Peu original mais divertissant.
Le cinéaste n’est pas sans savoir, en effet, qu’en donnant, à travers son film, un tel crédit aux thèses actuelles de l’Etat algérien, il ne fait que servir la soupe à ceux qui réclament continuellement la repentance de la France…
Le cinéma qui nous parvient des pays de l’Est – horriblement mal distribué, cela dit en passant – semble encore aujourd’hui travaillé par les horreurs du XXe siècle.
Honnête, lucide, le film de Florian Zeller bénéficie, de surcroît, de la présence au casting d’Anthony Hopkins qui excelle à laisser percer le flottement perpétuel et le désarroi de son personnage.
Loin de tout manichéisme, Slalom n’a rien du film moralisateur que pourrait attendre un certain militantisme féministe délateur ; il excelle au contraire dans sa façon de traiter la zone grise des relations humaines.
Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.
Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.
Un beau film sur le dévouement.
Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu
Le collectif antimafia se veut apolitique dans la mesure où l’on y trouve aussi bien des gens de gauche que de droite, des Français de cœur comme des indépendantistes ou des autonomistes.
Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.
Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.
Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire
Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…
Il n’y a manifestement pas qu’un problème de terrorisme islamiste dans nos banlieues…
Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.
Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.
Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.
Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.
Si la série met en avant les figures bien connues du chevalier, de la princesse, du roi, du dragon ou du nain facétieux et intelligent, elle nous gratifie également de tous les clichés progressistes en vogue…
Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.
La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
Là où le bât blesse, malgré tout, c’est que la lecture que font Delépine et Kervern du mouvement des gilets jaunes est erronée.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.
Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…
Un film malin, un film de terroir.
Peu original mais divertissant.
Le cinéaste n’est pas sans savoir, en effet, qu’en donnant, à travers son film, un tel crédit aux thèses actuelles de l’Etat algérien, il ne fait que servir la soupe à ceux qui réclament continuellement la repentance de la France…
Le cinéma qui nous parvient des pays de l’Est – horriblement mal distribué, cela dit en passant – semble encore aujourd’hui travaillé par les horreurs du XXe siècle.
Honnête, lucide, le film de Florian Zeller bénéficie, de surcroît, de la présence au casting d’Anthony Hopkins qui excelle à laisser percer le flottement perpétuel et le désarroi de son personnage.
Loin de tout manichéisme, Slalom n’a rien du film moralisateur que pourrait attendre un certain militantisme féministe délateur ; il excelle au contraire dans sa façon de traiter la zone grise des relations humaines.
Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.
Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.
Un beau film sur le dévouement.
Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu
Le collectif antimafia se veut apolitique dans la mesure où l’on y trouve aussi bien des gens de gauche que de droite, des Français de cœur comme des indépendantistes ou des autonomistes.
Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.
Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.
Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire
Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…
Il n’y a manifestement pas qu’un problème de terrorisme islamiste dans nos banlieues…
Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.
Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.
Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.
Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.
Si la série met en avant les figures bien connues du chevalier, de la princesse, du roi, du dragon ou du nain facétieux et intelligent, elle nous gratifie également de tous les clichés progressistes en vogue…
Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.
La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
Là où le bât blesse, malgré tout, c’est que la lecture que font Delépine et Kervern du mouvement des gilets jaunes est erronée.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.
Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…
Un film malin, un film de terroir.
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