
Tout est bon pour essayer de se faire élire à la fonction suprême.

Les critiques émises par certains syndicats dépeignent bien l’idéologie sectaire de leurs auteurs. Mais la palme revient à Yannick Jadot, le candidat écologiste à la présidentielle.

La bien-pensance paraît moins sensible à la profanation d’une église qu’à des graffitis sur une mosquée.

Les médias jouent sur l’émotion, montrant le bonheur des couples homosexuels ou hétérosexuels qui ont eu recours à la GPA, en éludant le débat sérieux que mériterait cette question

Qui croira que Zemmour, qui fait de la lutte contre l’immigration et l’islamisme son cheval de bataille, est complice des Frères musulmans ?

Il n’est pas glorieux pour le Président en exercice d’instrumentaliser à son profit la douleur des rapatriés qui ont subi ces événements.

Le danger, pour notre pays, ce sont les islamistes et les séparatistes, tous ceux qui, par passivité ou par complaisance, s’en font les complices et tous les politiciens qui vendent la France à l’Europe !

Sans doute Valérie Pécresse doit-elle ratisser large pour espérer se qualifier au second tour, mais il lui sera difficile de contenter tout le monde, en ménageant la chèvre et le chou.

Tout candidat à la présidence de la République devrait s’assigner l’objectif de sortir de la lutte des classes ou du mépris de classe pour chercher à réunir toutes les Français.

Si, au second tour, Marine Le Pen ou Éric Zemmour se retrouve face à Emmanuel Macron, il n’est pas difficile de savoir pour qui beaucoup prendront parti.

Il est urgent de refaire de l’école un temple du savoir et de l’esprit critique, et non un supermarché de la pensée unique et du conformisme.

Le diagnostic d’Éric Zemmour est juste : la création d’un grand ministère de l’Instruction publique, le rétablissement de la primauté du savoir vont dans le bon sens. Ses propositions sont, au demeurant, proches de celles de Marine Le Pen…

À trois mois des élections, il vient d’annoncer, devant la Conférence des présidents d’universités, rebaptisée France Universités, une réforme « systémique » de l’enseignement supérieur.

Selon cette étude, le Président, et plus généralement les élus nationaux ou locaux, n’obtiennent, pour défendre l’identité de la France, la confiance que de 43 % des sondés.

Une loi impose des restrictions drastiques aux conversions et aux mariages interreligieux, avec des sanctions pouvant aller jusqu’à dix ans de prison.

La taxation de l’héritage traduit, dans presque tous les cas, une hostilité générale à la transmission, aussi bien du patrimoine financier que de l’héritage culturel et civilisationnel de la France.

Leur souhait de voir leur école se dépolitiser restera un vœu pieux tant que la majorité silencieuse ne prendra pas la parole pour s’opposer à une gauche d’autant plus sectaire qu’elle a la certitude d’avoir raison.

On a trop souvent limité l’hommage à Samuel Paty à la défense de la liberté d’expression. Alibi commode pour ne pas mettre directement en cause l’islamisme.

N’est-il pas paradoxal de prétendre rechercher l’unité et d’accuser les autres d’y attenter, quand on commence soi-même par diviser et rejeter ceux qui ne suivent pas la norme imposée ?

Sans doute traduit-il ainsi, fût-ce de manière abrupte, la pensée de son maître.

S’en prendre à une voiture Vigipirate, c’est tout un symbole.

Si l’on comprend bien, elle sera un super-Macron !

Comme Marine Le Pen et, auparavant, son père, Zemmour passe l’épreuve de la diabolisation : il en ressortira encore plus fort

Si l’on comprend bien, certaines leçons du pape méritent d’être suivies, d’autres non.

Ces membres de l’Académie catholique de France dénoncent aussi des « préjugés » de nature « idéologique » et une profonde méconnaissance de l’Église.

Mardi, Renaud Muselier, président de la région PACA, annonce dans Le Parisien qu’il soutient Xavier Bertrand pour le congrès d’investiture des Républicains. Mercredi, sur le

Si les candidats de droite prennent ces positions radicales, force est de constater que c’est d’abord pour plaire aux adhérents LR qui sont plus à droite qu’eux.

Le latin et le grec sont moribonds, les moyens pour les enseigner insuffisants, la volonté politique inexistante. Dans ces conditions, Jean-Michel Blanquer risque fort de rester au stade des incantations.

Tout est bon pour essayer de se faire élire à la fonction suprême.

Les critiques émises par certains syndicats dépeignent bien l’idéologie sectaire de leurs auteurs. Mais la palme revient à Yannick Jadot, le candidat écologiste à la présidentielle.

La bien-pensance paraît moins sensible à la profanation d’une église qu’à des graffitis sur une mosquée.

Les médias jouent sur l’émotion, montrant le bonheur des couples homosexuels ou hétérosexuels qui ont eu recours à la GPA, en éludant le débat sérieux que mériterait cette question

Qui croira que Zemmour, qui fait de la lutte contre l’immigration et l’islamisme son cheval de bataille, est complice des Frères musulmans ?

Il n’est pas glorieux pour le Président en exercice d’instrumentaliser à son profit la douleur des rapatriés qui ont subi ces événements.

Le danger, pour notre pays, ce sont les islamistes et les séparatistes, tous ceux qui, par passivité ou par complaisance, s’en font les complices et tous les politiciens qui vendent la France à l’Europe !

Sans doute Valérie Pécresse doit-elle ratisser large pour espérer se qualifier au second tour, mais il lui sera difficile de contenter tout le monde, en ménageant la chèvre et le chou.

Tout candidat à la présidence de la République devrait s’assigner l’objectif de sortir de la lutte des classes ou du mépris de classe pour chercher à réunir toutes les Français.

Si, au second tour, Marine Le Pen ou Éric Zemmour se retrouve face à Emmanuel Macron, il n’est pas difficile de savoir pour qui beaucoup prendront parti.

Il est urgent de refaire de l’école un temple du savoir et de l’esprit critique, et non un supermarché de la pensée unique et du conformisme.

Le diagnostic d’Éric Zemmour est juste : la création d’un grand ministère de l’Instruction publique, le rétablissement de la primauté du savoir vont dans le bon sens. Ses propositions sont, au demeurant, proches de celles de Marine Le Pen…

À trois mois des élections, il vient d’annoncer, devant la Conférence des présidents d’universités, rebaptisée France Universités, une réforme « systémique » de l’enseignement supérieur.

Selon cette étude, le Président, et plus généralement les élus nationaux ou locaux, n’obtiennent, pour défendre l’identité de la France, la confiance que de 43 % des sondés.

Une loi impose des restrictions drastiques aux conversions et aux mariages interreligieux, avec des sanctions pouvant aller jusqu’à dix ans de prison.

La taxation de l’héritage traduit, dans presque tous les cas, une hostilité générale à la transmission, aussi bien du patrimoine financier que de l’héritage culturel et civilisationnel de la France.

Leur souhait de voir leur école se dépolitiser restera un vœu pieux tant que la majorité silencieuse ne prendra pas la parole pour s’opposer à une gauche d’autant plus sectaire qu’elle a la certitude d’avoir raison.

On a trop souvent limité l’hommage à Samuel Paty à la défense de la liberté d’expression. Alibi commode pour ne pas mettre directement en cause l’islamisme.

N’est-il pas paradoxal de prétendre rechercher l’unité et d’accuser les autres d’y attenter, quand on commence soi-même par diviser et rejeter ceux qui ne suivent pas la norme imposée ?

Sans doute traduit-il ainsi, fût-ce de manière abrupte, la pensée de son maître.

S’en prendre à une voiture Vigipirate, c’est tout un symbole.

Si l’on comprend bien, elle sera un super-Macron !

Comme Marine Le Pen et, auparavant, son père, Zemmour passe l’épreuve de la diabolisation : il en ressortira encore plus fort

Si l’on comprend bien, certaines leçons du pape méritent d’être suivies, d’autres non.

Ces membres de l’Académie catholique de France dénoncent aussi des « préjugés » de nature « idéologique » et une profonde méconnaissance de l’Église.

Mardi, Renaud Muselier, président de la région PACA, annonce dans Le Parisien qu’il soutient Xavier Bertrand pour le congrès d’investiture des Républicains. Mercredi, sur le

Si les candidats de droite prennent ces positions radicales, force est de constater que c’est d’abord pour plaire aux adhérents LR qui sont plus à droite qu’eux.

Le latin et le grec sont moribonds, les moyens pour les enseigner insuffisants, la volonté politique inexistante. Dans ces conditions, Jean-Michel Blanquer risque fort de rester au stade des incantations.
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