
Le problème, c’est que cette orientation idéologique, minoritaire au départ, s’étend de plus en plus dans les université

On ne peut que s’inquiéter, à l’approche des Jeux olympiques qui concentreront en France des foules importantes.

On s’habitue progressivement à la médiocrité au lieu de chercher à tendre vers l’excellence

L’avortement reste et restera toujours, comme le dit la CEF, « une atteinte à la vie en son commencement ».

On peut regretter que ce fils de pieds-noirs n’ait pas réagi plus tôt à ce nouvel affront de l’Algérie envers la France

Elle avait dénoncé les « fariboles sur la restauration de l’autorité ou le port de la blouse ».

Si on gratte un peu, on s’aperçoit que rien ne va changer, sinon en pire.

Gabriel Attal lance de bonnes idées pour plaire mais ne se donne pas les moyens de les réaliser.

Le vrai scandale ? Que l’enseignement public soit incapable de garantir partout des conditions normales d’éducation.

On apprend que le dossier piétinerait…

Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?

On rêve qu’un président français, un jour, en fasse autant !
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…

Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.

Les Gilets jaunes originels posaient les vrais problèmes, qui n’ont jamais été traités.

C’est ainsi que, progressivement, on ne fait plus de différence entre les Français et les étrangers.

Cette conversion n’est pas convaincante.

Les questions reprennent des évidences ou de vieilles lunes pédagogiques.

Éliminer les difficultés de la langue française pour ne plus y être confronté est une démarche bien singulière.

Gardons-nous des clichés qui dégoûtent du métier tous les enseignants.

L’extrême droite serait en train d’infiltrer les établissements scolaires via les élections de parents d’élèves.

Comme s’il suffisait de changer les mots pour changer le système et rompre avec l’idéologie dominante.

La semaine dernière déjà, les enseignants ont publié une lettre ouverte pour dénoncer le climat de tension.

La hiérarchie, forcément au courant, n’a apparemment pas su ou voulu s’opposer à cette sortie.

La mairie de Bordeaux organise une consultation citoyenne pour déterminer le style de la future porte.

Macron a décidé de « prendre à bras-le-corps » le sujet de la formation des maîtres en inventant un « parcours ad hoc »

Vouloir un « choc des savoirs » est une formule publicitaire qui sonne haut et fort mais qui est vide de substance.

Dans les sphères qui nous dirigent, on sacrifie tous les élèves sur l’autel de l’égalité.

Le problème, c’est que cette orientation idéologique, minoritaire au départ, s’étend de plus en plus dans les université

On ne peut que s’inquiéter, à l’approche des Jeux olympiques qui concentreront en France des foules importantes.

On s’habitue progressivement à la médiocrité au lieu de chercher à tendre vers l’excellence

L’avortement reste et restera toujours, comme le dit la CEF, « une atteinte à la vie en son commencement ».

On peut regretter que ce fils de pieds-noirs n’ait pas réagi plus tôt à ce nouvel affront de l’Algérie envers la France

Elle avait dénoncé les « fariboles sur la restauration de l’autorité ou le port de la blouse ».

Si on gratte un peu, on s’aperçoit que rien ne va changer, sinon en pire.

Gabriel Attal lance de bonnes idées pour plaire mais ne se donne pas les moyens de les réaliser.

Le vrai scandale ? Que l’enseignement public soit incapable de garantir partout des conditions normales d’éducation.

On apprend que le dossier piétinerait…

Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?

On rêve qu’un président français, un jour, en fasse autant !
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…

Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.

Les Gilets jaunes originels posaient les vrais problèmes, qui n’ont jamais été traités.

C’est ainsi que, progressivement, on ne fait plus de différence entre les Français et les étrangers.

Cette conversion n’est pas convaincante.

Les questions reprennent des évidences ou de vieilles lunes pédagogiques.

Éliminer les difficultés de la langue française pour ne plus y être confronté est une démarche bien singulière.

Gardons-nous des clichés qui dégoûtent du métier tous les enseignants.

L’extrême droite serait en train d’infiltrer les établissements scolaires via les élections de parents d’élèves.

Comme s’il suffisait de changer les mots pour changer le système et rompre avec l’idéologie dominante.

La semaine dernière déjà, les enseignants ont publié une lettre ouverte pour dénoncer le climat de tension.

La hiérarchie, forcément au courant, n’a apparemment pas su ou voulu s’opposer à cette sortie.

La mairie de Bordeaux organise une consultation citoyenne pour déterminer le style de la future porte.

Macron a décidé de « prendre à bras-le-corps » le sujet de la formation des maîtres en inventant un « parcours ad hoc »

Vouloir un « choc des savoirs » est une formule publicitaire qui sonne haut et fort mais qui est vide de substance.

Dans les sphères qui nous dirigent, on sacrifie tous les élèves sur l’autel de l’égalité.
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