Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.
Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.
L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.
Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.
Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.
La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
Il est toujours désagréable d’admettre le talent d’un adversaire idéologique…
L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.
Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…
Exit l’outrance, exit la pleurniche féministe et son ressentiment…
Le comédien livre une interprétation crédible et emporte notre adhésion.
L’histoire se déroule en Alsace à la veille des événements de mai 68, lorsque le personnel enseignant d’une école ménagère accueille ses nouvelles pensionnaires.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Les salles de cinéma enfin rouvertes, nous avons décidé, aujourd’hui, de célébrer la chose par la recension d’un film historique de la talentueuse Agnieszka Holland…
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
Nourri de témoignages en tous genres, de rapports d’enquête, d’échanges de SMS (accablants), d’articles de presse et d’entretiens avec les différents protagonistes, l’ouvrage retranscrit également des écoutes réalisées en 2015 à la demande d’un juge d’instruction dans la cellule de Jean-Luc Germani, incarcéré à l’époque à la prison des Baumettes.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Un ouvrage de géopolitique très instructif.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Des petits malins ont eu l’idée, un peu partout sur le territoire, de jouer la carte de la nostalgie en organisant des séances de ciné-parc.
Un film discutable mais à voir tout de même.
Il témoigne d’une Europe qui n’a pas totalement abandonné sa foi chrétienne face aux injonctions de la modernité
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
Un film résolument réactionnaire qui désavoue l’anti-héros sans foi ni loi.
Le Vent de la liberté, un film populaire et plaisant à suivre, original, qui nous raconte un bout d’Histoire
Un joli pied de nez à certaines idées reçues…
Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.
Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.
L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.
Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.
Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.
La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
Il est toujours désagréable d’admettre le talent d’un adversaire idéologique…
L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.
Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…
Exit l’outrance, exit la pleurniche féministe et son ressentiment…
Le comédien livre une interprétation crédible et emporte notre adhésion.
L’histoire se déroule en Alsace à la veille des événements de mai 68, lorsque le personnel enseignant d’une école ménagère accueille ses nouvelles pensionnaires.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Les salles de cinéma enfin rouvertes, nous avons décidé, aujourd’hui, de célébrer la chose par la recension d’un film historique de la talentueuse Agnieszka Holland…
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
Nourri de témoignages en tous genres, de rapports d’enquête, d’échanges de SMS (accablants), d’articles de presse et d’entretiens avec les différents protagonistes, l’ouvrage retranscrit également des écoutes réalisées en 2015 à la demande d’un juge d’instruction dans la cellule de Jean-Luc Germani, incarcéré à l’époque à la prison des Baumettes.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Un ouvrage de géopolitique très instructif.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Des petits malins ont eu l’idée, un peu partout sur le territoire, de jouer la carte de la nostalgie en organisant des séances de ciné-parc.
Un film discutable mais à voir tout de même.
Il témoigne d’une Europe qui n’a pas totalement abandonné sa foi chrétienne face aux injonctions de la modernité
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
Un film résolument réactionnaire qui désavoue l’anti-héros sans foi ni loi.
Le Vent de la liberté, un film populaire et plaisant à suivre, original, qui nous raconte un bout d’Histoire
Un joli pied de nez à certaines idées reçues…
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