Pour ceux qui nous gouvernent, « l’immigration n’est pas un problème mais un projet ».
Les gesticulations guerrières ne riment à rien, pas plus que la croyance dans la pérennité de ce modèle d’organisation européenne : l’Histoire est un cimetière d’empires.
Prétendre que l’on devrait la paix en Europe à une construction européenne d’inspiration marchande et ultralibérale constitue une supercherie supplémentaire.
Lorsque le système commence à perdre les élections, il en change les règles.
Nul doute qu’Emmanuel Macron, qui ne se fixe aucune limite, pas même celle de la décence, avait l’idée d’installer son concept de « souveraineté européenne » par une disparition pure et simple de notre emblème national.
Et voilà qu’au moment où les nationaux sont en passe de l’emporter, de réaliser ce qui était inimaginable en 1972, certains membres de notre famille politique sont repris par les démangeaisons groupusculaires…
Pour ceux qui nous gouvernent, « l’immigration n’est pas un problème mais un projet ».
Les gesticulations guerrières ne riment à rien, pas plus que la croyance dans la pérennité de ce modèle d’organisation européenne : l’Histoire est un cimetière d’empires.
Prétendre que l’on devrait la paix en Europe à une construction européenne d’inspiration marchande et ultralibérale constitue une supercherie supplémentaire.
Lorsque le système commence à perdre les élections, il en change les règles.
Nul doute qu’Emmanuel Macron, qui ne se fixe aucune limite, pas même celle de la décence, avait l’idée d’installer son concept de « souveraineté européenne » par une disparition pure et simple de notre emblème national.
Et voilà qu’au moment où les nationaux sont en passe de l’emporter, de réaliser ce qui était inimaginable en 1972, certains membres de notre famille politique sont repris par les démangeaisons groupusculaires…