
Finalement, qu’on le regrette ou non, l’intérêt de cette élection se résume au duel entre Macron et Marine Le Pen…

L’enseignement est le nerf de la guerre, pour s’emparer des esprits des enfants.

La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.

Le monde de l’enseignement, où devrait se construire la liberté, est un monde où la pensée unique se propage à tous les niveaux.

Si leur liste l’emporte, ne serait-ce que d’un chouïa, ils se sentiront pousser des ailes pour imposer leurs projets.

De nos jours, c’est le summum de la bien-pensance de faire de la discrimination à rebours en préférant un citoyen du monde à un compatriote.

Ses partisans ont la larme à l’œil ou sont béats d’admiration. Les autres, plus nombreux, se disent qu’une fois de plus, il s’est moqué des Français.

Il n’en faut pas plus pour que les partisans du multiculturalisme crient au scandale, allant jusqu’à accuser le Premier ministre de s’inspirer d’Hitler et de préparer un « nettoyage ethnique ».

L’ENA peut être améliorée pour retrouver sa vocation première : former de grands serviteurs de l’État.

Une majorité de Français (54 %) seraient opposés à cet allongement du temps de travail mais, s’ils y étaient contraints, préféreraient que ce soit en revenant sur les 35 heures.

Marine Le Pen, qu’on disait perdue après le débat d’entre-deux-tours, a vite remonté la pente, s’est habilement comportée pendant la crise des gilets jaunes en les soutenant sans les racoler.
D’aucuns diront que, pour donner des leçons, il faut soi-même donner l’exemple.

« Quelle est la différence entre un tas de pierres et une cathédrale ? C’est la même différence qu’entre un amas de cellules et une personne humaine. »

Les vrais ennemis des migrants ne sont-ils pas ceux qui cachent, sous les atours de la propreté morale, une exploitation sordide des immigrés au service de leurs intérêts ?
Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer.
On apprendra peut-être un jour que le Conseil des ministres a lieu le matin pour s’assurer que tous les participants soient à jeun.
L’État impose une mixité sociale pour pallier les ghettos qu’il a laissés se constituer.
Elle souligne la responsabilité de nos prétendues élites dans la crise identitaire que connaît notre pays.

François Hollande doit en pâlir d’envie.
Si on est reconnu comme un mineur isolé étranger, on ne peut être expulsé. Les migrants le savent.

L’association Osez le féminisme ! a voulu, dans un tweet, « rendre femmage » à la cinéaste Agnès Varda. Pas question d’« hommage », dont l’étymologie est sans doute trop virile.

La société turque a résisté et l’a prouvé dans les urnes.
Vous auriez pu croire qu’après la déculottée qu’il a prise, au point de renoncer à se représenter, il aurait l’humilité de rester discret…

À ce train-là, c’est la France tout entière qui sera hypothéquée, les Français en seront dépossédés et devront payer un droit de fermage pour vivre dans un pays qui est le leur et qu’ils ont contribué à construire.

Le ministère est coupable, qui recommande de telles chansons : les enseignants, un peu moutonniers, n’ont fait que suivre ses conseils.

Une croix dans un cimetière, quelle honte, n’est-ce pas ?

Une annonce en rapport avec des élections qui s’annoncent serrées, mais qui en dit long sur le régime islamique que le président Erdoğan installe progressivement.

Établir un lien entre l’accession au pouvoir de Mussolini et la situation actuelle de l’Italie, voir dans l’alliance entre Luigi Di Maio et Matteo Salvini un héritage du fascisme est plus qu’une caricature : c’est une aberration.

Finalement, qu’on le regrette ou non, l’intérêt de cette élection se résume au duel entre Macron et Marine Le Pen…

L’enseignement est le nerf de la guerre, pour s’emparer des esprits des enfants.

La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.

Le monde de l’enseignement, où devrait se construire la liberté, est un monde où la pensée unique se propage à tous les niveaux.

Si leur liste l’emporte, ne serait-ce que d’un chouïa, ils se sentiront pousser des ailes pour imposer leurs projets.

De nos jours, c’est le summum de la bien-pensance de faire de la discrimination à rebours en préférant un citoyen du monde à un compatriote.

Ses partisans ont la larme à l’œil ou sont béats d’admiration. Les autres, plus nombreux, se disent qu’une fois de plus, il s’est moqué des Français.

Il n’en faut pas plus pour que les partisans du multiculturalisme crient au scandale, allant jusqu’à accuser le Premier ministre de s’inspirer d’Hitler et de préparer un « nettoyage ethnique ».

L’ENA peut être améliorée pour retrouver sa vocation première : former de grands serviteurs de l’État.

Une majorité de Français (54 %) seraient opposés à cet allongement du temps de travail mais, s’ils y étaient contraints, préféreraient que ce soit en revenant sur les 35 heures.

Marine Le Pen, qu’on disait perdue après le débat d’entre-deux-tours, a vite remonté la pente, s’est habilement comportée pendant la crise des gilets jaunes en les soutenant sans les racoler.
D’aucuns diront que, pour donner des leçons, il faut soi-même donner l’exemple.

« Quelle est la différence entre un tas de pierres et une cathédrale ? C’est la même différence qu’entre un amas de cellules et une personne humaine. »

Les vrais ennemis des migrants ne sont-ils pas ceux qui cachent, sous les atours de la propreté morale, une exploitation sordide des immigrés au service de leurs intérêts ?
Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer.
On apprendra peut-être un jour que le Conseil des ministres a lieu le matin pour s’assurer que tous les participants soient à jeun.
L’État impose une mixité sociale pour pallier les ghettos qu’il a laissés se constituer.
Elle souligne la responsabilité de nos prétendues élites dans la crise identitaire que connaît notre pays.

François Hollande doit en pâlir d’envie.
Si on est reconnu comme un mineur isolé étranger, on ne peut être expulsé. Les migrants le savent.

L’association Osez le féminisme ! a voulu, dans un tweet, « rendre femmage » à la cinéaste Agnès Varda. Pas question d’« hommage », dont l’étymologie est sans doute trop virile.

La société turque a résisté et l’a prouvé dans les urnes.
Vous auriez pu croire qu’après la déculottée qu’il a prise, au point de renoncer à se représenter, il aurait l’humilité de rester discret…

À ce train-là, c’est la France tout entière qui sera hypothéquée, les Français en seront dépossédés et devront payer un droit de fermage pour vivre dans un pays qui est le leur et qu’ils ont contribué à construire.

Le ministère est coupable, qui recommande de telles chansons : les enseignants, un peu moutonniers, n’ont fait que suivre ses conseils.

Une croix dans un cimetière, quelle honte, n’est-ce pas ?

Une annonce en rapport avec des élections qui s’annoncent serrées, mais qui en dit long sur le régime islamique que le président Erdoğan installe progressivement.

Établir un lien entre l’accession au pouvoir de Mussolini et la situation actuelle de l’Italie, voir dans l’alliance entre Luigi Di Maio et Matteo Salvini un héritage du fascisme est plus qu’une caricature : c’est une aberration.
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