En attendant, si vous passez par Bordeaux, dégustez des cannelés : personne ne contestera leur nom – à moins qu’on n’en conteste l’orthographe…

Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire.
D’après un rapport de la Cour des comptes, les PV pour infractions routières ont atteint, en 2017, le chiffre record de 1,97 milliard d’euros.

À chacun de juger si l’islam est intrinsèquement une idéologie impérialiste ou si ce sont les États qui l’instrumentalisent.

La morale de cette histoire ? Mieux vaut éviter de donner des leçons, quand on n’est pas soi-même blanc comme neige.

Si l’État veut sauver la France d’une future « partition », selon le mot qu’aurait prononcé François Hollande, elle doit d’abord rassembler tous ceux qui, quelle que soit leur origine, sont fiers d’être français.
La crise du recrutement se perpétue.

cet afflux de « travailleurs détachés » prend un relief particulier, alors que notre président serait en train de concocter un plan pour mieux contrôler le culte musulman et l’éloigner des influences des pays du Maghreb et du Proche-Orient.

On apprend que l’ami de Khamsat Azimov, arrêté à Strasbourg, travaillait en CDD à l’accueil de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).
Il paraît que notre président réfléchit. Il consulte, mais n’a confiance qu’en lui-même et veut se faire, sur ce sujet, sa propre religion.

La France n’est pas exempte de semblables dénis. Il en est ainsi du génocide vendéen.

L’union des droites fait son chemin, malgré les obstacles.

Jean-Michel Blanquer a sifflé la fin de la récréation.

Au fait, qui sont donc ces « gauchos » ?
L’État français, qui vend déjà ses aéroports, pourrait bien aussi laisser partir la compagnie qu’il a fondée.

Ce serait la victoire de la France et de ses valeurs contre la finance sans autre idéal qu’elle-même.
Bientôt le ramadan. L’occasion, pour des sites musulmans, de dresser un palmarès des magasins de grande distribution, en fonction des garanties qu’ils offrent pour la viande halal.

Emmanuel Macron aime briller dans la langue de Shakespeare, même s’il n’en connaît pas toutes les subtilités.
Le gouvernement ne s’inquiète guère de la tenue, en France, de telles réunions, où les blancs sont systématiquement mis en cause.
Notre président ne peut que se réjouir de ces divisions.
C’en est assez de la culpabilisation des Français ! C’en est assez de la repentance à sens unique !
Jean-Gabriel Cohn-Bendit refait parler de lui…
Encore faut-il que les partisans du libéralisme ne considèrent pas qu’ils détiennent la panacée et que les dirigeants de l’État aient toujours le sens de l’intérêt général.
Estimer que la nationalité française ne doit être accordée qu’à ceux qui montrent leur volonté de s’assimiler n’est pas un cri de haine contre l’autre. C’est un appel à rejoindre la France pour partager ses valeurs et son destin.
Le vrai responsable de ce désordre, c’est un président mal élu, qui n’a pas la confiance de ses concitoyens.
Faut-il s’étonner qu’une Union européenne, animée par le seul objectif de la croissance et des échanges commerciaux, ne se préoccupe guère de politique familiale ?
Il ne conçoit l’union que dans l’adhésion pleine et entière à ses certitudes. Il méprise toutes les opinions, sauf la sienne, et couvre de son arrogance ceux qui ne se prosternent pas devant son génie.
Contre la politique du gouvernement, les retraités ne disposent que d’une arme – mais une arme redoutable : c’est leur bulletin de vote.
En attendant, si vous passez par Bordeaux, dégustez des cannelés : personne ne contestera leur nom – à moins qu’on n’en conteste l’orthographe…

Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire.
D’après un rapport de la Cour des comptes, les PV pour infractions routières ont atteint, en 2017, le chiffre record de 1,97 milliard d’euros.

À chacun de juger si l’islam est intrinsèquement une idéologie impérialiste ou si ce sont les États qui l’instrumentalisent.

La morale de cette histoire ? Mieux vaut éviter de donner des leçons, quand on n’est pas soi-même blanc comme neige.

Si l’État veut sauver la France d’une future « partition », selon le mot qu’aurait prononcé François Hollande, elle doit d’abord rassembler tous ceux qui, quelle que soit leur origine, sont fiers d’être français.
La crise du recrutement se perpétue.

cet afflux de « travailleurs détachés » prend un relief particulier, alors que notre président serait en train de concocter un plan pour mieux contrôler le culte musulman et l’éloigner des influences des pays du Maghreb et du Proche-Orient.

On apprend que l’ami de Khamsat Azimov, arrêté à Strasbourg, travaillait en CDD à l’accueil de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).
Il paraît que notre président réfléchit. Il consulte, mais n’a confiance qu’en lui-même et veut se faire, sur ce sujet, sa propre religion.

La France n’est pas exempte de semblables dénis. Il en est ainsi du génocide vendéen.

L’union des droites fait son chemin, malgré les obstacles.

Jean-Michel Blanquer a sifflé la fin de la récréation.

Au fait, qui sont donc ces « gauchos » ?
L’État français, qui vend déjà ses aéroports, pourrait bien aussi laisser partir la compagnie qu’il a fondée.

Ce serait la victoire de la France et de ses valeurs contre la finance sans autre idéal qu’elle-même.
Bientôt le ramadan. L’occasion, pour des sites musulmans, de dresser un palmarès des magasins de grande distribution, en fonction des garanties qu’ils offrent pour la viande halal.

Emmanuel Macron aime briller dans la langue de Shakespeare, même s’il n’en connaît pas toutes les subtilités.
Le gouvernement ne s’inquiète guère de la tenue, en France, de telles réunions, où les blancs sont systématiquement mis en cause.
Notre président ne peut que se réjouir de ces divisions.
C’en est assez de la culpabilisation des Français ! C’en est assez de la repentance à sens unique !
Jean-Gabriel Cohn-Bendit refait parler de lui…
Encore faut-il que les partisans du libéralisme ne considèrent pas qu’ils détiennent la panacée et que les dirigeants de l’État aient toujours le sens de l’intérêt général.
Estimer que la nationalité française ne doit être accordée qu’à ceux qui montrent leur volonté de s’assimiler n’est pas un cri de haine contre l’autre. C’est un appel à rejoindre la France pour partager ses valeurs et son destin.
Le vrai responsable de ce désordre, c’est un président mal élu, qui n’a pas la confiance de ses concitoyens.
Faut-il s’étonner qu’une Union européenne, animée par le seul objectif de la croissance et des échanges commerciaux, ne se préoccupe guère de politique familiale ?
Il ne conçoit l’union que dans l’adhésion pleine et entière à ses certitudes. Il méprise toutes les opinions, sauf la sienne, et couvre de son arrogance ceux qui ne se prosternent pas devant son génie.
Contre la politique du gouvernement, les retraités ne disposent que d’une arme – mais une arme redoutable : c’est leur bulletin de vote.
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