Roland Hureaux
Essayiste
Le premier rôle de tout chef d’État est de défendre les intérêts de son pays, et donc de son peuple.
Les Français veulent des chefs, c’est vrai, mais des chefs libres.
Le boycott du pavillon russe du Salon du livre de Paris par Macron est un signe à la fois de servilité et de petitesse.
Le risque de fuite ou de disparition de preuves, qui aurait pu la justifier, était nul, bien entendu.
L’a-t-il fait exprès ? Qui sait ?
Les syndicats, qui ne devraient pas tarder à se soulever contre cette réforme parfaitement inutile, accompliront une œuvre de salut national. Il méritent notre appui.
On ne s’attendait pas à ce que, dans son message de Noël, le Saint Père félicite Trump et Poutine mais au moins aurait-il pu saluer le grand pas qu’a fait la paix en 2017.
Avec le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan, la base de Marine Le Pen s’élargit d’un apport solide, complété par celui des « petits » candidats.
On ne confie pas la maison France à n’importe qui. Sa rivale a deux semaines pour faire la lumière sur lui.
Sous ses allures de jeune premier, Emmanuel Macron n’a pas « un problème avec les classes moyennes », il veut tout simplement leur mort.
Le premier rôle de tout chef d’État est de défendre les intérêts de son pays, et donc de son peuple.
Les Français veulent des chefs, c’est vrai, mais des chefs libres.
Le boycott du pavillon russe du Salon du livre de Paris par Macron est un signe à la fois de servilité et de petitesse.
Le risque de fuite ou de disparition de preuves, qui aurait pu la justifier, était nul, bien entendu.
L’a-t-il fait exprès ? Qui sait ?
Les syndicats, qui ne devraient pas tarder à se soulever contre cette réforme parfaitement inutile, accompliront une œuvre de salut national. Il méritent notre appui.
On ne s’attendait pas à ce que, dans son message de Noël, le Saint Père félicite Trump et Poutine mais au moins aurait-il pu saluer le grand pas qu’a fait la paix en 2017.
Avec le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan, la base de Marine Le Pen s’élargit d’un apport solide, complété par celui des « petits » candidats.
On ne confie pas la maison France à n’importe qui. Sa rivale a deux semaines pour faire la lumière sur lui.
Sous ses allures de jeune premier, Emmanuel Macron n’a pas « un problème avec les classes moyennes », il veut tout simplement leur mort.
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