
C’est Emmanuel Macron, sur lequel ses ministres se façonnent, qu’il faut incriminer

La Conférence des évêques de France détecte « un frémissement »…

Une porte contemporaine dans le cadre d’un concours d’artistes ?

L’auteur de cette tribune illustre à merveille les lieux communs et les préjugés de la pensée unique.

Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.

Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?

On mesure l’hypocrisie d’un gouvernement qui veut faire croire qu’il règle le problème de l’immigration en le rendant moins visible dans la capitale.

Pour mieux comprendre ce qui se passe dans l’Église, on peut faire un parallèle avec la situation de l’enseignement.

Dis-moi comment tu écris, je te dirai qui tu es.

Elle a tout intérêt à présenter le projet de loi Darmanin comme répressif, alors qu’il est plutôt laxiste en organisant l’entrée légale de nouveaux immigrés et en facilitant la régularisation des clandestins plutôt que de se donner les moyens de les expulser.

Faut-il y voir un lien avec la fermeture par le maire de droite d’un refuge pour accueillir des immigrés en transit de la frontière italienne ?

Imaginez Laurent Joffrin, en culotte courte, se chamaillant avec un camarade de classe dans la cour de récréation ! On n’en était pas loin, le soir

Cette manière de revisiter la langue sous prétexte de mettre le féminin à égalité avec le masculin, loin de défendre la cause des femmes, n’est qu’un révélateur de conformisme idéologique et de bêtise.

L’enseignement, « le plus beau métier du monde », devient un enfer.

On imagine mal le général de Gaulle, Georges Pompidou ou François Mitterrand révéler, comme des potaches, leurs premiers émois amoureux.

José Gonzalez aime certainement plus l’Algérie et les Algériens que ces révolutionnaires de pacotille, qui réagissent le plus souvent avec des réflexes pavloviens.

La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.

Comment expliquer cet acte odieux ? La peur de « l’étranger » qui n’est pas du village, alimentée par l’insécurité grandissante, même dans nos campagnes ? L’impuissance de l’institution judiciaire, qui conduit des hommes à se faire justice eux-mêmes ?

Macron fait la distinction entre le peuple italien et son gouvernement, tout comme il fait une distinction entre les électeurs du Rassemblement national et ses dirigeants.

Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.

En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.

On avait deviné que Macron était narcissique : en voilà une confirmation.

Si Bruno Retailleau veut vraiment « tout changer à droite », il faudrait qu’il commence par changer lui-même et qu’il rompe avec l’ostracisme dont son parti a toujours fait preuve à l’égard de concurrents qui, eux, n’hésitent pas à porter leurs convictions en bandoulière.

En revanche, si jamais la France durcissait sa politique migratoire – ce qui n’est pas près d’arriver sous la présidence de Macron –, que de pressions subirait-elle !

Si cette enfant avait été maghrébine et son tortionnaire ce qu’on appelle un Français de souche, que n’aurait-on pas entendu ?

Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.

L’ancien Premier ministre assure que « [son] objectif n’est pas de plaider pour la solution la plus dure afin d’emmerder le monde ».

On pourrait attendre mieux de ministres de la France et, surtout, qu’ils ne se complaisent pas dans des jugements sommaires et caricaturaux.

C’est Emmanuel Macron, sur lequel ses ministres se façonnent, qu’il faut incriminer

La Conférence des évêques de France détecte « un frémissement »…

Une porte contemporaine dans le cadre d’un concours d’artistes ?

L’auteur de cette tribune illustre à merveille les lieux communs et les préjugés de la pensée unique.

Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.

Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?

On mesure l’hypocrisie d’un gouvernement qui veut faire croire qu’il règle le problème de l’immigration en le rendant moins visible dans la capitale.

Pour mieux comprendre ce qui se passe dans l’Église, on peut faire un parallèle avec la situation de l’enseignement.

Dis-moi comment tu écris, je te dirai qui tu es.

Elle a tout intérêt à présenter le projet de loi Darmanin comme répressif, alors qu’il est plutôt laxiste en organisant l’entrée légale de nouveaux immigrés et en facilitant la régularisation des clandestins plutôt que de se donner les moyens de les expulser.

Faut-il y voir un lien avec la fermeture par le maire de droite d’un refuge pour accueillir des immigrés en transit de la frontière italienne ?

Imaginez Laurent Joffrin, en culotte courte, se chamaillant avec un camarade de classe dans la cour de récréation ! On n’en était pas loin, le soir

Cette manière de revisiter la langue sous prétexte de mettre le féminin à égalité avec le masculin, loin de défendre la cause des femmes, n’est qu’un révélateur de conformisme idéologique et de bêtise.

L’enseignement, « le plus beau métier du monde », devient un enfer.

On imagine mal le général de Gaulle, Georges Pompidou ou François Mitterrand révéler, comme des potaches, leurs premiers émois amoureux.

José Gonzalez aime certainement plus l’Algérie et les Algériens que ces révolutionnaires de pacotille, qui réagissent le plus souvent avec des réflexes pavloviens.

La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.

Comment expliquer cet acte odieux ? La peur de « l’étranger » qui n’est pas du village, alimentée par l’insécurité grandissante, même dans nos campagnes ? L’impuissance de l’institution judiciaire, qui conduit des hommes à se faire justice eux-mêmes ?

Macron fait la distinction entre le peuple italien et son gouvernement, tout comme il fait une distinction entre les électeurs du Rassemblement national et ses dirigeants.

Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.

En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.

On avait deviné que Macron était narcissique : en voilà une confirmation.

Si Bruno Retailleau veut vraiment « tout changer à droite », il faudrait qu’il commence par changer lui-même et qu’il rompe avec l’ostracisme dont son parti a toujours fait preuve à l’égard de concurrents qui, eux, n’hésitent pas à porter leurs convictions en bandoulière.

En revanche, si jamais la France durcissait sa politique migratoire – ce qui n’est pas près d’arriver sous la présidence de Macron –, que de pressions subirait-elle !

Si cette enfant avait été maghrébine et son tortionnaire ce qu’on appelle un Français de souche, que n’aurait-on pas entendu ?

Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.

L’ancien Premier ministre assure que « [son] objectif n’est pas de plaider pour la solution la plus dure afin d’emmerder le monde ».

On pourrait attendre mieux de ministres de la France et, surtout, qu’ils ne se complaisent pas dans des jugements sommaires et caricaturaux.
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