivier des ministrables est si pauvre, dans la majorité, qu’on est obligé d’aller chercher une personnalité qui a sans doute des qualités, mais qu’on n’imagine pas a priori comme le « premier flic de France ».

La victoire des écologistes est donc celle d’une bourgeoisie aisée qui trouve dans l’écologie et l’idéologie de gauche des motifs de se donner bonne conscience.

C’est bien connu, les personnalités hors du commun sont aptes à occuper deux emplois à plein temps !

Notre Président sera-t-il sensible aux avances de Manuel Valls ?

On en vient à se demander s’il ne vaut pas mieux, en France, se livrer à la violence, dans certains quartiers de banlieue, que de contester légitimement l’impéritie du pouvoir dans la crise sanitaire.

Un autre paramètre, qui pourrait avoir son importance ? Emmanuel Macron a tout intérêt à ce qu’Édouard Philippe, soit élu au Havre rapidement, pour s’en débarrasser en douceur…

Un spectacle insolite et un beau pied de nez au gouvernement, qui a interdit les cérémonies religieuses.

Pourquoi les fans de Souleymane Traoré ou les gens du voyage ont-ils droit à ce traitement d’exception ? Seraient-ils des privilégiés ?

On peut reprocher beaucoup de choses à Jean-Michel Blanquer, d’avoir perdu, en cours de route, une partie de ses bonnes intentions et de s’être macronisé. Mais pas d’avoir voulu faire un peu le ménage !
Si ça s’est mal passé, c’est, bien sûr, à cause des forces de l’ordre…

On se demande, cependant, pourquoi il leur a fallu trois ans pour ne plus supporter une servitude qui s’exerçait dès les origines.

Faute d’être grand par sa politique, Macron se fait grand par procuration.

Difficile de savoir qui est le plus responsable, de l’administration ou de nos gouvernants. Mais quelle est la légitimité de politiques qui ne savent ni anticiper les besoins ni vérifier ce que fait leur administration ?

Nicolas Hulot, à défaut de crédibilité, a au moins le mérite d’être constant.

L’écologie est la chose au monde la mieux partagée : tous les partis politiques la mettent dans leur programme, soit par conviction, soit par intérêt électoral.

Seuls 535 candidats, sur plus de 380.000, ont présenté la spécialité « langues et cultures de l’Antiquité, en 2022.

Édouard Philippe excelle dans l’art d’ouvrir le parapluie pour protéger son gouvernement des reproches qu’on pourrait lui faire.

Qu’on se le dise ! Le déconfinement ne sera pas le début d’une plus grande liberté mais le démarrage de nouvelles contraintes.

Les médias ne se sont guère étendus sur cette affaire. Elle est pourtant là pour rappeler que la crise sanitaire n’a pas effacé le danger terroriste.

On peut légitimement se demander si la gestion de ces établissements doit être confiée à des entreprises privées, dont l’objectif premier est de faire des bénéfices.

La réouverture prématurée des établissements scolaires va conduire à des contraintes insupportables…

L’heure est à la défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et du gouvernement, qui ne semblent pas à la hauteur de la situation.

Il y a les Français qui doivent respecter la loi et ceux qui ont le droit d’y déroger. Tout dépend de leur quartier.

Qui peut attendre de notre Président autre chose que des paroles ambiguës, où chacun pourra trouver du grain à moudre pour se donner bonne conscience ?

Au ministre le costume-cravate, le langage mesuré ; à l’avocat la tenue débraillée ou le propos transgressif.

Nos dirigeants sont confortés par des sondages.

Théoriquement marqué à droite, Christophe Kerrero est un esprit souple, qui ne s’embarrasse guère des clivages politiques, adepte du « en même temps » cher à Emmanuel Macron.

On peut se demander si Benjamin Stora est le mieux placé pour conduire cette mission de réconciliation.

Le vivier des ministrables est si pauvre, dans la majorité, qu’on est obligé d’aller chercher une personnalité qui a sans doute des qualités, mais qu’on n’imagine pas a priori comme le « premier flic de France ».

La victoire des écologistes est donc celle d’une bourgeoisie aisée qui trouve dans l’écologie et l’idéologie de gauche des motifs de se donner bonne conscience.

C’est bien connu, les personnalités hors du commun sont aptes à occuper deux emplois à plein temps !

Notre Président sera-t-il sensible aux avances de Manuel Valls ?

On en vient à se demander s’il ne vaut pas mieux, en France, se livrer à la violence, dans certains quartiers de banlieue, que de contester légitimement l’impéritie du pouvoir dans la crise sanitaire.

Un autre paramètre, qui pourrait avoir son importance ? Emmanuel Macron a tout intérêt à ce qu’Édouard Philippe, soit élu au Havre rapidement, pour s’en débarrasser en douceur…

Un spectacle insolite et un beau pied de nez au gouvernement, qui a interdit les cérémonies religieuses.

Pourquoi les fans de Souleymane Traoré ou les gens du voyage ont-ils droit à ce traitement d’exception ? Seraient-ils des privilégiés ?

On peut reprocher beaucoup de choses à Jean-Michel Blanquer, d’avoir perdu, en cours de route, une partie de ses bonnes intentions et de s’être macronisé. Mais pas d’avoir voulu faire un peu le ménage !
Si ça s’est mal passé, c’est, bien sûr, à cause des forces de l’ordre…

On se demande, cependant, pourquoi il leur a fallu trois ans pour ne plus supporter une servitude qui s’exerçait dès les origines.

Faute d’être grand par sa politique, Macron se fait grand par procuration.

Difficile de savoir qui est le plus responsable, de l’administration ou de nos gouvernants. Mais quelle est la légitimité de politiques qui ne savent ni anticiper les besoins ni vérifier ce que fait leur administration ?

Nicolas Hulot, à défaut de crédibilité, a au moins le mérite d’être constant.

L’écologie est la chose au monde la mieux partagée : tous les partis politiques la mettent dans leur programme, soit par conviction, soit par intérêt électoral.

Seuls 535 candidats, sur plus de 380.000, ont présenté la spécialité « langues et cultures de l’Antiquité, en 2022.

Édouard Philippe excelle dans l’art d’ouvrir le parapluie pour protéger son gouvernement des reproches qu’on pourrait lui faire.

Qu’on se le dise ! Le déconfinement ne sera pas le début d’une plus grande liberté mais le démarrage de nouvelles contraintes.

Les médias ne se sont guère étendus sur cette affaire. Elle est pourtant là pour rappeler que la crise sanitaire n’a pas effacé le danger terroriste.

On peut légitimement se demander si la gestion de ces établissements doit être confiée à des entreprises privées, dont l’objectif premier est de faire des bénéfices.

La réouverture prématurée des établissements scolaires va conduire à des contraintes insupportables…

L’heure est à la défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et du gouvernement, qui ne semblent pas à la hauteur de la situation.

Il y a les Français qui doivent respecter la loi et ceux qui ont le droit d’y déroger. Tout dépend de leur quartier.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
