Il faut toujours être méfiant, avec les récompenses décernées par le Festival de Cannes.
Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.
Ce feuilleton en quatre épisodes de 52 minutes traite frontalement le sujet des fausses victimes d’attentat.
Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.
La plus grande idée de Céline Sallette est d’avoir confié le rôle principal à la Canadienne Charlotte Le Bon.
Le récit peine à susciter notre empathie pour cette bande d’arrivistes parisiens sans foi ni loi.
Son récit rythmé, sans temps mort et souvent drôle, nous fait passer un agréable moment.
Trop sage, le film d’Ellen Kuras effleure à peine le sujet de la photo de guerre.
La recherche de la vérité importe moins au réalisateur que le résultat des urnes, le 5 novembre prochain.
Le film n’a rien du documentaire sérieux et factuel auquel on pourrait s’attendre sur la guerre en Afghanistan
Rien ne sert de se déplacer en salles, autant revoir La Valse des pantins de Martin Scorsese…
Une version très soignée sur le plan esthétique, avec son générique inspiré, ses décors et ses costumes
Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.
Prix spécial du Jury à Cannes en 2024, s’inscrit dans le contexte des manifestations anti-voile en Iran.
Depuis qu’il a fait innocenter un tueur multirécidiviste, Maître Jean Monier n’a plus plaidé aux assises.
Ce récit dramatique aux allures de thriller met en avant le combat intérieur d’une judokate.
Pour une première incursion dans l’adaptation littéraire, À son image est une belle réussite.
Passionnant de bout en bout, cet ouvrage offre aux amateurs d’histoire un éclairage indispensable sur ce grand peuple.
Le jury de Cannes a récompensé un film qui brille par ses poncifs.
Les auteurs célèbrent l’altérité parentale et expriment la difficulté d’être père, biologique ou non.
Libération, L’Obs, Le Parisien, La Croix, Télérama, Première, Les Inrocks ou Les Cahiers du cinéma ont détesté !
Le film nous range clairement du côté du tueur et non pas de la police : une tendance significative de nos sociétés.
Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.
Une sous-exploitation du talent d’Anthony Hopkins dans le rôle de Vespasien.
La qualité de ce récit d’aventure le distingue de la production actuelle.
Là où le film excelle, c’est dans sa façon de mettre en scène l’opacité des motivations et comportements humains.
Toujours disponible sur Netflix, il s’agit incontestablement d’un film à voir pour mieux cerner la personnalité de Vance
Il faut toujours être méfiant, avec les récompenses décernées par le Festival de Cannes.
Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.
Ce feuilleton en quatre épisodes de 52 minutes traite frontalement le sujet des fausses victimes d’attentat.
Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.
La plus grande idée de Céline Sallette est d’avoir confié le rôle principal à la Canadienne Charlotte Le Bon.
Le récit peine à susciter notre empathie pour cette bande d’arrivistes parisiens sans foi ni loi.
Son récit rythmé, sans temps mort et souvent drôle, nous fait passer un agréable moment.
Trop sage, le film d’Ellen Kuras effleure à peine le sujet de la photo de guerre.
La recherche de la vérité importe moins au réalisateur que le résultat des urnes, le 5 novembre prochain.
Le film n’a rien du documentaire sérieux et factuel auquel on pourrait s’attendre sur la guerre en Afghanistan
Rien ne sert de se déplacer en salles, autant revoir La Valse des pantins de Martin Scorsese…
Une version très soignée sur le plan esthétique, avec son générique inspiré, ses décors et ses costumes
Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.
Prix spécial du Jury à Cannes en 2024, s’inscrit dans le contexte des manifestations anti-voile en Iran.
Depuis qu’il a fait innocenter un tueur multirécidiviste, Maître Jean Monier n’a plus plaidé aux assises.
Ce récit dramatique aux allures de thriller met en avant le combat intérieur d’une judokate.
Pour une première incursion dans l’adaptation littéraire, À son image est une belle réussite.
Passionnant de bout en bout, cet ouvrage offre aux amateurs d’histoire un éclairage indispensable sur ce grand peuple.
Le jury de Cannes a récompensé un film qui brille par ses poncifs.
Les auteurs célèbrent l’altérité parentale et expriment la difficulté d’être père, biologique ou non.
Libération, L’Obs, Le Parisien, La Croix, Télérama, Première, Les Inrocks ou Les Cahiers du cinéma ont détesté !
Le film nous range clairement du côté du tueur et non pas de la police : une tendance significative de nos sociétés.
Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.
Une sous-exploitation du talent d’Anthony Hopkins dans le rôle de Vespasien.
La qualité de ce récit d’aventure le distingue de la production actuelle.
Là où le film excelle, c’est dans sa façon de mettre en scène l’opacité des motivations et comportements humains.
Toujours disponible sur Netflix, il s’agit incontestablement d’un film à voir pour mieux cerner la personnalité de Vance