
Personnage souvent contradictoire, entre son mode de vie dépravé et provocateur et ses positionnements nationalistes.

Les réalisateurs reviennent aux sources d’un cinéma plus social : le vivre ensemble dans la France périphérique.

Le film se fait une drôle d’idée de l’Église, institution qui ne pourrait se sauver qu’en étant mise au goût du jour.

Un film familial réjouissant tel qu’on en voit rarement : sans message politiquement correct et sans vulgarité.

Comment une ingénue occidentale de dix-neuf ans va se trouver une raison d’être dans un « projet divin ».

Une approche simple et modeste, sans pompe, à l’image de cet écrivain solitaire et mélancolique.

Récit d’un sauvetage qui engage la vie et la conscience, le film fait l’éloge du don de soi et du sacrifice.

Émouvant et révoltant à la fois…

Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.

Il faut toujours être méfiant, avec les récompenses décernées par le Festival de Cannes.

Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.

Ce feuilleton en quatre épisodes de 52 minutes traite frontalement le sujet des fausses victimes d’attentat.

Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.

La plus grande idée de Céline Sallette est d’avoir confié le rôle principal à la Canadienne Charlotte Le Bon.

Le récit peine à susciter notre empathie pour cette bande d’arrivistes parisiens sans foi ni loi.

Un travail beaucoup trop scolaire…

Son récit rythmé, sans temps mort et souvent drôle, nous fait passer un agréable moment.

Trop sage, le film d’Ellen Kuras effleure à peine le sujet de la photo de guerre.

La recherche de la vérité importe moins au réalisateur que le résultat des urnes, le 5 novembre prochain.

Le film n’a rien du documentaire sérieux et factuel auquel on pourrait s’attendre sur la guerre en Afghanistan

Rien ne sert de se déplacer en salles, autant revoir La Valse des pantins de Martin Scorsese…

Une version très soignée sur le plan esthétique, avec son générique inspiré, ses décors et ses costumes

Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.

Prix spécial du Jury à Cannes en 2024, s’inscrit dans le contexte des manifestations anti-voile en Iran.

Depuis qu’il a fait innocenter un tueur multirécidiviste, Maître Jean Monier n’a plus plaidé aux assises.

Ce récit dramatique aux allures de thriller met en avant le combat intérieur d’une judokate.

Pour une première incursion dans l’adaptation littéraire, À son image est une belle réussite.

Passionnant de bout en bout, cet ouvrage offre aux amateurs d’histoire un éclairage indispensable sur ce grand peuple.

Personnage souvent contradictoire, entre son mode de vie dépravé et provocateur et ses positionnements nationalistes.

Les réalisateurs reviennent aux sources d’un cinéma plus social : le vivre ensemble dans la France périphérique.

Le film se fait une drôle d’idée de l’Église, institution qui ne pourrait se sauver qu’en étant mise au goût du jour.

Un film familial réjouissant tel qu’on en voit rarement : sans message politiquement correct et sans vulgarité.

Comment une ingénue occidentale de dix-neuf ans va se trouver une raison d’être dans un « projet divin ».

Une approche simple et modeste, sans pompe, à l’image de cet écrivain solitaire et mélancolique.

Récit d’un sauvetage qui engage la vie et la conscience, le film fait l’éloge du don de soi et du sacrifice.

Émouvant et révoltant à la fois…

Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.

Il faut toujours être méfiant, avec les récompenses décernées par le Festival de Cannes.

Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.

Ce feuilleton en quatre épisodes de 52 minutes traite frontalement le sujet des fausses victimes d’attentat.

Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.

La plus grande idée de Céline Sallette est d’avoir confié le rôle principal à la Canadienne Charlotte Le Bon.

Le récit peine à susciter notre empathie pour cette bande d’arrivistes parisiens sans foi ni loi.

Un travail beaucoup trop scolaire…

Son récit rythmé, sans temps mort et souvent drôle, nous fait passer un agréable moment.

Trop sage, le film d’Ellen Kuras effleure à peine le sujet de la photo de guerre.

La recherche de la vérité importe moins au réalisateur que le résultat des urnes, le 5 novembre prochain.

Le film n’a rien du documentaire sérieux et factuel auquel on pourrait s’attendre sur la guerre en Afghanistan

Rien ne sert de se déplacer en salles, autant revoir La Valse des pantins de Martin Scorsese…

Une version très soignée sur le plan esthétique, avec son générique inspiré, ses décors et ses costumes

Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.

Prix spécial du Jury à Cannes en 2024, s’inscrit dans le contexte des manifestations anti-voile en Iran.

Depuis qu’il a fait innocenter un tueur multirécidiviste, Maître Jean Monier n’a plus plaidé aux assises.

Ce récit dramatique aux allures de thriller met en avant le combat intérieur d’une judokate.

Pour une première incursion dans l’adaptation littéraire, À son image est une belle réussite.

Passionnant de bout en bout, cet ouvrage offre aux amateurs d’histoire un éclairage indispensable sur ce grand peuple.
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