La répétition de propos méprisants pour le peuple, depuis qu’il a fait son entrée en politique, ne plaide pas en sa faveur.
« Soutien total à Sonia Nour qui subit les pressions de la fachosphère et de la gauche cassoulet. »
Finalement, la plus raisonnable – une fois n’est pas coutume –, c’est Anne Hidalgo.

Le secrétaire général de FO, qui n’avait pas mâché son hostilité à la loi El Khomri, a pu paraître indulgent à l’égard des ordonnances d’Emmanuel Macron.

En 2013, il avait cosigné avec NKM une tribune dans laquelle il exprimait son opposition résolue à la PMA pour les couples homosexuels.

Une forme de cuistrerie pour feindre d’être un « spécialiste » – ou se persuader qu’on en est un.

On a rarement vu un personnage aussi imbu de lui-même.
Revenons, avec un peu de recul, sur la polémique provoquée par le discours de Jean-Luc Mélenchon, le 23 septembre, à Paris.

Emmanuel Macron fait la leçon à Donald Trump ou à Theresa May, mais il s’incline devant les méthodes anglo-saxonnes et met l’argent au centre de sa politique.
Près de la moitié des élèves scolarisés dans des collèges ZEP déclarent avoir été témoins « d’actes de cruauté ou d’humiliation ».
Après les couacs de la session extraordinaire, les députés LREM doivent revenir à l’école pour un stage de perfectionnement.

Stéphane Bern, s’il est télégénique lorsqu’il est bien maquillé, semble un piètre historien quand il n’a pas ses fiches.

Il reproche à Jean-Michel Blanquer de se comporter « comme un ministre ‘omnicompétent’…«
Cette préoccupation ne doit pas occulter la nécessité d’une réflexion globale sur les excès du numérique.
Jusqu’à présent, rien n’a été organisé pour lutter efficacement contre ce prosélytisme.

Les lycéens et les étudiants ne se sont pas beaucoup mobilisés, ce 12 septembre, contre les ordonnances réformant le cod

Emmanuel Macron ne prend pas ses opposants au sérieux, mais ignore les effets délétères de son comportement arrogant et

Dans une lettre datée du 6 septembre et adressée aux professeurs et chefs d’établissement, il les flatte, les chouchoute.

Sous de belles paroles, le gouvernement dissimule son impuissance et son impéritie.

Cette semaine, on parle beaucoup de la rentrée des élèves, des premières réformes lancées par le nouveau ministre.

L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?
Il est certes indispensable de protéger les élèves des risques terroristes, mais il ne faut pas passer sous silence les risques du tabac.

Une belle opération de communication, bien maîtrisée.
Le maire de New-york va-t-il demander qu’on détruise tous les symboles de la conquête de l’Ouest ?
Il y a quelque vanité à déclarer, comme Emmanuel Macron, que « le peuple français, c’est un peuple qui déteste les réformes ».
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Cette une de Charlie Hebdo, comme les précédentes, ne justifie en rien l’ouverture d’un débat sur la liberté d’expression.
La répétition de propos méprisants pour le peuple, depuis qu’il a fait son entrée en politique, ne plaide pas en sa faveur.
« Soutien total à Sonia Nour qui subit les pressions de la fachosphère et de la gauche cassoulet. »
Finalement, la plus raisonnable – une fois n’est pas coutume –, c’est Anne Hidalgo.

Le secrétaire général de FO, qui n’avait pas mâché son hostilité à la loi El Khomri, a pu paraître indulgent à l’égard des ordonnances d’Emmanuel Macron.

En 2013, il avait cosigné avec NKM une tribune dans laquelle il exprimait son opposition résolue à la PMA pour les couples homosexuels.

Une forme de cuistrerie pour feindre d’être un « spécialiste » – ou se persuader qu’on en est un.

On a rarement vu un personnage aussi imbu de lui-même.
Revenons, avec un peu de recul, sur la polémique provoquée par le discours de Jean-Luc Mélenchon, le 23 septembre, à Paris.

Emmanuel Macron fait la leçon à Donald Trump ou à Theresa May, mais il s’incline devant les méthodes anglo-saxonnes et met l’argent au centre de sa politique.
Près de la moitié des élèves scolarisés dans des collèges ZEP déclarent avoir été témoins « d’actes de cruauté ou d’humiliation ».
Après les couacs de la session extraordinaire, les députés LREM doivent revenir à l’école pour un stage de perfectionnement.

Stéphane Bern, s’il est télégénique lorsqu’il est bien maquillé, semble un piètre historien quand il n’a pas ses fiches.

Il reproche à Jean-Michel Blanquer de se comporter « comme un ministre ‘omnicompétent’…«
Cette préoccupation ne doit pas occulter la nécessité d’une réflexion globale sur les excès du numérique.
Jusqu’à présent, rien n’a été organisé pour lutter efficacement contre ce prosélytisme.

Les lycéens et les étudiants ne se sont pas beaucoup mobilisés, ce 12 septembre, contre les ordonnances réformant le cod

Emmanuel Macron ne prend pas ses opposants au sérieux, mais ignore les effets délétères de son comportement arrogant et

Dans une lettre datée du 6 septembre et adressée aux professeurs et chefs d’établissement, il les flatte, les chouchoute.

Sous de belles paroles, le gouvernement dissimule son impuissance et son impéritie.

Cette semaine, on parle beaucoup de la rentrée des élèves, des premières réformes lancées par le nouveau ministre.

L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?
Il est certes indispensable de protéger les élèves des risques terroristes, mais il ne faut pas passer sous silence les risques du tabac.

Une belle opération de communication, bien maîtrisée.
Le maire de New-york va-t-il demander qu’on détruise tous les symboles de la conquête de l’Ouest ?
Il y a quelque vanité à déclarer, comme Emmanuel Macron, que « le peuple français, c’est un peuple qui déteste les réformes ».
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Cette une de Charlie Hebdo, comme les précédentes, ne justifie en rien l’ouverture d’un débat sur la liberté d’expression.
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