À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, Past Lives, de Celine Song.
Sorte de patchwork entre Merlusse, de Marcel Pagnol, et Le Cercle des poètes disparus, Winter Break a un charme fou.
L’ensemble des libertés prises avec le matériau d’origine finit par se retourner contre un cinéaste trop aventureux.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Le cinéaste livre un récit bourré d’ellipses et de simplifications toutes plus embarrassantes les unes que les autres.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.
Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.
Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.
Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.
La Beauté du geste, de Sho Miyake, s’affiche comme un anti-Rocky, une synthèse revendiquée de « Million Dollar Baby »
Reality est le premier film au cinéma à aborder de près ou de loin le fameux « Russiagate ».
Le récit se propose de faire « l’anatomie » d’un couple suite au décès du père de famille, tombé mystérieusement.
Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.
Outre sa dimension idéologique, Barbie est pratiquement un sans-faute sur le plan de la mise en scène.
Le film vaut principalement pour son éloge de l’amitié fusionnelle et inconditionnelle.
Pertinent dans sa critique du théâtre bobo, mais bourré de longueurs, le film est sauvé par Raphaël Quenard.
Des dialogues souvent manichéens, mais reconnaissons-lui néanmoins le mérite de sensibiliser le public.
Le grotesque n’est jamais bien loin, mais les qualités d’image confèrent à l’ensemble un certain charme.
Disons-le d’emblée : l’annonce initiale d’un projet de film sur l’invention de la bombe atomique, par Christopher Nolan, nous avait mis l’eau à la bouche.
Si ce projet de feuilleton risque de frustrer bien des nostalgiques, le scénariste nous offre des dialogues bien sentis.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, Past Lives, de Celine Song.
Sorte de patchwork entre Merlusse, de Marcel Pagnol, et Le Cercle des poètes disparus, Winter Break a un charme fou.
L’ensemble des libertés prises avec le matériau d’origine finit par se retourner contre un cinéaste trop aventureux.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Le cinéaste livre un récit bourré d’ellipses et de simplifications toutes plus embarrassantes les unes que les autres.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.
Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.
Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.
Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.
La Beauté du geste, de Sho Miyake, s’affiche comme un anti-Rocky, une synthèse revendiquée de « Million Dollar Baby »
Reality est le premier film au cinéma à aborder de près ou de loin le fameux « Russiagate ».
Le récit se propose de faire « l’anatomie » d’un couple suite au décès du père de famille, tombé mystérieusement.
Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.
Outre sa dimension idéologique, Barbie est pratiquement un sans-faute sur le plan de la mise en scène.
Le film vaut principalement pour son éloge de l’amitié fusionnelle et inconditionnelle.
Pertinent dans sa critique du théâtre bobo, mais bourré de longueurs, le film est sauvé par Raphaël Quenard.
Des dialogues souvent manichéens, mais reconnaissons-lui néanmoins le mérite de sensibiliser le public.
Le grotesque n’est jamais bien loin, mais les qualités d’image confèrent à l’ensemble un certain charme.
Disons-le d’emblée : l’annonce initiale d’un projet de film sur l’invention de la bombe atomique, par Christopher Nolan, nous avait mis l’eau à la bouche.
Si ce projet de feuilleton risque de frustrer bien des nostalgiques, le scénariste nous offre des dialogues bien sentis.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées